Marketing Monopole

importante que le nombre de firmes évoluant sur le marché est faible ; le prix se rapproche du coût marginal à mesure que le nombre de firmes augmente. Baumol, Panzar et Willig montrent donc qu’il y a une différence importante entre les situation de monopole et de duopole sur des marchés contestables (dès qu’il y a au moins deux firmes sur le marché, le prix d’équilibre doit être égal au coût marginal). S'il existe plusieurs firmes dans une configuration soutenable, chaque firme fixe un prix égal

l'hypothèse ou deux biens sont produits. Les théories protectionnistes Protectionnisme ou libre-échange ? Si la dynamique du commerce international tend à favoriser la constitution des monopoles, alors il semble que le protectionnisme soit justifié pour contrôler les abus de position dominante des monopoles étrangers ou bien empêcher leur constitution. Selon Paul Krugman, l’imperfection de la concurrence constituait l’argument théorique suffisant pour réfuter les thèses du libre-échange. La première

de la concurrence pure et parfaite est le modèle par excellence des interactions entre la recherche de profits optimaux et la concurrence. On continuera avec la théorie de l’équilibre du monopole. On remarque l’existence de plusieurs types de monopoles qui sont : Le monopole non discriminatoire : Le monopole étant caractérisé par sa domination totale ou quasi-totale du marché, essaie lui aussi de maximiser son profit, mais étant donné que c’est lui qui représente la totalité de l’industrie, il

• L’héritage schumpéterien  Revoir: L'innovation dans la dynamique schumpéterienne ou le processus de destruction créatrice comme processus organique, la remise en cause de la conception traditionnelle de la concurrence, les pratiques monopolistiques et la remise en cause des vertus de la concurrence parfaite Slides: Schumpeter2.ppt Documents distribués: chapîtres 7 et 8 "le processus de destruction créatrice" et "les pratiques monopolistiques", Capitalisme, socialisme et démocratie

Von Stackelberg théorise les grands marchés, monopole, oligopole … A) Les marchés réels : deux exemples de concurrence imparfaite * Monopole : Schumpeter a dit qu’une entreprise qui innove et propose un nouveau produit unique se retrouve en fait en situation monopolistique. En situation monopolistique, l’entreprise cherche à produire un produit unique original, différent de ceux que l’on trouve déjà sur le marché. Sur un monopole, il ‘y a donc pas d’atomicité de l’offre. L’entreprise

dans un marché où se rencontrent l'offre (les vendeurs) et la demande (les acheteurs), d’un bien ou d’un service dans le but de réaliser un échange en économie de marché. La concurrence entre les entreprises est inévitable, que ce soit un marché monopole (un vendeur), oligopole (quelque vendeurs), ou concurrentielle (nombreux vendeurs). L’osque la demande est supérieur à l’offre les prix augmente au contraire lorsque l’offre augmente les prix baisse. La concurrence est-elles un facteur de progrès

FLUX c'est un flux nce Ces relations entre les entreprises se réalisent au niveau des marchés où elles opèrent. Les marchés constituent le terrain privilégié de la concurrence entre les firmes, et conditionnent de ce fait la profitabilité des firmes. Une concurrence acharnée entre les producteurs nombreux d’un produit donné se traduit par une situation où le marché est saturé, et les profits insuffisants. A l’inverse, si les producteurs sont peu nombreux, ils peuvent pratiquer des prix élevés

monopolistique La concurrence «pure et parfaite» est difficilement transposable dans la réalité: les producteurs différencient leurs produits par la qualité ou l’image, baissent ou augmentent les prix. Résultats, certaines marques sont en situation de quasi-monopole sur des segments de marché (par exemple dans l’automobile). Des avantages pour le consommateur Le rôle de la concurrence est triple: empêcher la hausse des prix, réguler l’offre et la demande, et accroître la qualité des produits. Garantie

chargé des 4 stations nationales existantes ; - 3 établissements chargés de la gestion des émetteurs (TDF), de la production (Société française de production) et des archives audiovisuelles (INA). Les lois de 1981 et de 1982 qui mirent fin au monopole puis celle de 1986 qui affirma la liberté de communication, ouvrirent le champ à la création de radios et de télévisions nouvelles. Les opérateurs, qu’ils soient publics ou privés, furent contraints de trouver de nouveaux équilibres qu’une vingtaine

aussi d’avoir des prix les plus bas possibles pour les consommateurs (les ménages). De plus ce marché n’est pas encadré par la concurrence pure et parfaite mais il est encadré par une concurrence imparfaite : L’AustralianWheatBoard détient un monopole sur le marché du blé et il définit les prix mondiaux et il participe à l’augmentation de la volatilité des cours du blé. C’est la règle d’Atomicité qui n’est pas respecté.