Marquise Si Mon Visage Pierre Corneille

- Du Bellay - "Heureux qui comme Ulysse…" 3 - Musset - "La nuit de Décembre" 4 - Baudelaire - "L'albatros" 5 - Hugo - "La conscience" B - Textes complémentaires 1 - Hugo - "Demain dès l'aube" 2 - Corneille - "Marquise" 3 - Ronsard - "Mignonne, allons voir si la rose" 4 - Michaux - "Le grand combat" IV - Travail sur la forme poétique A - Textes analytiques : autour du sonnet 1 - Ronsard - "Je n'ai plus que les os" 2 - Du Bellay - "Malheureux l'an, le mois, le

Pierre de RONSARD Ode à Cassandre Mignonne, allons voir si la rose.. Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu, ceste vesprée, Les plis de sa robe pourprée. Et son teint au vostre pareil. Las ! voyez comme en peu d’espace, Mignonne, elle a dessus la place Las, las, ses beautez laissé cheoir ! O vrayment marastre Nature, Puis qu’une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez

comédies à succès, dont le Soldat fanfaron ( Miles Gloriosus 191 avant J. C.). Se vantant d’être le plus grand guerrier de tous les temps, ce soldat est en réalité le plus lâche de tous les hommes. CORNEILLE s'est inspiré de cette longue tradition pour créer son personnage de Matamore dans l’Illusion comique (1635). Ce type du vantard se donne la comédie et la donne à son entourage qui ne croit pas un mot de ce qu'il lui dit

1. « le Lac » de Lamartine 2. « L’horloge » de Baudelaire 3. « Automne malade » d’Apollinaire 4. « Les Antiquités de Rome » de du Bellay 5. « Un homme passe sous la fenêtre et chante » d’Aragon 6. « Marquise, si mon visage… » de Corneille 7. « Je disais l’autre jour… » de Marbeuf 8. «  la ballade des dames du temps jadis » de Villon 9. « Quand je suis vingt ou trente mois... » de Ronsard 10. « Le Pont Mirabeau » d’Apollinaire 11. « Soleils

du XVIIe siècle. Avec la Princesse de Clèves, chef-d’œuvre de la préciosité classique, Marie-Madeleine de La Fayette, grande lectrice de Madeleine de Scudéry, se fait la digne représentante des idées « précieuses » véhiculées dans le salon de la marquise de Rambouillet, qu’elle fréquentait assidûment. Sommaire [masquer] 1 Sujet 2 Analyse de l'œuvre 2.1 Éléments historiques du roman 2.2 Influences 2.2.1 Préciosité 2.2.2 Jansénisme 2.2.3 Libertinage 3 Réception de l’œuvre 4 Notes

tourmentée reparaîtront dans dans La Confession d'un enfant du siècle (1836). Il avait compris très tôt que la source du vrai lyrisme se trouve dans les élans du coeur, ma sa douloureuse passion pour George Sand à contribué à mûrir son génie : même si elle n'est pas directement à l'origine de tous ses chefs-d'oeuvre, c'est à cette « grande douleur » que nous devons la poignante sincérité de ses Nuits (1835-1837), de La Lettre à Lamartine (1836), de Souvenir (1841). Au cours des années 1835-1840

Lorenzaccio Alfred de Musset Distribution Adaptation et mise en scène : Antoine Bourseiller Avec Lorenzo de Médicis : Alexandre Ruby Alexandre de Médicis / Côme de Médicis : Jean-Christophe Legendre Philippe Strozzi : Pierre Azéma Marquise Cibo : Camille Gorde Cardinal Cibo : Sacha Santon Pierre Strozzi / Sire Maurice / Maffio : Yohan Guillemot Salviati / Scoronconcolo / le portier / un banni : Alexis Ménard Tebaldeo / un masque / un moine / un banni : Hugo Brune Léon Strozzi/ prieur de Capoue / l!orfèvre

La Marquise de Sévigné, née Marie de Rabutin-Chantal (1629-1696), était issue d’une ancienne famille très cultivée de la noblesse de Bourgogne. Devenue orpheline très tôt, puis veuve (son mari fut tué en duel), elle se consacra à ses enfants, proche surtout de sa fille à qui elle voua une affection immense. Femme d’esprit et femme du monde, elle fréquenta beaucoup la cour de Louis xiv et fut l’amie intime de grands personnages politiques (Turenne, Fouquet) ou d’artistes de l’époque (Corneille, La

réputation de la troupe de Jean-Baptiste Poquelin était telle qu’elle fut invitée à rentrer à Paris, jouant devant le roi “Nicomède” de Corneille et une farce, “Le docteur amoureux”, qui obtint un vif succès. Or, la même année, il aurait traversé subitement toute la France pour se précipiter à Rouen, où il serait arrivé en avril pour y faire un séjour chez Corneille jusqu’en octobre, à la suite duquel le rimailleur-farceur, auteur médiocre jusqu'à quarante ans, se serait tout à coup révélé un écrivain

de la langue française (1549) ; L'Olive (1549-1550) ; Les Regrets (1558) ; Les Antiquités de Rome (1558) modifier [pic] Joachim Du Bellay[1] est un poète français né vers 1522 à Liré en Anjou et mort le 1er janvier 1560 à Paris. Sa rencontre avec Pierre de Ronsard fut à l'origine de la formation de la Pléiade, groupe de poètes pour lequel Du Bellay rédigea un manifeste, la Défense et illustration de la langue française. Son œuvre la plus célèbre, Les Regrets, est un recueil de sonnets d'inspiration