Martin Pessimisme Pangloss

et le voyage comme procédés dans Candide de Voltaire ( 1759)   Structure :   Depuis les fléaux naturels jusqu'à tous ceux qu’entraîne la folie des hommes , le conte de Candide entasse les malheurs pour constituer une sorte de dossier noir du pessimisme .Les diverses pièces du dossier sont rattachées au héros principal , soit qu’il fasse lui - même ses propres expériences , soit qu’il s’informe de celle des autres . Le récit de ses aventures se prolonge ainsi de celui des divers personnages secondaires

Etude du récit. a) Situation initiale. Candide, fils de la sœur du baron Thunder-ten-tronck, est un jeune homme naïf qui vit dans " le plus beaux des châteaux ". Il aime Cunéguonde, écoute avidement les théories de Pangloss le philosophe et est ami avec le frère de Cunéguonde. b) Rupture de l’équilibre. Le jour ou il embrasse Cunéguonde, tout s’écroule et il est mis à la porte du château. c) Manque. Candide veut revoir Cunéguonde pour pouvoir continuer là où ils ont été interrompu dans le château

majoritaires sont développées : le pessimisme et l’optimisme. La première, l’optimisme, est critiquée au travers du personnage de Pangloss, celui qui discute de tout, qui enseigne la « métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie ». Effectivement Voltaire tend à nous démontrer tout au long du roman que l’optimisme peut-être affirmé seulement au prix d’erreurs de raisonnement car l’expérience prouve l’omniprésence et l’universalité du mal. « Il est aussi démontré (disait Pangloss) que les choses ne peuvent être

paragraphe pour la conclusion donnée sous forme de maxime. I Le dialogue avec le derviche - le derviche et Pangloss Le dialogue commence et s’achève par une prise de parole de Pangloss. Ce dialogue a lieu entre 2 philosophes dont l’un est le meilleur de la Turquie et l’autre est Pangloss violemment critiqué par Voltaire dès le début du récit. La 1° intervention de Pangloss est constituée d’une question indirecte dans laquelle il compare l’homme à un animal, comparaison mal venue de

l’Optimisme, qui est personnifié par Pangloss, et le Pessimisme, qui est personnifié par Martin…l’un ne pouvant pas prévaloir l’autre.   Candide : Candide est un personnage peu crédible et très crédule. Il croit aveuglément à la philosophie de Pangloss. Il ne pense jamais par lui-même, cherche toujours conseil auprès de quelqu’un d’autre que lui et est très dépendant de Pangloss. C’est vers la fin du conte que Candide pourra pour la première fois, faire taire Pangloss et lui exposer sa pensée sans redouter

l’Optimisme, qui est personnifié par Pangloss, et le Pessimisme, qui est personnifié par Martin…l’un ne pouvant pas prévaloir l’autre. Candide : " Sa physionomie annonçait son âme. ". Voltaire nous décrit Candide comme un personnage peu crédible et très crédule. Il croit aveuglément à la philosophie de Pangloss, le précepteur du château. Il ne pense jamais par lui-même, cherche toujours conseil auprès de quelqu’un d’autre que lui et est très dépendant de Pangloss. C’est vers la fin du conte que Candide

origine métis et de ses racines populaires. Voltaire le dit explicitement au début du chapitre 14 : "C'était un quart d'espagnol, né d'un métis dans le Tucuman;[...]" Il est chargé d'expérience et constitue par là l'équilibre avec les hallucinations de Pangloss. Dans la citation précédente : "il avait été enfant de choeur, sacristain, matelot, moine, facteur, soldat, laquais." Cacambo rappelle Candide à la réalité par de petites phrases nourries d'expérience. Candide : « Candide » est le titre de

Synthèse sur l’ensemble du conte: 1) Candide, Martin et Cacambo reconnaissent parmi les galériens Pangloss et Le fils du Baron ayant été mal tués. Ils prennent ensemble la route pour Constantinople à la recherche de la jeune Cunégonde. Arrivé à destination, Candide retrouve ça Cunégonde dans un piteuse état, elle est hideuse, défigurée et esclave. ( Cacambo avait prévenu Candide auparavant) . Candide la rachète ainsi que la vielle Femme. Celui-ci n’est plus amoureux de Cunégonde, mais va

philosophique. A travers le personnage de Candide, voltaire nous montre l'absurdité d'être toujours optimiste. - résumé : Le jeune Candide vivait heureux chez le baron de Thunder-ten-tronckh, en Westphalie. Dans le même château, le précepteur Pangloss professait un optimisme béat. Candide partageait cette plénitude d'autant plus qu'il était amoureux de Cunégonde, fille du baron. Un jour, ce même baron surprend leurs amours et chasse Candide. Son existence ne sera plus qu'une suite de malheurs

monde/paradis pour les hommes, si nous on y voit des problèmes c'est que c'est le meilleur des mondes pOSSIBLES: il était impossible de créer un monde meilleur que celui là, donc celui-ci est le meilleur des mondes. Voltaire le ridiculise grâce à Pangloss(le précepteur de candide) qui ne cesse d'affirmer que "tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes", alors que Candide est confronté à l'injustice, à la guerre, à l'esclavage, au cannibalisme, à une exécution injustifiée,.... Voltaire se moque