Marqué par la haine

(…) cruel.» (l.24). Les mots «effroyable» et «cruel» sont utilisés pour accentuer particulièrement le fait que Jeanne est en train d'endurer de fortes douleurs. Cela donne du poids à la description, comme si l'auteur voulait que ses lecteurs soient marqués par les souffrances de Jeanne. L'idée de «cris involontaires» (l.14) montre également qu'elle souffre au point de crier sans le vouloir. Cela nous montre que les souffrances de Jeanne sont bel et bien insurmontables. b) Un personnage transformé

associations * Conclusion Définitions : * * Racisme : Idéologie fondée sur l’idée de la supériorité de certaines « races » sur les autres. * Antiracisme : Opposition au racisme. * Xénophobie : Qui a de l’hostilité ou de la haine pour les étrangers. * Antisémitisme : Racisme dirigé contre les Juifs. * Discrimination : Traiter quelqu’un différent d’un autre. Le racisme en théorie : * Le racisme est un comportement assez répandu, commun à toutes les sociétés

œuvres…………………………………………….....7 1.3 L’œuvre choisie ………………………….……………8 iv CHAPITRE II: LES THEMES PRINCIPAUX……………………20 2.1 La souffrance…………………………………………………20 2.2 La peine de mort…………………..…………………………21 2.3 La peur ………………………………………………………23 2.4 Le haine………………………………………………………24 2.5 La violence……………………………………..……………27 CHAPITRE III : LES THEMES SECONDAIRES……….………..28 3.1 La religion……………………………………………..……28 3.2 L’angoisse…………………………………………………...29 3.3 L’horreur……………………………………………………..30 3.4 L’injustice……………………………………………………32

d’alarmes Hermione à Pyrrhus prodiguait tous ses charmes, Tu sais de quel courroux mon cœur alors épris Voulut en l’oubliant punir tous ses mépris. Je fis croire et je crus ma victoire certaine ; Je pris tous mes transports pour des transports de haine. Détestant ses rigueurs, rabaissant ses attraits, Je défiais ses yeux de me troubler jamais. Voilà comme je crus étouffer ma tendresse. En ce calme trompeur j’arrivai dans la Grèce, Et je trouvai d’abord ses princes rassemblés, Qu’un péril assez

conflit amour-haine. →Sympathie entre les 2 hommes : socialement, patient a croisé amour de jeunesse de Freud, phobie du patient concerne choix d’épouser femme riche ou pauvre (propre histoire de Freud), deuil impossible de son père (Freud vient de perdre le sien). →Cas de L’Homme aux rats = vérification de sa théorie concernant la névrose obsessionnelle. Importance de ce cas pour Freud pour 4 raisons : 1. Rencontre à occasion succès thérapeutique. 2. troubles obsessionnels marqués. 3. Richesse

Oui ils ne sont pas hétéros, mais c’est pourtant la seule différence que la société les reproches. Cette haine est encore plus accentuée auprès des jeunes car bien entendu ces derniers ont du mal à se défendre seuls. Ce fut le cas par exemple d’un jeune homme qui a eu l’occasion de s’exprimer sur le plateau TV TPMP (Touche Pas A Mon Poste) en ce début d’octobre

l’amour sont-ils traités dans ce poèmeAnnonces des mouvements :I. L’amour fou de la jeunesse et le duel violent (1er quatrain)II. Maturité des amants et le combat à mortIII. La mort des combattants et la mort de l’amour IV. L’amour s’est transformé en haine, transfiguration poétique.I. L’amour fou de la jeunesse et le duel violent (1er quatrain)Avant de commencer l’analyse linéaire, j’aimerais m’attarder sur le titre Duellum qui est une forme archaïque latine du mot bellum qui signifie la guerre.Voila

vertueux même si c'est l'égoïsme le plus répandu (« égoïsme de masse » l.7). Cependant, « l'exès du désir est la perversité. » disait Aristote dans cette même oeuvre. C'est alors, qu'il dressera le tableau de l'éloge de l'égoïsme vertueux. Aristote marque un opposition directe avec la première sorte d'égoïsme avec les termes « d'autre part » de la ligne 9. L'individu de ce type est dépeint comme juste (« justice » l.10), tempéré (« tempérance » l.11) et vertueux (« vertu » l.11), ceci reflette donc

suite. Celui-ci évoque alors l'univers du complot et du crime. Cette ambiguïté met l'accent sur l'opposition entre la situation telle qu'elle est perçue par les autres personnages et telle qu'elle est perçue par Hernani. Elle souligne la charge de haine que le héros porte au roi, ignorée des autres, et crée les conditions de l'attente d'une issue sanglante. Le tragique, tonalité dominante, naît de la menace qu' Hernani fait peser sur Don Carlos, menace issue d'une relation complexe entre les personnages

« s'abhorre encore plus » qu'Hippolyte ne la « déteste » (v.678), ce qui dévoile sa douleur, mais crée également un rapprochement entre les deux personnages ; En effet, si Hippolyte déteste Phèdre, ils sont unis par leur haine pour cette dernière. Cela montre-il que l'amour et la haine sont étrangement liés ? De plus, la passion est une maladie, un « poison »(v676), un « fol amour »(v.675), un « trouble »(v.675) qui fait « langui[r], séch[er] » Phèdre «  dans les feux, dans les larmes »(v.690) et qui