Marquise De Cibo

passage étudié présente un dialogue entre la marquise et le cardinal Cibo. Problématique : Dans quelle mesure cet extrait présente-t-il la ville de Florence comme le creuset de la dépravation ? Axe I-) La marquise, un personnage ambigue. A-) Une émotion exagérée. La marquise a un caractère ambigu : elle est très sensible et ce passage montre une émotion exacerbée. Après le départ de son mari, un sentiment de solitude s'empare d'elle "la marquise reste seule avec le cardinal" les deux termes

évidemment celle de Lorenzo dont le but étant de pouvoir mettre fin à la tyrannie de son cousin, le duc Alexandre de Médicis, sur le peuple de Florence et pour y arriver il prépare sa mise à mort à la scène 11 de l’acte 4. Puis, vient celle de la Marquise de Cibo qui voudrait la même chose que Lorenzo, mettre fin à la souffrance de sa mère, Florence. Contrairement à celui-ci, elle préfère la persuasion à la scène 6 de l’acte 3. Néanmoins, elle use de sa position de maîtresse du duc afin de le raisonner

d'un séducteur qui corrompt l'innocence d'une jeune fille.Il apparaît ensuite masqué, travesti en religieuse à la sortie d'un bal, ce qui relève un profond décalage entre sa fonction et ses agissements qui s'apparentent à ceux d'un bouffon. La marquise Cibo tentera d'éveiller sa conscience politique: "Florence t'appelle sa peste nouvelle". Sa cour est à son image: débauchée.-Il forme avec Lorenzo un duo de dépravés, révélateur de la décadence de l'aristocratie et de l'immoralité politique. Si l'ambiguïté

politique : le cinquième acte va de la réaction populaire à l’annonce de la mort du duc à l’avènement de Côme, renvoyant au néant le geste assassin et libérateur de Lorenzo, réfugié à Venise. De plus, Musset introduit à l’acte II le personnage de la marquise Cibo : c’est un élément neuf par rapport à la version de George Sand. Florence apparaît encore plus corrompue. On ressent au fil de l’œuvre un climat politique oppressant, tandis que le personnage de Strozzi prend de l’épaisseur. L’art dans la cité

écrit L. avant d ʼ être allé à Florence; il n ʼ a pas pour souci d ʼ évoquer une géographie réelle. - Florence est, pour un certain nombre de personnages, un personnage. Ex: «Et pourquoi est-ce que tu te mêles à tout cela, toi Florence?» (la marquise, II,3) Florence et les autres personnages Puisque Florence est un personnage, alors - elle entretient un rapport particulier avec les personnages de la pièce => en l ʼ occurrence, c ʼ est l ʼ image de la mère, la fonction matricielle qui

Salviati. Ce dernier provoque la belle Louise Strozzi. Il tente de la séduire, mais celle-ci l'éconduit fermement. Scène 3 Chez le marquis Cibo Le marquis Cibo quitte Florence pour se rendre sur ses terres, à la campagne. Il fait des adieux émus à sa femme. Après son départ, le cardinal Cibo, le beau-frère de la marquise évoque le mariage de la fille Nasi. La marquise regrette que le duc se soit déguisé en religieuse, ridiculisant ainsi l'église. Elle avoue également au cardinal ses convictions républicaines

(notamment la famille de Médicis, tristement célèbre), ce qui laisse supposer que le drame est historique. Le nom des Médicis évoque la renaissance italienne. Bien des personnages appartiennent à la haute société (termes comme « marquis » « sire » « marquise » ou encore « le cardinal » qui évoque une haute fonction religieuse. A cela s’ajoutent des précisions comme « seigneur républicaine « provéditeur » « commissaire apostoliques ». Certains d’entre eux sont donc définis par leur fonction, leur statut

partout » ( Catherine ) Acte II, scène 2 : « catin » ( de Lorenzo pour Florence )/  « J’aime ma mère Florence » (Tebaldeo) Acte II, scène 3 : « Que tu es belle Florence » (Marquise) « Que tu es triste » La Marquise se confie à Florence. Florence devient sa confidente. Acte II, scène 4 : « …où la marquise ne sait plus si elle agit manipulé ou pour l’amour du duc » Le double de Lorenzo / « La nuit de décembre » « Brutus était un fou », mise

réponse. (2 points) L’histoire se déroule « à Florence », c’est ce que l’on peut lire dans la didascalie liminaire qui suit la liste des personnages. La première scène évoque « Un jardin » ; la seconde « Une rue » ; la troisième « Chez le marquis Cibo ». Ces informations sont données par les didascalies. Nous pouvons constater un changement de lieu pour chaque scène ce qui rend la pièce difficile à jouer à cause de « son espace scénique éclaté » comme le nomme Denise Werlen (Editions Bréal : Connaissance

contraste entre la condition sociale du Duc et le langage qu’il utilise : « sacrebleu » « les entrailles du pape » (Act. I, sc. 1). On trouve également de multiples péripéties (les scènes avec les marchands, les rassemblements des Strozzi, la Marquise Cibo avec le Duc,…) qui fait se rapprocher Lorenzaccio de la comédie plutôt que de la tragédie épurée ; ainsi que le sarcasme et le comique de situation présents dans la pièce qui participent au comique. * Par ailleurs, Lorenzaccio réponds aux