Maréchal, nous voilà !

Après la défaite de la France face a l'Allemagne, le maréchal Pétain est nommé président du conseil le 16 Juin 1940 puis obtient les plains pouvoir le 10 juillet. C'est la fin de la IIIe République et le début du gouvernement de Vichy. Ce document, produit par R. Vachet et qui date de 1940-1942, fait le parallèle entre la France de la IIIe république et la France de Vichy. Celle-ci se fonde sur de nouvelles valeurs comme " Travail, Famille, Patrie" ( la nouvelle devise) mais aussi sur la discipline

petit salut affectueux à monsieur Crevel, auquel ce personnage répondit par un signe d’intelligence. ― Vous viendrez demain, n’est-ce pas, mademoiselle Fischer ? dit-il. ― Vous n’avez pas de monde ? demanda la cousine Bette. ― Mes enfants et vous, voilà tout, répliqua le visiteur. ― Bien, répondit-elle, comptez alors sur moi. ― Me voici, madame, à vos ordres, dit le capitaine de la milice bourgeoise en saluant de nouveau la baronne Hulot. Et il jeta sur madame Hulot un regard comme Tartuffe en jette

Question de corpus : A travers les trois textes du corpus dont Julie ou la Nouvelle Héloïse de Rousseau, l'article «Philosophe», Encyclopédie de Dumarsais et Entretien d'un philosophe avec la Maréchale de *** de Diderot, tous ces appartiennent au mouvement des Lumières, mais il faut voir en quoi ces texte sont-ils typique de l'esprit des Lumières. Dans un premier temps dans le texte de Rousseau nous avons dans une volonté d'exposer les principes même de l'esprit des Lumières dont le premier

3-4) - répétition - insiste sur le faite que la Maréchale ne peut pas faire ce qu'elle veut mais ce que les autres lui "ordonne" de faire. 3. "On lui donna ensuite les grands hommes de Plutarque : elle demanda pourquoi il n'y avait pas écrit l'histoires des femmes" (l.8-9) - négation - indique que les femmes ne sont pas importante dans la société. 4. "Il ne m'importe de qui elles sont ; l'auteur est très impoli. Jamais M. le Maréchal ne m'a écrit dans ce style." (l.16-17) - mise en

en jaune ocre (couleur gaie et chaude) sur fond bleu gris : ciel serein et couleur de l’uniforme de Maréchal de France. *Omniprésence des couleurs nationales françaises (= la « vraie » France). * Cette maison repose sur des piliers larges et solides donnant une impression de stabilité. Sur ces piliers et sur leurs bases sont inscrits des mots, symboles de l’idéologie du gouvernement du Maréchal Pétain et les valeurs sur lesquelles doit reposer la nouvelle France : École et discipline (former la

petit salut affectueux à M. Crevel, salut auquel ce personnage répondit par un signe d’intelligence. – Vous viendrez demain, n’est-ce pas, mademoiselle Fischer ? dit-il. – Vous n’avez pas de monde ? demanda la cousine Bette. – Mes enfants et vous, voilà tout, répliqua le visiteur. – Bien, répondit-elle, comptez alors sur moi. – Me voici, madame, à vos ordres, dit le capitaine de la milice bourgeoise en saluant de nouveau la baronne Hulot. Et il jeta sur Mme Hulot un regard comme Tartuffe en jette

seconde guerre mondiale, la France subit une grave défaite militaire en mai-juin 1940 devant les armées allemandes. Le maréchal Pétain, appelé par le gouvernement français, demande l'armistice qui est signé le 22 juin 40. Le nord (y compris Paris) et l'Ouest sont occupés par l'armée allemande = zone occupée. Le sud est laissé « libre » sous la responsabilité du maréchal Pétain qui obtient les pleins pouvoirs en juillet. Pétain abolit la IIIe République et installe une dictature, « L'ETAT

petit salut affectueux à M. Crevel, salut auquel ce personnage répondit par un signe d’intelligence. – Vous viendrez demain, n’est-ce pas, mademoiselle Fischer ? dit-il. – Vous n’avez pas de monde ? demanda la cousine Bette. – Mes enfants et vous, voilà tout, répliqua le visiteur. – Bien, répondit-elle, comptez alors sur moi. – Me voici, madame, à vos ordres, dit le capitaine de la milice bourgeoise en saluant de nouveau la baronne Hulot. Et il jeta sur Mme Hulot un regard comme Tartuffe en jette

son cheval ne mît les pieds sur aucun habit rouge. L'escorte s'arrêta; Fabrice, qui ne faisait pas assez d'attention à son devoir de soldat, galopait toujours en regardant un malheureux blessé. -- Veux-tu bien t'arrêter, blanc-bec! lui cria le maréchal des logis. Fabrice s'aperçut qu'il était à vingt pas sur la droite en avant des généraux, et précisément du côté où ils regardaient avec leurs lorgnettes. En revenant se ranger à la queue des autres hussards restés à quelques pas en arrière, il vit

"hussard" : s'il remarque maintenant que les hommes qui gisent à terre sont vêtus de rouge, il "remarque" aussi qu'il y a des vivants parmi eux. Ayant noté la peur de notre héros, il est bien juste que Stendhal note aussi son humanité. III - "Le maréchal" Fabrice met toute son attention à ne piétiner aucun blessé : la reprise de l'adjectif "malheureuse" traduit sur ce point la continuité de sa pensée ; ce souci explique sa distraction et donc la maladresse qui va marquer le début de cette halte