Magistrats romains

Paragraphe 1 : ⇒ « les Romains n’infligèrent la torture qu’aux esclaves, mais les esclaves n’étaient pas comptés pour des hommes. » : première phrase bâtie sur une opposition qui laisse supposer que les romains étaient plus en droit de torturer que les hommes du XVIIIème siècle car eux ne torturaient que les esclaves qui ne comptaient pas pour des hommes. Voltaire apporte ici un semblant de justificatif historique ⇒ énumérations : « hâve, pâle, défait », « les yeux mornes, la barbe longue

qui est un service public ! En outre le bon font de la justice est assuré et garanti par l’observation de principes fondamentaux : - pp d’indépendance et d’inamovibilité des magistrats du siège, il existe 2 catégories de magistrats : juge (tranche les litiges et met fin a des contestations) et les parquetiers (magistrat mais pas un juge, ne tranche pas les litiges). Les juges n’ont d’ordre à recevoir de personne, et son indépendants du pouvoir et du garde des sceaux ! Le parquet est sous l’ordre

Jouent un rôle très important à sparte, ils règnent ensemble comme chef religieux et militaire, peuvent conduire la guerre où il veulent et quand ils veulent. Placé par la suite sous le contrôle de 3 magistrats et devront prêter serment tout les mois de régner selon les lois existantes. 2 Les magistrats 5 Éphores sont éluent chaque années par le conseil. Ils détiennent un pouvoir sur l’éducation des jeunes, pouvoir de police, d’exécution et de finance public. Doivent rendre compte à leur successeur

gouvernement, ses lois, sa religion et ses propres mœurs) située en Grèce continentale. On étudiera les Vème et IVème siècle, période durant laquelle une démocratie existe dans cette cité. Rome est une cité située au centre de l’Italie, capitale de l’Empire romain, qui s’étend tout autour de la Méditerranée. On étudiera Rome du Ier au IIIème siècle, période de paix et de prospérité. • Problématique : Quelles ressemblances et différences peut-on observer avec la citoyenneté que nous connaissons aujourd’hui

Au temps des romains, des modes apparaissent mais seules les personnes riches les suivaient, tandis que les pauvres se contentaient de haillons. a) La toge La toge était le vêtement du citoyen romain. Sa longueur était trois fois plus grande que celui qui la portait. La forme de la toge était un demi-cercle (il n’y avait pas de coutures) que l’on repliait ensuite sur soi-même de manière à ce que le bras gauche soit couvert et le bras droit libre. Ce vêtement mesurait environ 5 mètre de long

mention du reste, parce que les unes ne furent que plus tard ajoutées à l'Empire, et que les autres, bien qu'alors déjà soumises, n'étaient pas gouvernées par les Romains, mais ou se gouvernaient d'après leurs propres lois ou étaient concédées à des rois ; celles d'entre elles qui, dans la suite, passèrent sous le gouvernement des Romains furent ajoutées aux provinces du prince régnant. Telle fut la division des provinces. 13. César, voulant même dans ces conditions écarter aussi loin que possible

defendre sa cité -obeir aux magistrats -payer les impots Devoir religieux : -honorer les dieux sur le champ de bataille et lors des fêtes consacrées à cela. A rome -A Rome, la citoyenneté peut s’avoir beaucoup plus facilement : il suffit d’être libre et la citoyenneté peut t’être donnée, même aux étrangers. Droits publiques : -Ils ont le droit de voter lors des elections -être élus magistrats. Droits civils : -porter les trois noms et la toge -se marier avec une romaine -posseder et leguer un

traditionellement on considère que les origines du droit français est lié au territoire gallo romain. On a une vision territoriale du droit français. On considère que l'invasion par les peuplades germaniques au 4-5e S(av JC.) constitue une 2 e influence juridique( la 1er etant le droit romain) , le christianisme en est une troisième lorsqu'il se répend dans toute l'Europe, on considère que le droit canon vient s'ajouter au droit romain et germanique pour crée le socle du droit français. Pour comprendre les insitutions

leçon d'histoire s'impose. Les plébéiens étaient des hommes libres non-privilégiés issu de la plèbe. Ils formaient la plus grande partie de la population romaine, regroupant des citoyens riches et pauvres, patrons et clients, Romains et étrangers. Malgré cette diversité, les plébéiens n'avaient accès à aucun privilège de la société romaine et n'avaient ni droits individuels, ni même d'état civil. Cette partie du peuple se définissait par opposition aux patriciens et leur organisation oligarchique

Sujet : Le Principat d'Auguste, un nouveau régime ? Depuis -509, date de la chute de la monarchie, les romains ont toujours été hostiles à l'idée d'être gouvernés par un Roi. Cette simple idée faisait naitre en eux des sentiments puissantes qu'illustre l'assassinnat de César aux ides de Mars de -44. Pourtant, avec le siècle des grands imperatores (Scipion l'Africain, Scipion l'Asiatique, Pompée et César, pour ne citer que les plus célèbres) est né le sentiment que la République n'était plus