Maréchal, nous voilà !

son cheval ne mît les pieds sur aucun habit rouge. L'escorte s'arrêta; Fabrice, qui ne faisait pas assez d'attention à son devoir de soldat, galopait toujours en regardant un malheureux blessé. -- Veux-tu bien t'arrêter, blanc-bec! lui cria le maréchal des logis. Fabrice s'aperçut qu'il était à vingt pas sur la droite en avant des généraux, et précisément du côté où ils regardaient avec leurs lorgnettes. En revenant se ranger à la queue des autres hussards restés à quelques pas en arrière, il vit

son cheval ne mît les pieds sur aucun habit rouge. L'escorte s'arrêta ; Fabrice, qui ne faisait pas assez d'attention à son devoir de soldat, galopait toujours en regardant un malheureux blessé. - Veux-tu bien t'arrêter, blanc-bec! lui cria le maréchal des logis. Fabrice s'aperçut qu'il était à vingt pas sur la droite en avant des généraux, et précisément du côté où ils regardaient avec leurs lorgnettes[7]. En revenant se ranger à la queue des autres hussards restés à quelques pas en arrière, il

« criaient » permettent description de la scène vu par les yeux du héros. De plus le réseau lexical de la guerre avec « général », « escorte », « maréchal » par exemple, souligne une volonté de décrire le plus fidèlement la réalité. L'utilisation de mot appuyant la realité du texte dans son cadre historique comme «  hussard français » ou le « maréchal Ney », permettent de souligner le contexte spatio-temporel a la description réaliste dans le cadre historique de cette bataille. La répétition du mot

bijoutier parisien. Il a une grande passion pour la mer et la pêche. Louise Roland: a quarante-huit ans. C’est la femme du père Roland et la mère de Pierre et Jean. Mme Rosémilly: a vingt-trois ans. Elle est veuve d’un capitaine mort a la mer. Léon Maréchal: une vieil ami de la famille, connu alors qu’ils étaient encore bijoutier à Paris, est mort. Pour l’amour de la navigation et de la pêche, le père Roland décide de déménager avec sa femme au Havre pour y vivre de ses rentes. Toute la famille Roland

Vichy, un régime fasciste ?· Le 17 juin 1940 (après 16 juin avec formation du gouv de Pétain), le maréchal Pétain considéré comme le héros de Verdun s’exprime à la radio : « Français ! A l’appel de Monsieur le président de la République, j’assume à partir d’aujourd’hui la direction du gouvernement de la France. Je fais à la France le don de ma personne ». Dans ce message, Pétain annonce qu’« il faut cesser le combat ». Cette défaite française face au totalitarisme d’Hitler met progressivement fin

accoutumer à se voir interrompre » et « ramener à d'autres soins sans murmures ». Dompter les femmes ! Mais Monsieur, nous ne sommes pas dans un manège, où il faudrait débourrer une pouliche rétive ! Quel est ce langage ? Ah, il ferait beau voir que le Maréchal de Grancey osât fermer mon livre pour me mettre entre les mains une broderie ! Dieu merci, mon époux a de l'éducation, et n'aurait jamais l'idée de me manquer de respect en agissant de la sorte. C'est ainsi qu'on me laissa me "rassasier" tout mon

petit salut affectueux à monsieur Crevel, auquel ce personnage répondit par un signe d'intelligence. − Vous viendrez demain, n'est−ce pas, mademoiselle Fischer ? dit−il. − Vous n'avez pas de monde ? demanda la cousine Bette. − Mes enfants et vous, voilà tout, répliqua le visiteur. − Bien, répondit−elle, comptez alors sur moi. − Me voici, madame, à vos ordres, dit le capitaine de la milice bourgeoise en saluant de nouveau la baronne Hulot. Et il jeta sur madame Hulot un regard comme Tartuffe en jette

le retour, les occupants du bateau croisent le Prince-Albert et la Normandie.   Une fois arrivés, les occupants se baladent dans la ville. Mme Roland demande à Mme Rosémilly de venir dîner chez eux, ce qu’elle accepte. ( Murmure de Pierre « Bon. Voilà la veuve qui s’incruste. »   Quand la famille Roland arrive à son domicile, Joséphine, une fillette de 19 ans informe le père qu’un certain monsieur Canu, un notaire vient le soir même. Mme Rosémilly pense tout de suite que c’est un héritage et suivant

soumission et aborde la question de l’inégalité des femmes vis-à-vis des hommes. Ce texte présente un dialogue argumentatif dans lequel une narration est faite par l’auteur. Ce texte met en place deux personnages réelles dans un dialogue fictif, la Maréchale de Grancey et l’abbé de Châteauneuf (choisit parce que c’est une personne religieuse et les femmes sont dévalorisés dans les textes religieux). Elle expose sa propre vision de la femme et blâme les hommes à cause d’une phrase qu’elle a lue dans les

sa pensée se remit à songer à la gloire du maréchal. Il entendit un cri sec auprès de lui ; c’étaient deux hussards qui tombaient atteints par des boulets ; et, lorsqu’il les regarda, ils étaient déjà à vingt pas de l’escorte. Ce qui lui sembla horrible, ce fut un cheval tout sanglant qui se débattait sur la terre labourée, en engageant ses pieds dans ses propres entrailles ; il voulait suivre les autres : le sang coulait dans la boue. Ah ! m’y voilà donc au feu ! se dit-il. J’ai vu le feu ! se