Maintenant ou jamais

rien a par regarder autour de moi. Il y a quelques minutes je me trouvais devant un bon film le temps passait vite et je me sentais bien, c’est drôle comme le temps peut se ralentir a vue d’œil en quelques secondes alors que parfois on pense que jamais on arrivera à accomplir tout ce dont on a besoin de faire par manque de temps. Autour de moi se trouve des tas de choses qui ordinairement pourraient m’intéresser mais ce soir je n’en ai pas vraiment envie. Ce soir je n’ai envie de rien faire, je

me baladant dans la salle, j’ai cru apercevoir Scott, mais le « Scott » en question avait disparu quelques minutes plus tard alors que je servais un client. Mon imagination me joue parfois des tours ! 23:54 Je suis épuisé, mais je suis habitué maintenant que je travaille régulièrement. Je vais me coucher car demain je vais déjeuner avec Scott. Bonne nuit mon journal. Dimanche 31/10/10 12:00 Je rejoins Scott au café situé à côté du lycée. Il m’avait invité pour que l’on puisse discuter. « Je

que l'on connaît après une bonne séance de sport ! " Elena se laissa tenter par les pilules miracles. Le soir, étendue dans son lit, détendue par les bienfaits de la pilule, Elena ne pensait plus à ses idées de "Qu'en serait le monde autrement ?" Et jamais plus elle n'y repensera. Adam arriva dans l'après midi, le lendemain, un bouquet de marguerites à la main. "L'homme parfait" pensa t-elle. Il avait le même physique que tous les hommes de cette terre, mais pour Elena, il restait le plus bel homme

Et maintenant, je sais. Je sais grâce à eux je n'ai jamais été seule. Qu'ils sont toujours restés là, dans l'ombre, à me guetter, et à me rattraper quand je tombais. Je sais maintenant que je n'ai plus à avoir peur, et qu'il y a une chose tout aussi extraordinaire que celle d'aimer, le fait de se sentir aimé. Je sais que je n'ai plus à avoir peur, et que je peux avoir confiance en la vie, confiance en moi, confiance en l'avenir. Que je peux avoir confiance en eux. Je sais que à partir d'aujourd'hui

toujours assise au premier rang. On ne sais jamais vraiment beaucoup parlé mais je t'ai toujours trouvé mignon. J'ai appris qu'une enquête avait été ouverte, pour tous ce que tu as vécu. J'aurais pu allais m'entretenir avec la femme qui gère cette enquête mais je me suis dit que je ne serais sûrement très utile. Je t'envoie cette lettre parce qu'au fond de moi, je m'en veux, oui je m'en veux de n'avoir pas réagi face à ce que tu as vécu. Je n'ai jamais participé directement aux "brimades" si je puisse

retourner, ça gâcherait le poème. J’étais arrêtée au bord du trottoir à guetter le flot des voitures pour traverser à la hauteur de la rue des Saints-Pères. Précision : une Parisienne qui se respecte sur le boulevard Saint-Germain ne traverse jamais sur les lignes blanches quand le feu est rouge. Une Parisienne qui se respecte guette le flot des voitures et s’élance tout en sachant qu’elle prend un risque. Mourir pour la vitrine de chez Paule Ka. C’est délicieux. Je m’élance enfin quand une

16 septembre Hier, je me croyais la personne la plus heureuse de la terre, de toute la galaxie, de toute la création. Etait-ce hier seulement, ou bien à des millions d’années-lumière ? Je pensais que jamais l’herbe n’avait eu d’odeur aussi verte, que le ciel n’avait jamais été aussi haut. Et maintenant tout s’est écroulé et je voudrais me fondre dans le néant stupide de l’univers et cesser d’exister. Mais pourquoi, pourquoi ne le puis-je ? Comment pourrai-je affronter Sharon et Debbie et les copains

de nouvelles policieresEn guise d’introduction à cette petite séquence sur la nouvelle, vous avez lu Le fantôme de Lady Margareth de Marie Higgings-Clark. Dans ce recueil, on trouvait différents types de nouvelles, toutes policières.Nous allons maintenant nous intéresser à un type de nouvelles qui joue particulièrement sur le suspens et l’implication, la réflexion du lecteur : les nouvelles à chute. A l’examen, vous analyserez une nouvelle de Stephen King et indiquerez si elle appartient aux nouvelles

Je ne peux pas gagner, je ne peux pas gagner Je ne gagnerai jamais ce jeu sans toi, sans toi Je suis perdu, je suis vain Je ne serai plus le même sans toi, sans toi Je n’aimerai pas, je n’aimerai pas Je ne pourrai jamais tirer un trait sur le passé sans toi, sans toi$ Je ne peux pas me reposer, je ne peux pas mentir Tout ce dont j’ai besoin c’est de toi et moi, sans toi Sans… Toi ! Toi ! Toi ! Toi ! Toi ! Toi ! Toi ! Toi ! Je ne peux pas effacer, j’admets que c’est de ma faute-

et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j'endure ; Mon bien s'en va, et à jamais il dure ; Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mène ; Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine, Et être au haut de mon désiré heur, Il me remet en mon premier malheur. Las, où est maintenant... de Joachim du Bellay (1522-1560), paru en 1558 dans Les Regrets, est aussi un sonnet