Maréchal, nous voilà !

Régime de vichy Le 10 mai 1940 l’armée allemande lance une attaque foudroyante en 6 semaines la France est vaincu. Le maréchal pétain alors élu chef de l’état français signe l’armistice le 22 juin , la France est alors coupée en deux celle occupée et celle sous le commandement de vichy ,ainsi c’est la fin de la république française et le début de l’état français . Le chef de l’état met alors en place la révolution nationale et remplace le slogan liberté ,égalité ,fraternité par travail famille

laissant souvent leur vie. Les personnes envoyées sont principalement : des Juifs, les opposants politique au régime, les tziganes, les Témoins de Jéhovah, les homosexuels et les « éléments asociaux » comme les criminels, vagabonds, etc. C : 1 : Voila un groupe de déportés qui viennent d’être déposer à un camps, le voyage se faisait dans des wagons à bestiaux, ils étaient donc tous entassés et il y avait une hygiène médiocre, ce qui provoquait énormément de morts avant même l’arrivée dans le camp

racontée ds son intensité l 505 à 526 puis son déclin l.526 à 533 ; relever les adverbes intensifs « tant » et « trop »). Ensuite, Madame Roland insiste sur le caractère absolu, total, entier de cet amour qui a fait d’elle non pas la maîtresse de Maréchal, mais « sa femme, sa vraie femme » l. 507. (Observer les adverbes d’intensité « jamais », « rien », « toujours » qui soulignent cet aspect, ainsi que les temps verbaux : le passé composé au service d’un amour disparu mais vivace ds l’esprit de madame

quatre textes qui sont de extraits de romans différents mais écrit par le même autre qui est Diderot. Les deux premiers extraits proviennent du roman « le neveu de Rameau », le troisième extrait provient du roman « entretient d’un philosophe avec la Maréchale de *** » et pour finir, le dernier extrait provient du roman « supplément au voyage de Bougainville ». Ces quatre extraits sont des dialogues philosophiques, qui est un genre et une forme littéraire particulière héritaient de l’antiquité grecque

Oh ! que cela ne vous fasse pas de peine ; car, moi qui suis pour le moins aussi docteur que vous... BARTHOLO. Comment cela ? LE COMTE. Est-ce que je ne suis pas le médecin des chevaux du régiment? Voilà pourquoi l'on m'a exprès logé chez un confrère. BARTHOLO. Oser comparer un maréchal !... LE COMTE. (AIR: Vive le Vin) Sans chanter. Non, docteur, je ne prétends pas Que notre art obtienne le pas Sur Hippocrate et sa brigade. En chantant. Votre savoir, mon camarade

cette période sont : -La rose et la Réséda poème de Louis Aragon: dédiée aux 4 résistants dont Guy Môquet. -Nuit et Brouillard de Jean Ferrat: cela décrit la déportation vers les camps de concentration et d'extermination.- Maréchal nous voilà: chanson contre le Maréchal Pétain.- Le chant des partisans par Anna Marly: l'hymne de la résistance française.

éclate lorsque, venus passer des vacances au Havre, ils découvrent qu’ils désirent la même femme, une jeune veuve, Mme Rosémilly. Mais voilà que le no­taire leur annonce qu’un ami de la famille, Léon Maréchal, décédé, a institué Jean son légataire universel. Pierre éprouve alors pour son frère une jalousie obsessionnelle. Imaginant que Jean est le fils naturel de Maréchal, il réclame à sa mère le portrait du défunt, curieusement disparu. Le trouble de Mme Roland confirme ses soupçons. Une cruelle relation

libre au Sud et occupée au Nord. Le gouvernement français est déplacé à Vichy, Paris étant sous occupation. La France qui traverse alors une crise politique majeure, confie son destin à un personnage charismatique, de surcroît héros de guerre, le maréchal Pétain qu’elle nomme président du conseil le 16 juin avant de lui confier les pleins pouvoirs le 10 juillet 1940. En effet, Pierre Laval réunit à Vichy le Parlement (la Chambre des Députés et le Sénat). Il leur demande de voter une loi constitutionnelle

absent, le mort, Léon Maréchal :
· Au chapitre 4, Pierre cherche dans ses souvenirs qui avait été Maréchal. C’est au travers de ses souvenirs que le narrateur évoque le passé. 
· Au chapitre 5, Pierre explique la disparition du portrait de Maréchal du salon par sa ressemblance avec Jean : évoca-tion du passé là encore, toujours au travers des souvenirs et de la réflexion de Pierre ; 
· Au chapitre 7, c’est Mme Roland qui fait resurgir le passé en expliquant à Jean qui était Maréchal : son amant, son "

absent, le mort, Léon Maréchal : · Au chapitre 4, Pierre cherche dans ses souvenirs qui avait été Maréchal. C’est au travers de ses souvenirs que le narrateur évoque le passé.  · Au chapitre 5, Pierre explique la disparition du portrait de Maréchal du salon par sa ressemblance avec Jean : évoca-tion du passé là encore, toujours au travers des souvenirs et de la réflexion de Pierre ;  · Au chapitre 7, c’est Mme Roland qui fait resurgir le passé en expliquant à Jean qui était Maréchal : son amant, son