Marée

Avant de voir les différentes causes d’un tsunami il faut tout d'abord expliquer en quoi un tsunami et un raz de marée sont différents, pour éviter l'amalgame. Un tsunami est une onde mécanique qui se propage dans l’eau, qui est provoquée par un déplacement rapide d’un grand volume d’eau. Alors qu’un raz de marée a une origine météorologique, de fortes perturbations peuvent entraîner une marée plus forte qui provoquera un débordement plus ou moins important. Étant donné ces informations, pour qu’un

de la mer est dû à l'attraction de la Lune et du Soleil. Le phénomène est une conséquence de la gravitation universelle. Quand la Lune passe sur les océans, la mer, en dessous, se gonfle et forme une grande marée. Quand la Lune avance vers l'ouest, se propageant comme une grande vague. La marée haute se produit chaque jour une heure plus tard. Au cours des 24 heures que la Lune met à faire un tour sur elle même, il y a 2 marées hautes et 2 marées basses. (Pour de plus amples renseignements, nous

-il plus de pieds de chair? Une femme passa, dont la chair rose des mollets se durcissait monstrueusement en deux noires conques terminales,a ras d'asphalte.Depuis que j'avais debarque, je n'avais pas vu un seul pied(synecdoque: pied d'homme). La maree des conques sur l'etendue de l'asphalte courait a ras.Tout autour, du sol au faite des immeubles,la coquille nue et sonore de la pierre faisait de la rue une vasque de granit.Cette vallee de pierre etait parcourue, dans son axe , par un fantastique

points) 2. Identifiez deux registres dominants en vous appuyant sur le texte de la nouvelle. (3 points) 1) L'étape initiale se compose de la présentation du lieu et du contexte : le narrateur est sur une plage dans le Havre et admire une forte marée. L'élément perturbateur se dessine à l'arrivée d'un ami du narrateur, Axelsen, qui pleure. On retrouve les péripéties dans le récit d' Axelsen, il tombe amoureux d'une jeune fille, souhaite lui faire une aquarelle pour sa fête. A défaut d'eau, il

ce ainsi que les hommes vivent ? Alors pour la promesse d’un visage Mr William prend les Messageries Maritimes. Y’a peut être un ailleurs dans la melody tempo harmony se dit il. A kingston Jamaica ou Haïti couleurs, à la frontière ou à la grande marée, le gentilhomme de fortune cherche l’or des fous : l’amour qui marche ! Atention fragile : des milliers de baisers perdus pour une fleur pourpre à Fortaleza, résument les champs des possible au bad side, à la midnight shadow Mais On the road again

s'élèvent à plus de 200 000 morts. Des images satellites permettent de mieux mesurer l'importance des dégâts, avec l'exemple du port de Banda Aceh, en Indonésie. Le port de Banda Aceh avant et après le passage du tsunami B- Les phénomènes de marée élévation du niveau de la mer L'élévation du niveau de la mer est un risque à prendre en compte à plus ou moins long terme, cependant il n'est pas à négliger car en 2007, 634 millions de personnes vivent près des côtes et à moins de 10 mètres

ou se laissaient traîner », les groupes sociologiques sont identifiés : « les joueurs », « les spectateurs », « les jeunes gens »... La ville est comparée à une marée humaine : « les cinémas du quartier ont déversé un flot de spectateurs » avec des images liquides. La rue se remplit et se vide comme le flux et le reflux de la marée, avec des alternances de vide et de plein. Il y a aussi un important jeu de lumières : comparaison des lampes de la rue et des étoiles, champs lexical de la lumière

Les journées d’attente se suivent et se ressemblent pour Joseph et Suzanne, les enfants, qui, tous les soirs, dès la tombée du jour, « rentraient dans les cases en piaillant », la destruction des récoltes de riz par la marée de juillet, les enfants arrivant « chaque année, par marée régulière » et mourant « car l’impatience des enfants affamés devant les mangues vertes est éternelle »… Nous voyons bien que par le motif récurrent de la mer, Duras appelle la métonymie de l’infini, de l’éternel, du recommencement

v.278 au v.288 La misère épaissit ses couches formidables. Les malheureux sont là, dans le malheur reclus. L'indigence, flux noir, l'ignorance, reflux, Montent, marée affreuse, et parmi les décombres, Roulent l'obscur filet des pénalités sombres. Le besoin fuit le mal qui le tente et le suit, Et l'homme cherche l'homme à tâtons ; il fait nuit ; Les petits enfants nus tendent leurs mains funèbres ; Le crime, antre béant, s'ouvre dans ces ténèbres ; Le vent secoue et pousse, en ses froids tourbillons

moment d’acclimatation, nos yeux mal habitués avaient encore peine à voir quoi que ce soit. Le vent qui était de la partie, nous a gentiment protégé des moustiques, mais brouillé notre ouïe, impossible d’entendre quoi que ce soit. Zut, et zut, la marée était prévue pour 2h du matin, et il n’était que 22h, avec les petites impossible de partir plus tard, 3 et 5 ans, habituées à dormir à 20h, heureusement l’excitation de la chasse les gardait éveillées… Nous avons marché le long de la plage des Hattes