Manioc

végétale de plein champs Les principales spéculations rencontrées dans la zone péri-urbaine de Parakou sont, par ordre d’importance décroissante par rapport à la superficie cultivée, l’igname, le mais, le sorgho (les deux souvent en association), le manioc, le niébé, l’arachide et le coton. Par la suite, nous allons nous limiter aux spéculations sur lesquelles l’enquête préliminaire a fourni des données. La zone est aussi caractérisée par des plantations des arbres fruitiers (surtout les manguiers)

d’exhausteur de goût mais aussi un rôle bactériostatique en inhibant la croissance de certaines bactéries. Il améliore aussi le pouvoir de rétention d’eau du mélange. Le sel nitrité est un stabilisateur de la couleur. Le liant, qui est de la fécule de manioc, contribue à obtenir un mélange homogène des divers composants et améliore la cohésion de l’ensemble de façon à obtenir lors de la coupe un produit de bonne tenue et homogène. III- Cutterage Le cutterage consiste à mélanger le tout dans un

multiples : indienne, africaine, européenne et varient selon les régions. Il en est de même pour les pratiques et les goûts culinaires. Les bases du régime brésilien sont l' arroz (riz blanc), les feijão (haricots noirs) et la farinha (farine de manioc), habituellement combinés avec du bifteck, du poulet ou des poissons. Les autres spécialités brésiliennes incluent le moqueca, (un ragoût de fruits de mer assaisonné avec de l' huile de palme et le lait de noix de coco) le caruru, gombo et d'autres

grands exportateurs de riz (Thaïlande, Viêt Nam), fournit la quasi-totalité du caoutchouc naturel, de l'huile de palme, du coprah, du poivre, et une part importante du cacao, du sucre, du manioc et du café. Il convient cependant d'opposer les pays et les territoires où le riz et les cultures vivrières d'appoint (manioc, patate douce, maïs, etc.) sont très hégémoniques (la plupart) et ceux (Malaisie, Philippines, Indonésie hors Java et Bali) où les plantations dominent. 2- ETUDE DE CAS A- L’expérience

de son PIB pour la défense. De plus, les dépenses de santé en pourcentage des dépenses publiques totales est de 5 à 10%, ce qui est tout à fait insuffisant. En fait, 94.5% des Rwandais sont des ruraux vivant de cultures vivrières (patates douces, manioc, sorgho), d’élevage bovin et de l’exportation de café, de thé et d’étain. Il n’est donc pas surprenant que l’accès aux soins de santé et à l’éducation soit limité. Le fait que de 25 à 50% de la population rwandaise vit avec moins de 1$ par jour est

les animaux... 6 Athénée Léonie de Waha Sciences Sociales Sources http://www.snpn.com/IMG/pdf/DOSSIER_DE_PRESSE_GUETTEURS_D_AVENIR.pdf http://www.sorosoro.org/le-karaja http://fr.wikipedia.org/wiki/Manioc http://fr.wikipedia.org/wiki/Peuple_indig%C3%A8ne_du_Br%C3%A9sil http://www.universalis.fr/encyclopedie/karaja/ 7 Athénée Léonie de Waha Sciences Sociales

une altitude de moins de 500m mais atteint 3414m avec l’Emi Koussi par exemple. Une partie du sud du Tchad est en zone inondable. Ce pays se trouve en zone chaude. Toute l’agriculture et la pêche se trouve au sud du Tchad où on y trouve du maïs, du manioc, du mils et sorghos, des zones de pêche, des bassins cotonnier et du riz. La majorité des grandes villes se trouvent au nord et au sud la densité est majoritairement supérieur à 5 habitants par kilomètre carré. 2) La population du Tchad n’a

les Arawaks, chassés ensuite par les Caraïbes, grave dans cette histoire naturelle de profonds changements. En effet, nombre d’espèces animales et végétales trouveraient leurs origines des voyages réalisés par les peuples précolombiens, comme le manioc, la patate douce, le manicou, l’agouti, le chien domestique ou encore l’iguane commun... Vers 1620, l’arrivée des premiers européens s’accompagne également d’introduction d’espèces domestiques (lapins, chèvres, cochons, bovins..), afin d’assurer la

commercial, avec beaucoup d’exportation donc de nombreux ports qui exportent des produits agro-alimentaires. Le Brésil tente encore d’augmenter de la production par l’irrigation ou encore par les front pionniers ainsi des paysans pauvres cultivent le manioc dans les fronts pionniers de l'Etat du Parà, cependant cela implique l’abattage de forêts et la déforestation pour étendre les surfaces cultivées. Enfin, nous remarquons qu’une grande insécurité alimentaire est présente dans les régions

sous-préfecture de Wonkifong, préfecture de Forécariah. Cette préfecture de Forécariah est située en Basse Guinée à environ une centaine de kilomètres de la capitale Conakry, était jadis un lieu de cultures des tubercules par excellence comme le manioc et l’igname. Dans ce rapport, dans un premier temps, il sera question de situer la place qu’occupent le secteur agricole dans l’économie guinéenne et ses contraintes tout en rappelant la situation précaire de la femme guinéenne ; et dans un deuxième