Malebranche La Liberté

Hermeline l’épouse de Renart – Grimbert le blaireau – Tibert le chat – Tiécelin le corbeau – Chantecler le coq – Brun l’ours – Pinte et Copette les poules – Bruyant le taureau – la mésange – Baucent le sanglier – Couart le lièvre – Percehaie, Malebranche et Roval, les fils de Renart – Tardif le limaçon… • ______________________ •_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ •_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _______________________ • ______________________ _______________________

le pouvoir en place et l'autorité existante, afin d'établir un pouvoir plus juste. Selon Marx, la « violence est l'accoucheuse de l'histoire ». - Comme praxis révolutionnaire du colonisé qui, en faisant usage de la force, combat pour sa liberté et reconquiert sa dignité. 3. Selon Eric Weil : refus de la communication, fermeture du discours et de la pratique humaine. Si la violence est l'autre de la vérité (ce que n'est pas l'erreur qui est encore, en vérité), il y a de la violence

peuvent s’expliquer par des différences dans l’étendue. En proposant qu’il y ait un lien entre le stimulus et le sujet, Descarte pose (peut-être sans le savoir) la notion de réflexivité. Cette psychologie se poursuit chez certains post-Descartes : Malebranche [1838 – 1715] jusqu’à Fechner[?] [1801 – 1887] puis Wundt [1832 – 1920]. Psychologie du sens interne Mais une psychophysique ne peut se contenter de rendre compte des sens externes, elle doit aussi s’intéresser au sens interne. Ce sera la

recule devant rien pour gravir les marches de l’ascension sociale… Alors que le XVIIIème siècle est réputé pour sa philosophie : la puissance de la raison et celle de la sagesse, nous avons en opposition tout le courant libertin qui exulte toute la liberté de soi et du désir… Nous pourrions caractériser Manon Lescaut comme une catin moderne qui choisi d’échanger son corps pour de l’argent… En effet, alors qu’elle explique à des Grieux de quelle manière elle fut séduite par Monsieur de B…, nous apercevons

fondement de sa liberté. Ainsi di Kant, tout homme a un coté déterminé mais à cause de la loi morale, il est entièrement libre et volontaire. Schopenhauer reprend l’idée = l’homme est entièrement déterminé dans le monde phénoménal mais il y a une dimension abyssal de l’homme qui porte en lui une caractérisation qui n’est plus soumise au monde phénoménal. Néanmoins pour lui la Volonté ne correspond pas à la liberté, elle est la loi morale. L’homme est composé non pas de déterminisme et de liberté mais de

à l’universel. On peut nommer cela « conscience », terme qui signifie tout à la fois la lucidité, la présence au mode et à autrui, et la vigilance à l’égard de ses pensées et de ses actes. Le mystique nomme intérieur cette promesse de lumière. Malebranche, dans La Recherche de la vérité, remarque : La science du monde, le goût du siècle, le bel esprit, communiquent à notre esprit une insensibilité effroyable à l’égard de toutes les vérités. » On ne comprend la vérité que dans le silence ; c’est la

science nous a appris que nous avons tort de nous fier aux informations de nos seuls sens. 5) La subversion de la raison par l’imagination Il n’y a peut-être pas de pensée sans images, mais l’imagination n’est pas une faculté inoffensive. Malebranche (XVII° siècle) l’appelle « la folie du logis » et Pascal l’accuse d’être une « maîtresse d’erreurs et de fausseté ». Elle est une puissance capable de TROMPER les sens, le cœur ou la raison en brouillant la frontière entre le réel et l’imaginaire

dans l’une et l’autre colonnes ne constituent pas nécessairement, dans l’économie du cours élaboré par le professeur, des têtes de chapitre. L’ordre dans lequel les notions sont abordées et leur articulation avec l’étude des œuvres relèvent de la liberté philosophique et de la responsabilité du professeur, pourvu que toutes soient examinées. Le professeur mettra en évidence la complémentarité des traitements dont une même notion aura pu être l’objet dans des moments distincts de son enseignement.

Cette hypothèse s’oppose à notre liberté. Si cela était vrai, l’Homme ne serait aucunement libre, mais seulement automate. Si Freud a raison, nous serions des automates et nous ne serions aucunement responsables. Si cela était vrai, alors la morale et la justice seraient privées de leur fondement. Le crime n’existerait plus parced que nous ne serions que des robots mal réglés. E) Le problème de la liberté L’Homme est-il libre ou déterminé ? 1) Qu’est-ce que la liberté ? a) L’opinion commune

besoin, de désir, d'instinct, d'inquiétude (« l'inquiétude causée par la privation d'un objet, est le principe de nos déterminations »). Ce faisant, il apporte aux apories dualistes une réponse qu'il juge bien supérieure à l'occasionnalisme de Malebranche, pour lequel l'abîme entre les corps et l'intellect ne peut être surmonté que par l'action et la vision divines. La Grammaire ayant démontré l'importance des signes, il précise dans une dernière édition du Traité que, se limitant à l'ordre de la