Marketing Mix Agence Immobilière

et pas plus. BTS Management des Unités Commerciales Session 2006 Projet de développement de l’unité commerciale « centre test » Remarques suggestions : olivier@nallis.fr Sous un angle très marketing, vous complétez la description faite pour l’ACRC en balayant les 4 éléments du mix, les principaux points notables sur l’offre, la demande. Vos enseignants vous diront où trouver des informations sur le marché (INSEE, CREDOC, CCI, Syndicats etc.). A mon sens, une analyse aboutit à des conclusions

La Servuction…………………………………..…………………..………. 13 1- La production des services………………………………..……………………..………. 13 1-1 les caractéristiques d’un service………………………………………………..………. 14 1-2 le système de servuction …………………………….…………………………………. 14 2- Marketing du tourisme…………………………………………………………..………. 15 CHAPITRE II : PRESENTATION DE L’ONAT……..…………………………………. 18 SECTION 1 : ONAT : Historique, développement et missions………..…………………. 18 1- Historique et développement de l’ONAT………………...…………………………

Produits 12 a) comptes12 b) monétiques 12 c) financiers 12 d) bancassurances 13 2. services 13 a) change 13 b) transfert 13 c) achat/vente 14 Chapitre II : la gestion de la relation client 1. communication et marketing du produit bancaire a- communication b- les moyens de communication 2. relation client et concept de fidélisation a- evolution de la relation client b- concept de fidélisation 3. qualité d’acceuil : analyse des pratiques

Sommaire INTRODUCTION I. Le marketing sensoriel: Historique, définition, objectifs. 1. Historique 2. Définition 3. Objectifs II. Les types du marketing sensoriel (les 5 sens) 1. Le marketing visuel 2. Le marketing sonore 3. Le marketing gustatif 4. Le marketing tactile 5. Le marketing olfactif III. La démarche du marketing sensoriel 1. Analyser la situation actuelle 2. Définir les objectifs à atteindre 3. Traduire les objectifs

TPE et le Marketing ............................................................................................ 22 A. La stratégie marketing au sein des TPE ........................................................................... 22 1. La place des évolutions au sein de la relation des TPE et le Marketing ...................... 22 2. Les spécificités de la TPE ............................................................................................ 28 B. La démarche marketing dans une TPE

Chapitre 9- L’ère du vent ? (l’économie immatérielle) Dans ce chapitre : - Le développement des services. - Le rôle déterminant de l’information. - Le marketing et la publicité. - Le développement de la finance. 1- La tertiarisation de l’économie : l’explosion des services. La réflexion économique tout comme l’économie elle-même a fait beaucoup de chemin en un peu plus de deux siècles ; assez pour connaître deux grands tournants. Le premier siècle a été celui du passage d’un monde accroché à la

Analyse du macro environnement 8 B) Analyse du micro environnement parisien 8 C) Le marché 9 D) Analyse de la concurrence 9 E) Segmentation 9 F) Choix des segments 9 G) Positionnement 10 H) Ciblage 10 I) SWOT 11 IV) Marketing mix 12 A) Produit 12 B) Distribution 13 C) Prix 14 V) Organisation 14 A) Fournisseurs 14 B) Production 15 C) Personnel 15 VI) Règlementation 17 VII) Prévision financière 20 VIII) Conclusion 21 IX) Annexes 22 A) Annexes

……….… .……….… .………35 VII) Le groupe CDG et ses filiales.……….… .……….… .……..…….… .……36-37-38-39-40 Chapitre II : Présentation de la Direction du Patrimoine Foncier et Immobilier.……….… .……….… .……….… .……….… .……….… .……….… .……...…41 I) L’activité immobilière au sein de la CDG.……….… .……….… .……….… ....................42 II) Présentation de la DPFI.……….… .……….… .……….… .……….… .……...................43 III) Les Missions de la DPFI.……….… .……….… .……….… .……….… .……………43-44 IV) Description synoptique des processus

de résultats. Il devenait possible d’organiser des campagnes promouvant, à cadence rapprochée, divers types de contrats d’assurance vie, en fonction des opportunités des marchés financiers (contrats en euros, en unités de comptes, mobilières ou immobilières, de diverses classes de risques). De la sorte se trouvait élargie la panoplie de l’offre des établissements bancaires, en particulier au profit de contrats facilitant l’accumulation d’épargne et sa transmission dans des conditions fiscales favorables

niveau de risque ou de la taille de la cellule familiale, d’autant plus que le principe de solidarité implique de traiter dans le même cadre les salariés du public et du privé. Quant à la gestion de l’AMO, il existe 3 niveaux : (Une agence nationale, qui veille au respect des principes régissant le régime, assure l’application de la loi, propose des modifications et extensions ultérieures, elle gère aussi les cotisations et assure l’équilibre financier du système ; (Un ou plusieurs