Macrocosme

faire partager le fruit de ses expériences et ses connaissances de la vie aux autres mortels. Quatrième strophe La comparaison entre l'arbre et le poète est explicite (dit clairement) pour la première fois. Mais le poète se situe dans un macrocosme géographique (idée d'un agrandissement) donc à l'échelle mondiale "Landes du monde"qui rentre en opposition avec le microcosme (idée d'un rétrécirssement) du début du poème "Les Landes" françaises. Il est immergé dans un monde repeuplé par la masse

pourpre. La doctrine est une spéculation mystique centrée sur l'idée de sympathie universelle. »7 L'alchimie est liée à la philosophie hermétique, qu'on peut définir comme « une vision du monde fondée sur les correspondances et 'sympathies' unissant macrocosme et microcosme »8. Il ne faut cependant pas confondre les deux, les textes philosophiques du Hermetica ne parlant pas d'alchimie. Des textes, à la fois hermétiques et alchimiques, apparaissent dès le IIe ou ier siècle av. J.-C.9. Sont-ils égyptiens

(travail sur les discours médicaux) Avant le XIXème, l’humorisme Une représentation de l’homme et du corps Hippocrate défini une éthique de la médecine, une philosophie qui est le contenu de cette médecine. Pour lui le monde est UN, du macrocosme au microcosme. Et tout découle de cette perception du monde, dont la physique, la médecine… Cette perception du monde est immédiate (universaux philosophiques ?) Quatre types de qualités se déclinent : chaud / froid et sec / humide. C'est ainsi

le pour et le contre il y a d’immenses espaces souterrains où le plus menacé des hommes pourrait vivre en paix ». De façon plus rigoureuse encore, il s’intègre dans la lignée des hommes qui ont saisi la correspondance entre le microcosme et le macrocosme. Ce sont ces expériences médicales aussi précises que peu orthodoxes qui l’ont ouvert à ces analogies. « J’eus pour la première fois le sentiment que la mécanique d’une part et le Grand Art de l’autre ne font qu’appliquer à l’étude de l’univers

peut-être serons-nous alors capables de découvrir derrière telle souffrance une maladie créatrice au sens d’un moyen de progression dans notre évolution. Selon l’approche taoïste, les mécanismes psycho énergétiques, qui régissent l’organisation du macrocosme et du microcosme, renferment les clefs de la connaissance de notre langage intérieur et nous apportent la compréhension et la découverte du sens en fonction de la localisation du symptôme. Cette approche est en accord avec la vision des traditions

l’Antiquité (-460, -370)), puis complétée par Galien (médecin romain de l’Antiquité (129-201)), prétendait que le corps humain était constitué de quatre éléments. Cette théorie découle directement de celle du rapprochement entre le microcosme et le macrocosme, qui veut que le corps humain soit un univers miniature. Dès lors, quatre fluides du corps humain étaient associés à ces éléments. Un déséquilibre entre ces éléments causait une maladie, ou un déséquilibre du caractère. Ces fluides étaient regroupés

* les « amis » (les grands qui ont du pouvoir et qui constituent un réseau sur lequel il faut s’appuyer pour étendre son pouvoir) * les sujets (le peuple qu’il faut maîtriser, soumettre) Il différencie le microcosme politique et le macrocosme politique (le peuple etc..) Machiavel veut être d’emblée réaliste et ne pas concevoir une utopie irréalisable. Il ne faut pas pour cela être moral, être guidé par un idéal mais composer avec le réel. Puisque la politique est différente

relation est appelée « quadrature péri métrique du cercle »… et bien d’autre découverte encore qu’il serait hors de propos de décrire plus longuement ici. J’en conclu que l’Eglise Romane si courante autour de nous est une image de l’Univers ou macrocosme et microcosme s’unissent. Image de l’Univers elle est harmonie, et c’est ce que nous ressentons profondément en pénétrant dans une église Romane. Habitation de Dieu parmi les hommes, c’est un instrument de transformation de l’Homme et de son ascension

certitude, pour l’initié, de ne pas être une particule isolée et inutile, lancée sans finalité, ni raison suffisante, dans un Univers qui ne va pas nulle part. C’est la conscience d’appartenir au Grand Tout et de participer au Grand’Œuvre. Entre le macrocosme que nos ancêtres ont adoré, et le microcosme que nous ignorons encore, nous savons que l’infiniment grand obéit à la même Loi que l’infiniment petit. Comme il est écrit dans la Table d’Émeraude, « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut

deux ne peuvent être séparés : de grandeur différente, ils ont été construits selon les mêmes proportions. Un principe d'analogie universelle fait de l'Homme un petit monde dans le grand, un microcosme  dans le  macrocosme . L'Homme est le miroir du monde qu'il reflète par l'organisation de son corps. Dans un de ses manuscrits, conservé à  Lucques , on trouve la  miniature  représentant un homme aux bras