Marché Obligataire Marocain

clientèle au Maroc avec prés de 3,5 millions de clients. Ce positionnement de grande banque auprès du client lui confère l’image d’entité sérieuse. Entretenir une mauvaise relation client risquerait d’infirmer son image et sa notoriété sur le marché bancaire marocain. Alors, comme l’objectif principal de toute entreprise est d’obtenir des profits et non des pertes à travers une bonne gestion de la relation client. De ce fait la gestion des réclamations, qui est un élément de l’approche qualité, revêt

mon stage de fin d'année à la Banque Marocaine de Commerce Extérieur. En fait ; passer un stage dans une banque notoire et prestigieuse dans l'ensemble de réseau Bancaire Marocain, plus dynamique et plus ouverte sur l'extérieur, en l'occurrence de la Banque Marocaine de Commerce Extérieur (BMCE BANK) élue après 10 ans de sa privatisation la banque de l'année au Maroc, l'unique motif qui m'a motivée de postuler pour un stage. Mon stage au sein de la banque marocaine de commerce extérieur était de familiariser

connaître une croissance durable pendant de nombreuses années encore. CB Richard Ellis continuera d'accompagner les différents acteurs de ce marché (promoteurs, investisseurs, banquiers, et autres institutions dédiées à l'immobilier) en contribuant modestement à leur développement grâce à son expérience de plus de deux cents ans dans les principaux marchés mondiaux , ses 5 ans au Maroc et les compétences multidisciplinaires de son équipe.” INTRODUCTION Le Maroc dispose aujourd’hui d’un cadre macroéconomique

en moyenne, 46% de la production et 50% de la valeur ajoutée du secteur «matériaux de construction». Le marché national est réparti entre les différents acteurs, avec une prédominance de LAFARGE dans le nord-ouest, Ciment du Maroc dans le sud et Holcim dans le Nord-est. Les coûts élevés du transport expliquent, dans une large mesure, le fait que chaque groupe contrôle une grande partie du marché dans sa région. Les années 90 ont constitué pour cette industrie, une période de restructuration, de

Maroc parviendra â créer véritablement de l'emploi, à améliorer son niveau de vie, à men-titre son potentiel productif et moderniser son économie. Un préalable incontournable dans la mise a niveau des entreprises pour affronter la concurrence des marchés extérieurs et relever le défi de la mondialisation. C'est pour ces différentes raisons que l'investissement a toujours bénéficié de la faveur des pouvoirs publics. Dès le lendemain de l'Indépendance, diverses mesures de soutien ont été progressivement

le Maroc face à la crise financière 39 Section 1 : le Maroc est-il touché par la crise économique ? 39 I- le secteur financier 39 II - le secteur touristique 46 IV- le secteur industriel et manufacturier 49 Section 2 : les plans anti-crises marocains 52 Chapitre 3 : Vers une nouvelle gouvernance financière 57 Section1 : Les leçons de la crise pour la réglementation prudentielle des banques 57 I- les agences de notation 57 II- Les leçons de la crise pour la réglementation prudentielle

k [pic] Stage effectué a la Caisse Marocaine Des Retraites • Réalisé Par: YOUNESS EL ALLALI • Encadré Par 

premier temps sur une présentation des principaux éléments de la stratégie de celle-ci, notamment ses valeurs, missions et intentions stratégiques. Le diagnostique sera ensuite orientée selon deux axes : l’environnement en termes d’attractivité du marché des gaz (opportunités, menaces), et l’entreprise en termes de potentialités capitales (forces, faiblesses). Cette analyse nous permettra donc de mettre en relief les atouts et handicapes de « Maghreb Oxygène », ce qui conduira à renforcer les

|Publication : Banque Marocaine pour | | |le Commerce et l'Industrie | Rapport de fin de formation, en tant que chargé d’accueille dans une agence de la BMCI à Rabat [pic] Elaboré par : Encadré par: Mois d’Avril 2006 Remerciements Je remercie Monsieur CHIHI, Directeur de l’agence Rabat Ville Nouvelle, de la Banque Marocaine pour le Commerce

I. Secteur bancaire Marocain 1. Spécificités du secteur : (2006) De 21 banques en 2000, le Maroc n’en compte plus que 16 en 2006, l’apparition de la concurrence en 1998 ayant créé une dynamique de concentration des établissements financiers. Les banques publiques spécialisées, qui ont bénéficié d’une restructuration par les autorités de tutelle depuis 2000, ont pu dégager des résultats significatifs en 2006. Les banques généralistes commerciales ont également connu une