Macrocosme

de nourrir la citée. Le particulier, le + libre est le + heureux, est celui dont la raison est maîtresse de l’épithumia et ce qui vaut pour l’individu vaut également pour la citée dans laquelle la raison gouverne. Et donc le macrocosme de la citée (polis), le macrocosme est la transposition du microcosme (l’individu). Ainsi, la partie ne sera heureuse que si le tout est raisonnable. Le producteur ne peut pas se plaindre, il doit être heureux. Et l’Aristocratie sera raisonnable car elle ne connaîtra

le « Centquatre » à Paris 4 La photographie, du « Centquatre » (ci-dessus) est un exemple intéressant pour montrer le sentiment de chaos qui se dégage des réalisations de Stéphane Couturier. Dans cette photographie on retrouve l’idée du macrocosme et du microcosme. Quand on regarde la photographie et la profondeur du bâtiment mis en avant par les lignes qui créent une perspective, on est impressionné par la taille colossale du chantier. On prend conscience de l’ampleur des travaux en observant

particulier dans ce poème, est le mélange de tons : on a bien relevé des expressions familières ; il y a aussi des métaphores assez littéraires : « teint de rose », « cuisse de nymphe ». Certaines formules ont une ampleur métaphysique : l’évocation du macrocosme « soleils et planètes », s’oppose à « ma petite », qui vient juste après. « Et que leurs pétales/ soient la mer étale/ de tous les bonheurs » est une métaphore qui peut sembler hyperbolique. Queneau sait donc nous surprendre ; on peut d’ailleurs

l’usine de l’intérieur. Le poète évoque tout d’abord un atelier et les ouvriers au travail. Cet atelier est campé par le bruit. (« universel tictacquement » v.4). Aucune couleur n’est mentionnée. Seule compte la cadence.  2/ Macrocosme La description procède en cercles concentriques de plus en plus larges. « Plus loin » (v.8) : l’usine est décrite de l’extérieur, en bloc. Toujours le bruit est seulement mentionné : « un vacarme tonnant de chocs » (v.8). « des

« capitalisme » tant le rôle de l’Etat y est prégnant. Vient alors la troisième conférence. « Il y a une sorte de société mondiale, aussi hiérarchisée qu’une société ordinaire et qui est comme son image agrandie, mais reconnaissable. Microcosme et macrocosme, c’est finalement la même texture » (p. 84). Puis il distingue : « par économie mondiale s’entend l’économie du monde pris dans son entier. Par économie-monde, j’entends l’économie d’une portion seulement de la planète, dans la mesure où elle forme

bien conduite Dans cette lettre, la démonstration de Gargantua est bien conduite. On peut repérer une gradation dans les conseils donnés. En effet, il y a d’abord le savoir livresque, puis savoir microcosme (autour de l’homme), ensuite le savoir macrocosme (culture) et enfin, dans le paragraphe final on peut constater une élévation, une progression, car les valeurs morales et religieuses sont abordées. La présence de connecteurs indique qu’il y a un certain raisonnement « premièrement, secondement

sérieuses sont mises en parallèle avec d’autres plus familières ce n’est pas toujours pour éviter de se prendre au sérieux mais peut-être aussi pour rappeler qu’il est possible d’aborder des thèmes graves de manière simple. Ainsi, l’évocation du macrocosme « soleils et planètes » donne une ampleur métaphysique au poème bien que ces réalités soient mises sur le même plan en opposition à « ma petite », qui vient juste après. Enfin que dire de la métaphore des vers suivants « Et que leurs pétales/soient

Audrey RENZOLittérature et imaginaire601-102-MQ, gr. 50013Première dissertation explicative portant sur le kafkaïen : 15%La Métamorphose de Franz Kafka Travail présenté à Raluca LUPU-ONETCégep de Valleyfield Date de remise et réalisation : Le 20 mars 2022Nombre de mots dissertation : 1120Nombre de mots plan : 373Nombre de mots complet : 1493 Le 20e siècle est marqué par le clivage entre les bourgeois et les indigents, soit les guerres. Les conflits multiples et

devenir humain. Ils observent et identifient les étoiles, de même qu'ils cherchent à prévoir le retour de ces configurations pour élaborer un calendrier de l'alternance des saisons et des germinations. L'homme serait un microcosme, un reflet du macrocosme qu'est l'Univers, influencé et déterminé par lui. Pour cesser d'être sous le jeu des dieux, mieux les connaître et énoncé des prédictions, il va inventer l'astrologie et l'astronomie. Dans sa représentation du monde, il imagine occuper une place

he always lived in big cities in France such as Paris and Lyon, where he studied law. This attitude, both contradictory and significant of the "necessary evil"(« mal nécessaire ») that artists sometimes inflict to capture the essence of the macrocosm they seek, makes Baudelaire not only a poet tormented by darkness in the world, but also and most importantly, the witness of a decadence that repulses him. The decadence also signs a break from the artist torn by this "necessary evil"(« mal