Macrocosme

cours sur les didascalies). 2/QUELS SENS DONNER À CE TRAIT FONDAMENTAL DE LA PIÈCE ?     • on peut expliquer ces répétitions par la situation (supposée) : voilà un petit monde replié en un huis clos après une Catastrophe inconnue. Au sein d’un macrocosme mort et déserté, dans ce refuge cabanon, il n’ y a rien à faire sinon parler, parler et chasser les derniers signes de vie selon le vœu exterminateur de Hamm. Quatre personnages survivent entre eux dans une réclusion étouffante.     Si l‘extérieur

moment le temps s’arrête, il laisse place à l’éternité, notre conscience se fond dans le tout, révélant ainsi notre identité, partie intégrante du Tout. Trait d’union entre le Ciel et la Terre, nous assistons à l’unification des plans, microcosme, macrocosme donnent naissance au cosmos, en perpétuelle expansion, résultante de l’affrontement des forces de déconstruction et de construction ordonnées par la parole de Dieu. Dans son prologue Jean dit : Au commencement était le Verbe et le Verbe était auprès

particulièrement grave : ils interprétaient alors le prodige et proposaient aux prêtres les moyens de rétablir le pax deorum. Leur science était fondée sur l’examen des entrailles d’une victime sacrifiée, et plus particulièrement le foie, censé reproduire le macrocosme divin. Un foie de bronze a été découvert à Plaisance en 1877 : ce document était une maquette servant à l’interprétation des haruspices. La face concave du foie porte quarante-deux inscriptions mentionnant vingt-sept divinités : l’haruspice, en

il semble qu’il n’a pas réussit, il n’a pas non plus échoué, car certains de ses personnages sont dans les mémoires de beaucoup de générations de lecteurs. L’autre réussite de Balzac, c’est d’avoir créé un monde romanesque qui n’a rien a envié au macrocosme. Nous retiendrons, au terme de cette étude, que l'analyse des personnages a permis de percer à jour les envies et les motivations des actes de tout individu.

engagement est courageux sous le règne de Louis XIV. – Le symbolisme des animaux, emprunté à Esope, est adapté à la société de son temps, car la pensée classique est habituée à raisonner par analogie : l'homme (le microcosme) est à l'image du monde (le macrocosme), et les qualités des hommes correspondent à celles des animaux (cf. par exemple La Rochefoucauld « Du rapport des hommes avec les animaux », Réflexions diverses XI). Il faut aussi tenir compte de la caution scientifique apportée à cette analogie

ces progrès (§7), importance du latin. Ce qui est nouveau •Importance de l'expérimentation et de l'observation •Une partie de l'apprentissage fondée sur l'expérience: "fréquentes dissections" l.23 • l'être humain est un microcosme à l'image du macrocosme. • histoire naturelle : aller sur le terrain pour observer la nature. • introduction du corps dans le programme éducatif.   Conclusion     Les caractéristiques de cette lettre montrent la détermination de Gargantua à voir son fils suivre un

village la cheminée (sq pour pluriel) Ma maison De clôture, d’enfermement : le clos ; maison = province (=royaume) et même plus ! (hyperbole et gradation). Pour l’enfant, son microcosme vaut le macrocosme. De chaleur : fumer la cheminée ; du foyer (dans tous les termes) D’ailleurs, le lyrisme matriciel, se confirme selon nous, par l’emploi de termes affectifs plus que descriptifs : petit village, ma pauvre maison (du Bellay

mort encore une fois le figé, l’ouragan, c’est le sombre, le déchaînement, la furie de la vie encore une fois le mouvement. • de façon habituelle chez Baudelaire, le lien (correspondance baudelairienne) est fait entre le microcosme, l’oeil et le macrocosme de la nature, ciel et tempête. • Par ailleurs, on pourrait dire que cette métaphore filée - une première métaphore est continuée avec d’autres images qui relèvent du même domaine - reste motivée : blanc de l’oeil, couleur foncée de l’iris.

collections were necessary signs of status, but more generally on noblemen. (…) Rudolf’s possession of a universal collection could symbolically represent his Imperial majesty, his control over a microcosm, that reflected his claims to mastery of the macrocosm of the greater world, and over the body politic of which he was sovereign. » (Dacosta Kaufmann : 145). Se peut-il alors que la collection de Rudolf ait eu une fonction diplomatique ? Certainement, et il n’est pas difficile d’imaginer le prestige

dans son unicité, mais aussi comme un élément du système qu’est le recueil. Il ne faut en effet jamais perdre de vue ces deux contraintes de la chaîne de sonnets qu’est le Mespris...; ce n’est qu’en passant fréquemment du microcosme du poème au macrocosme de l’oeuvre que peut se dessiner une spécificité du discours de Chassignet. Tout l’enjeu de la démarche d’écriture de l’auteur, qui oppose la brièveté du sonnet, forme naturellement close et ramassée, à l’importance de l’ouvrage que leur accumulation