Maladie De Madame Bovary

illusions que le titre évoque sont bien les rêves de Handke. Dans ces deux cas de figure, l’illusion est un véritable moyen d’essor, pour accomplir ses désirs, et même pour créer. Mais elle peut être également salvatrice. Prenons l’exemple de la maladie. Des débats s’animent aujourd’hui sur la nécessité, ou non, de révéler la vérité quant à la gravité de son état à un malade en phase terminale. A quoi bon prévenir une personne de sa mort « imminente » alors que le poids de cette révélation pourrait

RACINE L’assassinat du pont rouge - Phèdre CAMUS.A V.HUGO L’étranger - Melancolia La peste -Aux morts de la nuit CORNEILLE du 4 L’illusion comique -Hernanie Le cid VOLTAIRE FLAUBERT - Candide Mme Bovary ZOLA MOLIERE - Thérèse raquin l’école des femmes Don juan LA MARTINE Le lac PLAUTE Amphitryon Le soldat fanfaron Baudelaire Biographie : Charles-Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et

 Werther, Les Affinités électives,  Clarisse  Harlowe,  Emile,  Candide,  Cinq­Mars,  René,  Les  Trois  Mousquetaires, Mauprat, Le Père Goriot, La Cousine Bette, Colomba,  Le Rouge et le Noir, Mademoiselle de Maupin, Notre­Dame de Paris,  Salammbô,  Madame  Bovary,  Adolphe,  M.  de  Camors,  L'Assommoir,  Sapho, etc., ose encore écrire : « Ceci est un roman et cela n'en est pas  un  »,  me  paraît  doué  d'une  perspicacité  qui  ressemble  fort  à  de  l'incompétence. 2  Généralement  ce  critique 

que les romanciers justifient leurs choix esthétiques et leur conception du roman, mais la correspondance privée est aussi le lieu où ils font part de leur travail, de leurs interrogations, de leurs hésitations. L’on comprend mieux la genèse de Madame Bovary en lisant les lettres de Flaubert à son amie Louise Colet. Ainsi, le jeune Stendhal, Henry Beyle à l’état civil, confie à sa sœur Pauline dans une lettre datée du 3 août 1804 : « Tu sais bien que, dans les romans, l’aventure ne signifie rien :

notamment dans la pièce Le bourgeois gentilhomme , en insistant sur les vices de cette classe sociale ce qui provoquait immanquablement le rire moqueur du public, qui sonnait comme une véritable provocation malveillante. De même, dans l'ouvrage Madame Bovary de Gustave Flaubert, le rire apparaît également agressif à cause de la maladresse de l'écolier et du comportement de celui-ci lorsque son professeur le réprimande devant toute la classe ; les éclats de rire n'ont d'autre but que d'humilier le jeune

classe sociale / milieu - Représente une époque. Thèmes : 1) Le pouvoir de l’argent. 2) Le corps (fin de la pudeur). 3) Maladie / médecine. 4) Absence de spiritualité. 5) Homme banal (déclin de l’aristocratie). 6) Jeune homme ambitieux (d’origine modeste mais arriviste). Matérialiste 7) La femme (épouse /

rebute. En revanche, nous pouvons très bien, dans un roman, nous intéresser à des gens dont les équivalents dans la vie ne nous intéresseraient pas du tout. Je connais des Monsieur Homais (1) : dans la vie, je m’en écarte avec soin. Je connais des Madame Verdurin (2) : la seule idée d’aller passer une heure à leurs raouts (3) me fait me réveiller la nuit en poussant des cris d’épouvante. Je connais des Cousine Bette (4) : je cours encore. D’où vient alors que, dans les romans où ces différents personnages

assez vite pour ne pas retenir et ne pas être tenté de vous relire. André Breton. II.Le personnage. Madame Bovary, c'est moi. Flaubert. On n’invente pas les personnages, ils existent dans l’inconscient, il faut les laisser sortir. Henry Bauchau. Un fleuve est un personnage, avec ses rages et ses amours, sa force, son dieu hasard, ses maladies, sa faim d’aventures . Jean Giono. Ce que j’ai découvert de plus important, c’est que la perception qu’a l’auteur

soit un conte d’angoisse de la solitude, angoisse du moi et angoisse de claustration. L’objectif de l’auteur : On peut penser qu’en écrivant cette nouvelle, Maupassant, relate sous forme d’une histoire imaginée, une expérience personnelle. La maladie de sa mère est pour son fils un sujet de préoccupation majeur. Pour Maupassant les troubles commencent très tôt. « Il avait l’habitude dans sa jeunesse de se contempler dans le miroir et ressortait toujours de cette expérience l’air égaré, avec la

rebute. En revanche, nous pouvons très bien, dans un roman, nous intéresser à des gens dont les équivalents dans la vie ne nous intéresseraient pas du tout. Je connais des Monsieur Homais (1) : dans la vie, je m’en écarte avec soin. Je connais des Madame Verdurin (2) : la seule idée d’aller passer une heure à leurs raouts (3) me fait me réveiller la nuit en poussant des cris d’épouvante. Je connais des Cousine Bette (4) : je cours encore. D’où vient alors que, dans les romans où ces différents personnages