Macrocosme

Décasyllabes- Choisit de célébrer une partie noble du visage. Enumérations, termes mélioratifs, de toutes ses caractéristiques. Il met en relation la beauté du corps humain avec celle de l’univers tout entier Femme= microcosme qui correspond au macrocosme. Célébration en lien avec le lyrisme : elle témoigne de la passion du poète. L’écriture du blason est ici celle d’une déclaration. Joachim Du Bellay « Déjà la nuit en son parc… » in L’Olive, 1549-1550. La mise en place d’un cadre enchanteur

de la mort, lui-même qui est représenté. La comparaison entre le tressaillement du « brin d'herbe » (v.20) par le « vent » (v.19) et celui du « tombeau » par « Dieu » (v.20). Ils sont donc omniprésents à travers les constituants et phénomènes du macrocosme qui entourent les deux amants mais ceux-ci, absorbés par leur amour, ne s'en aperçoivent pas. En effet c'est par la nature qui les entoure qu'ils tentent de prévenir les « vivants » (v.28) du destin qui les attend, car leurs cris, exprimés par

l'ensemble des cyclopéen potentiel de l'époque : france, royaume-uni et leurs ascendant dès le 3 septembre 1939, URSS à se lancer de l'invasion allemande de juin 1941, états-unis le 7 décembre 1941 dans un discussion impliquant la majorité des nations du macrocosme sur la quasi entier des continents. le conflit planétaire ainsi engagé opposa schématiquement deux camps — les Apparenter et l’axe. Il prit fin en europe le 8 mai 1945 par la composition sans condition du IIIe reich, puis s’acheva en Asie et

de l'ensemble des grandes puissances de l'époque : france, royaume-uni et leurs empires dès le 3 septembre 1939, URSS à partir de l'invasion allemande de juin 1941, états-unis le 7 décembre 1941 dans un choc impliquant la majorité des nations du macrocosme sur la quasi ensemble des continents. le désaccord cosmique à l'exemple de engagé répondre schématiquement deux groupe — les Alliés et l’axe. Il prit fin en europe le 8 mai 1945 par la composition sans être du IIIe reich, puis s’acheva en Asie

l'imagination du promeneur et nous donne la sensation d'être un spectacle unique. Un spectacle qui sera beaucoup plus fascinant dans l'arrivée de la nuit qui déchainera de séduisants paysages nocturnes. Ici, un microcosme du parc renvoie à l'idée du macrocosme de la Nature qui est représentée dans son infime variété: lac, rochers, forêts, chemins, îles. C'est ainsi que le lecteur peut arriver à avoir l'impression de se trouver dans un espace démesuré où les chemins se succèdent comme des passages et où

l'Antiquité, leur rapport avec les mesures de temps, de gravitation ainsi qu'avec le Nombre d'Or. L'univers baigne dans les nombres et dans les dimensions. Mais aussi l'Homme, ses mouvements, ses rythmes. Parce que l'Homme est microcosme dans le macrocosme. De ce fait, chaque nombre possède une signification propre pour l'initié. L'Antiquité nous a transmis au cours des siècles, diverses unités de mesure, retrouvées sous des noms divers. Même notre mètre, égal à 1/40 000 ème de la circonférence terrestre

l’univers un principe autre que la force il faudrait, comme s’est efforcée de le faire Simone Weil, pouvoir réanimer, en tenant compte de la science actuelle, l’une ou l’autre des visions anciennes du monde où dominait la certitude que le monde, le macrocosme, possède une forme telle que l’homme puisse en faire son modèle et sa source d’inspiration.

paléolithique logo - ............... ( grecque ) → discours → logorrhée - logue ............... ( grecque ) → discours → monologue - lyse ................ ( grecque ) → dissolution → analyse , électrolyse macro - ...............  ( grecque ) → grand → macrocosme , macrophotographie mam(m) - ............... ( latine ) → mamelle → mammifère , mammaire - manie ............... ( grecque ) → folie → cleptomanie mane - ............... ( grecque ) → folie → nymphomane méga - ...............                      

particulier dans ce poème, est le mélange de tons : on a bien relevé des expressions familières ; il y a aussi des métaphores assez littéraires : « teint de rose », « cuisse de nymphe ». Certaines formules ont une ampleur métaphysique : l’évocation du macrocosme « soleils et planètes », s’oppose à « ma petite », qui vient juste après. « Et que leurs pétales/ soient la mer étale/ de tous les bonheurs » est une métaphore qui peut sembler hyperbolique. Queneau sait donc nous surprendre ; on peut d’ailleurs

Si je trace un cercle autour de ce triangle et un autre dans le triangle lui-même, il s'avère que le point central est identique. Si je symbolise le grand cercle par le monde et le petit cercle par moi-même cela me fait penser au rapport entre le macrocosme et le microcosme, un exemple pour me rappeler l'Unité mais aussi que l'Homme est infiniment petit par rapport à l'Univers. Le triangle, dont la pointe est orientée vers le haut symbolise la masculinité et le feu, la pointe vers le bas la féminité