Manifestations Du Horla

Le Horla écrit en 1887 par Guy de Maupassant L’histoire commence en Normandie, vers Rouen. Le narrateur étant le personnage principe admire le paysage de chez lui. Cinq jours plus tard, il tomba gravement malade puis une mélancolie inexplicable l’envahi. Durant cette période, il sentit une appréhension d’un malheur qui allait lui arriver, il ne pouvait plus dormir comme si la nuit était menaçante. Lorsque la nuit tomba, il se sentait en danger, il faisait des cauchemars toutes les nuits ce

désigner le Horla sont également intéressants. En effet, le narrateur utilise d’une part des pronoms de la troisième personne du genre masculin : « je l’ai vu » « guettant celui que je sentais » « pour le tromper » « je fus certain qu’il lisait » « qu’il était là » « je l’avais vu ». Ces pronoms suggèrent que l’être a des caractéristiques humaines. Cependant, des pronoms personnels du genre neutre sont également utilisés, ce qui souligne au contraire l’identité très floue du Horla : « je regardais

réaliste et naturaliste. Les oeuvres qui ont marqué sa carrière sont les romans Une vie (1883), Bel-Ami (1885), Pierre et Jean (1887-88), mais surtout les nouvelles (parfois intitulées contes): Boule de suif (1880), les Contes de la bécasse (1883) ou le Horla (1887)dont le succès est retentissant. Pour preuve, plusieurs périodiques la reprennent en entier ou par fragments, entre 1887 et 1892. Il a su attirer l'attention en donnant une dimension fantastique à plusieurs de ses récits. Sa carrière littéraire

l’émotion fantastique sont des sentiments esthétiquement négatifs: peur, horreur, dégoüt»1; nous y ajouterions encore la folie. Au XIXe siede le fantastique clinique2, est très en vogue. On laisse de cóté le fantastique traditionnel où les manifestations du sumaturel sont toujours extérieurs et qui met 1’accent sur la réalité du phénomène. Le fantastique clinique, au contraire, se distingue par l’intériorisation de l’expérience insolite. Les angoisses du héros sont dans la première phase intériorisées

 On parle de fantastique en littérature dès lors qu’il y a irruption de l’irrationnel dans un cadre réaliste. C’est ce qui se produit dans Le Horla. Le Fantastique est un genre littéraire qui se développe au XIXe siècle. « le fantastique manifeste un scandale, une déchirure, une irruption insolite, presque insupportable dans le monde réel. » Ainsi, un texte fantastique se reconnaît par un début réel, où tout est logique et réel. Ensuite, un élément mystérieux fait son apparition, l’histoire plonge

THEME 2, « Eloge de l’Angoisse » : Livres lus : « Les Fleurs du Mal », C.BAUDELAIRE ; « Adolphe », B.CONSTANT ; « Le Horla et autres récits fantastiques», G.MAUPASSANT  1) Définition personnelle L’angoisse est un mal existentiel enfermant l’homme dans ses peurs irrationnelles les plus profondes. Ce mal, mental en premier lieu, se manifeste cependant par des palpitations, et autres signes physiques et peut être causé par un mal-être social. 2) Définition argumentée L’angoisse c’est une

larmes pourraient être ceux de Mme Roland ; elle est d’une classe supérieure à la première, or Mme Rosémilly, veuve d’un capitaine est d’une classe supérieure à Mme Roland, femme de pêcheur. Les manifestations du double Le double est le reflet, la ressemblance quasi parfaite d’un être. Ici ses manifestations ne sont pas toujours d’une évidence certaine. Il va, dans Pierre et Jean, se définir essentiellement à travers le personnage de Pierre qui, dès l’annonce de l’héritage de Jean, est confronté non

Le Horla, 5 juillet Intro : Le récit fantastique a pour but de faire hésiter le lecteur entre le réalisme et le surnaturel. Maupassant : 1850, 1893, a écrit le Horla en 1887. Le narrateur est parti pour le mont Saint Michel. Il sent la présence d’un être invisible, et c’est ce jour où il obtient une manifestation concrète de ce doute. Comment l’incompréhension et le doute sont-ils traduits dans ce texte ? I) Discours logique 1) Paragraphes reliés logiquement 6 paragraphes : intro

le Horla de Guy de Maupassant resumé www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Le horla’’ (1885) nouvelle de MAUPASSANT (500 pages) pour laquelle on trouve : l’examen de la genèse (page 2) un résumé (page 2) puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 4) l’intérêt littéraire (page 5) l’intérêt documentaire (page

PREMIÈRE PARTIE Le Horla, Guy de Maupassant Extrait 1 (p. 8) Repérer et analyser 1. a. Le récit est mené à la première personne du singulier. b. La date mentionnée au début du texte est le 8 mai, date de la mort de Gustave Flaubert, grand ami du jeune Maupassant. La nouvelle se présente sous la forme d’un journal intime, destiné au seul narrateur. Jamais il n’évoque la possibilité de le montrer à quiconque. En fait, le véritable destinataire est le lecteur. c. Dans la mesure où le diariste relate