Manatthan Kaboul

British In Afghanistan in the 19th Century In the early 19th century, three great powers seek to acquire Afghanistan: The France, Russia and the United Kingdom. 1.First contact with Afghans. The first time that Afghans came into contact officially with the British, it was in 1809 when Mountstuart Elphinstone was sent to nearly Shah Shoja then on the throne of Afghanistan. This event precipitated the entry of Afghanistan into world politics. The reason for the British mission was to secure the

BEAUMEL mathis Les hirondelles de Kaboul 1)la vision de la femme dans le roman Intro : Dans ce livre on se projette à Kaboul au temps des taliban. Cet ouvrage raconte ce que peut être l'amour au temps des Taliban, dans une ville où les femmes ne peuvent sortir sans être complètement couvertes, tandis que les hommes qui ne sont pas des Taliban, sont maltraités. Ce roman est un hymne aux femmes afghanes. a)l Aucune identité pour les femmes la femmes a l’époque de la guerre où régnaient les taliban

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alors que certaines occupaient un poste important au sein de la société, dans un cabinet d’avocats ou bien dans un hôpital, par exemple. Fermer les établissements scolaires réservés aux filles fut l’un des premiers actes des Talibans après la prise de Kaboul et je trouve désolant que l’intelligence féminine soit si faiblement exploitée dans un pays qui saurait l’utiliser avec discernement. On peut constater que le roman «Mille soleils splendides» appuie mon raisonnement lorsque, à l’hôpital, Mariam parle

Fiche de lecture n°1 Syngué sabour ou Pierre de patience, Atiq Rahimi (Prix Goncourt 2008) Atiq Rahimi Né le 26 février 1962 à Kaboul, il est franco-afghan. Atiq Rahimi vit la guerre d'Afghanistan de 1979 à 1984, puis il se réfugie au Pakistan. Il demande l'asile politique à la France en 1984 et obtient son doctorat en audiovisuel à la Sorbonne. Il obtient le prix Goncourt en 2008 pour Syngué sabour. Il réside en France mais retourne en Afghanistan depuis la chute des talibans. Originalité

aujourd'hui 1 600 sur le terrain auxquels il faut ajouter 600 autres soldats embarqués sur les navires français dans le cadre de l'opération "Liberté immuable". Les soldats français sont principalement stationnés dans la capitale, à Kaboul, avec 3 missions : -Sécuriser Kaboul. Tenue à l'écart des combats au sol, l'armée française organise des patrouilles dans la capitale et sur la plaine voisine de Shamali. Elle est aussi chargée d'une vaste opération de déminage de la zone et détruit 450 tonnes d'explosifs

privilégiées avec l’URSS et met en place une série de réformes collectivistes et sociales (alphabétisation, droit des femmes, réformes agraires…) qui contrarient les coutumes conservatrices afghanes. L’opposition grandissante menace le régime communiste de Kaboul, ce qui pousse Brejnev à intervenir en Afghanistan en décembre 1979. Moscou envoie l'Armée rouge en Afghanistan, le 24 décembre 1979, pour ramener Babrak Karmal au pouvoir (son prédécesseur Hafizullah Amin, porté au pouvoir par un coup d'État en

le comportement de chacun. L’auteur nous fait connaître l’histoire de l’Afghanistan, son mode de vie d’avant le coup d’État, l’arrivée de l’armée russe qui fut le début d’une période sanglante. Croyant la guerre terminée avec l’arrivée des taliban, Kaboul désenchante lorsqu’ils sont rendus maîtres de la ville, l’histoire se poursuit en tueries et incendies. Le jalon du roman est l’amitié entre deux amis, Amir, fils de Baba, riche commerçant et Hassan, pauvre et serviteur de Baba. Ils sont différents

construction de dispensaires… [3] La remise en état de l’aviation civile, la remise sur pied du ministère de la santé, la reconstruction de l’infrastructure routière voir la reconstruction de l’Etat. [4] « Je ne sais pas ce que vous allez faire… Allez à Kaboul et nous verrons une fois que vous serez sur le terrain ! » [5] Combined Forces Land Component Command (CIFLICK pour les initiés) [6] Les Nations Unies avait ouvert une antenne près de la base aérienne de MacDill (siège du CFLCC)

à l’isolement de ceux-ci. La paranoïa filiale entre Amir et son père face à leurs différents. La dévalorisation du peuple afghan pendant et après la guerre amenant de lourdes conséquences. La cruauté humaine des talibans envers les citoyens de Kaboul amenant le rejet de la part du reste de la population. La culpabilité d’Amir envers Hassan pour ne pas l’avoir aidé lui causant ainsi des remords pour une bonne partie de son existence. La vengeance d’Assef envers Amir le portant dans une peur constante