Marque Ferrero Rocher

Université Paris I Panthéon-Sorbonne Master Logistique Adeline ROCHE Les MDD : Marques De Distributeurs ou Moyens De Déstabilisation des marques nationales ? Mémoire de fin d’études Maître de Mémoire Mme Régine VAN HEEMS Année Universitaire 2004-2005 1 REMERCIEMENTS Je tenais à remercier tout particulièrement Madame Van Heems pour m’avoir aidée et soutenue dans la réalisation de ce travail. Monsieur Lehu, pour ses informations précieuses concernant ce sujet, pour sa disponibilité

d’individus aussi homogènes que possible en leur sein et hétérogènes entre eux de manière à décrire une population  Définir les profils des consommateurs  Éclater un marché sur base d’avantages recherchés  Distinguer des publics cibles  Positionner des marques concurrentes ou des produits  Identifier les canaux de distribution les mieux adaptés au couple produit/marché. 6 La typologie Achats impulsifs L’impulsif 7% Absence de comportements citoyens L'environnementaliste 27 % Le citoyen

produit avec un coût particulièrement élevé afin de montrer une bonne image de l’entreprise. En effet les consommateurs ont tendance à penser que lorsque le prix est élevé, le produit est bon et de bonne qualité. Cela donne une bonne réputation à la marque, à l’entreprise et au produit ou concept ainsi qu’une impression de qualité supérieur. La deuxième stratégie est celles de volume. C’est le contraire de celle décrite précédemment. La stratégie de volume est de proposer le produit à un prix compétitif

communication évènementielle. Ainsi j’ai choisi d’étudier l’intérêt et les facteurs clés de succès de ce type de projet. Parmi ces facteurs, beaucoup sont attendus comme la compétence de l’équipe dédiée ou l’originalité et la créativité de l’évènement pour marquer les esprits et permettre à l’entreprise de se démarquer. En effet, dans un environnement mondialisé où les frontières se sont effacées, les entreprises doivent faire face à une concurrence accrue. Cette concurrence entraîne de nouveaux facteurs clé

de pouvoir concurrencer d'autres chaînes de distribution alimentaires, plus importantes, telles que Carrefour ou Leclerc. Même si ce changement stratégique est annoncé officiellement depuis 2012, dès 2007, l'enseigne a commencé a intégrer des marques nationales dans ses magasins : Nutella, Lipton, Yoplait, Coca-Cola... De plus, ils cherchent aussi à améliorer la qualité de leurs services, avec la cuisson de pains et de viennoiseries qui se fait désormais sur les points de vente directement. Les

positionnement : Cette notion a été inventée par les publicitaires pour les lessives pour deux raisons essentiels : Encombrement des linéaires de grandes surfaces par un nombre important de marques. Difficulté pour une marque d’établir et conserver l’exclusivité des ventes. POSITIONNEMENT DES MARQUES D’AUTOMOBILE Performance Aston martin Ferrari

l’Ouest, le renouvellement de notre partenariat avec le groupe General Motors au Maghreb et la signature de nouveaux contrats de distribution avec Volkswagen en Afrique de l’Est permettent de confirmer notre modèle de distributeur des plus grandes marques mondiales. Ces partenariats et plusieurs autres projets en cours de préparation renforceront notre réservoir de croissance et notre leadership en Afrique. L’évolution de l’organisation de nos activités « Automotive Équipement & Services » sous forme

|des groupes de taille internationale : | |Tablettes |CADBURY, CARGILL, CEMOI, FERRERO, KRAFT FOODS, LINDT, MARS, NATRAZAHOR, | |126 000 |NESTLE, OCG | |118 000

Microsoft Word - Casino MDD 2008.docMise à jour mars 2008 1 Casino : Stratégie et Marques de Distributeurs (MDD)1 Version mars 2008 – Données 2006 1) À partir des éléments présentés ci-après et de votre éventuelle expérience du groupe Casino en tant que consommateur, dressez un tableau des forces et des faiblesses, des menaces et opportunités du groupe en 2006. Quelles sont les évolutions notables entre 2006 et 2008 ? 2) Quelle est la situation, quels sont les points forts et les

atteint 31 milliards d’euros en 2012, soit 1,3 % de moins qu’en 2011, tous vecteurs confondus. Ils ont représenté ainsi 1,48 % du PIB national, soit le ratio le plus bas de ces vingt dernières années. Ces évolutions s’inscrivent dans un contexte marqué à la fois par la crise économique que traverse actuellement notre pays et par la digitalisation croissante de tous les moyens de communication des annonceurs. Si les investissements médias présentent une baisse encore plus forte dans le reste de