Mal Physique Et Moral Candide

les lecteurs ont souvent besoin d'un idéal : la littérature est alors le moyen de "s'évader" pour accéder à cette utopie. La description de La Princesse de Clèves dans le roman du même nom, nous montre un héros parfait d'abord sur le point physique, mais aussi moral, par sa virtuosité, le héros semble doué de toutes les qualités, ce qu'on attend alors de ce héros est le charme et la séduction; il est idéalisé. Ces héros parfaits font rêver. Dans un autre genre, Jean Valjean dans les Misérables est un

critiquer, il dissimule donc une critique audacieuse de la monarchie du droit divin et de la religion catholique. Voltaire dans Candide ou l'Optimiste critique la philosophie de Leibniz à laquelle Candide et Pangloss sont rattachées « Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes ». Mais le meilleur des mondes n'existe pas, et Candide prend enfin conscience que le mal existe. Il constate que la souffrance humaine existe, et que Dieu y est indifférent. Le conte aboutit avec une leçon d'humanité

La marche dans la nature c) La Fugue: l'expression de la rupture avec la société II. Un éloge de la poésie a) L'image valorisée de la poésie b) La poésie: l'activité principale du poète c) Un sonnet empreint de liberté SEQUENCE 2: "Les Fleurs du mal" Problématique de séquence: Le regard du poète sur la femme s'oriente-t-il vers le spleen ou l'idéal A une passante (1) Pb: Comment ce poème met-il en scène la rencontre amoureuse I. Le portrait de la femme désirée a) Une femme fascinante b) Une beauté

Auteurs et œuvres Français BAUDELAIRE PREVOST Les fleures du mal - Manon l’Escaut BARBARA.C RACINE L’assassinat du pont rouge - Phèdre CAMUS.A V.HUGO L’étranger - Melancolia La peste -Aux morts de la nuit CORNEILLE du 4 L’illusion comique -Hernanie Le cid VOLTAIRE FLAUBERT - Candide Mme Bovary ZOLA MOLIERE - Thérèse raquin l’école des femmes Don juan LA MARTINE Le lac PLAUTE Amphitryon Le soldat fanfaron

Le Mal : Introduction générale Avant propos : Poser le problème du mal semble être semblable à poser tous les problèmes. Si le mal n’existait pas, nous serions dans une sorte de léthargie heureuse, il n’y aurait pas de questions, de problèmes. Le mal nous confronte à ce qui ne devrait pas être. Poser le problème du mal, c’est poser tout ce qui ne vas pas. «Commencer à penser c’est commencer d’être miné» (Albert Camus). Le mal est inséparable de l’éveil de la pensée et la pensée s’éveille car on

Célébration de dieu Chs lex « dénouement » « célébrer ; adorer » Ces verbes soulignent la grandeur de l’interlocuteur. Ce *** dans la perspective de l’éloge. Voltaire célèbre la puissance du créateur. o La faiblesse des hommes sur le plan Physique Chs lex « fragilité » « faible créature » ; répétition du mot « erreur » On à une description de la condition précaire de l’homme. La répétition du mot insiste sur les capacités humaines et rappelle ainsi les conséquences du pêché originel (Adam

présentée avec le registre épique comme étant une force contre laquelle rien n’est possible. C’est ce que traduit l’anaphore du terme « Mal ». Les sonorités dures notamment les allitérations en –r dans les mots hyperboliques « terreur » « fureur » « crimes » contribuent à suggérer la dureté de l’épidémie. Les conséquences de l’épidémie sont tant morales que physiques. En effet, tous les vivants ont perdu leur joie. C’est ce que révèle la récurrence de la négation « ni loup » « ni renard », « nul mets »

c’est un discours se proposant de « justifier la bonté de Dieu par la réfutation des arguments tirés de l’existence du mal dans ce monde, et par suite la réfutation des doctrines athées ou dualistes qui s'appuient sur ces arguments »[4]. Il est essentiel de souligner le principal enjeu de la théodicée leibnizienne. La question est d’abord : comment accorder l’existence du mal avec l’idée de la perfection générale de l’univers ? Mais, par delà les difficultés internes à la métaphysique leibnizienne

du récit, en tout cas considéré comme moins sérieux que les autres formes d’argumentation. Cependant des écrivains comme La Fontaine et Voltaire savent le parti que l’on peut tirer de la force argumentative de la fiction. Pour La Fontaine : « Une morale nue apporte de l’ennui Le conte fait passer le précepte avec lui » ( « Le Pâtre et le Lion », VI, 1) Sujet à traiter : Pour emporter l’adhésion de son auditoire, quels atouts présente la fiction ? Pourquoi certains écrivains ont-ils recours à des

grossir les faits. Comme ces faits sont irréels, cela ne pourra lui être reproché ! L'auteur ne prend ainsi aucun risque. Cependant il utilise aussi des apologues, un apologue étant un court récit en prose ou en vers, dont on tire une instruction morale; l'apologue permet à l'auteur de faire passer son message. Le créateur de fiction utilise sa fantaisie en variant les types de personnages. Il se rapproche ainsi de la réalité. Il peut par exemple prendre des personnages bons ou méchants. Dans