Mater dolorosa

saintes. Il fallait quand même oser: à l’heure du tout-laic, dépoussiérer le vieux chapeletde grand-mére pour le faire renaîtreen objet de désir n’etait pas gagné d’avance. Et pourtant: croix, têtes de cheribins, médailles de madone en pagaille, de Mater Dolorosa en Vierge de la Consolation. Pour leur intronisation en joallerie, le moins qu’on puisse dire, c’est que Domenico Dolce et Stefano Gabbana n’ont pas lésiné sur les symboles religieux. Mais pas seulement: au fil des pièces (80, tout de même), c’est

comme des grappes de raisin. Une sculpture faite à Rome est la Piéta (1498-1500) qui a été commandé par un cardinal et ambassadeur de la France auprès du pape. Il la commande pour son tombeau de l’ancienne basilique Saint-Pierre. Le thème de la mater dolorosa est renouvelée ici car l’âge de la Vierge est pratiquement le même que celui du Christ. Michel-Ange exulte presque une sensualité interdite. Le travail de l’anatomie est ici absolument parfait. Le Christ ne semble pas avoir de poids et n’a aucune

l’extrait, Madame Rosa est « une vraie source de vie » (l. 3) qui, au-delà de l’ascenseur, « mérite » surtout l’admiration et le respect. La figure maternelle atteint son paroxysme dans le personnage de Fantine, qui apparaît à la fois comme une mater dolorosa et une figure du sacrifice, dans la mesure où elle est prête à tout pour sauver son enfant. Ainsi, plus les Thénardier réclame de l’argent à Fantine, plus elle s’enfonce dans la misère : elle vit dans « un galetas » (l. 3), elle est de plus en

sommet et qui met en évidence trois parties : La partie gauche : Une femme, la tête rejetée en arrière, tient son enfant mort dans ses bras. Ses yeux sont en forme de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Elle évoque une mater dolorosa ou Pietà qui désigne la douleur de la vierge soutenant le Christ au pied de la croix. La figure mythique du Minotaure est ambigüe. Certains y voient une figure de la bestialité et de la cruauté, d’autres le symbole de la résistance. L’oiseau,

l'archétype de la souffrance et de l'agonie. C’est aussi une référence à une figure récurrente de l’art : la Pièta. Qu'est-ce qu'une pietà La pietà , ou Vierge de Pitié , est un thème artistique biblique représentant la Vierge Marie douloureuse (Mater dolorosa en latin ), tenant sur ses genoux le corps du Christ descendu de la Croix avant sa mise au tombeau. Michelangelo, La pietà, 1498-1499, Basilique St-Pierre, Vatican.. Les bras levés au ciel Une femme tombe d’un immeuble en flammes. Les

Mohamed Bouyahyaoui 2nde 4Au XVIIème siècles, les auteurs du classicisme se confrontent au motif de l’Idéal antique en reprenant les règles dictées par Aristote; il s’agissait d’instruire, d’entrevoir et de plaire au public en le confrontant à ses passions. C’est ainsi que Racine a mis en place ces principes dans les scènes de théâtre qui s’intitule Andromaque en 1667. Dans la scène d’exposition, le dramaturge fait dialoguer Oreste et Pylade à propos du passé, des personnages et des relations entre

la brutalité. 5 L'enfant mort dans les bras de sa mère se rapproche d'une autre image à portée universelle : celle d'une piéta La Pietà, ou Vierge de Pitié,( thème artistique de de la peinture chrétienne représentant la Vierge Marie en Mater dolorosa ,expression latine), la mère pleurant son enfant qu'elle tient sur ses genoux, en l'occurrence Christ descendu mort de la Croix avant sa mise au tombeau

de l'aïeule : v.14, analepse v.27, dans le jouet, la toupie => le monde de l'enfance ≠ le monde de la mort. Image d'un martyre. Dimension tragique → terreur → pitié. Hugo s'inscrit dans la tradition de la peinture de la mère souffrante( mater dolorosa ). → Thématique de l'enfant mort < Léopoldine, 1843, mort de sa fille. 2) L'aïeule : personnage pathétique, tragique, endeuillé dans ce qu'elle a de plus chères (v. 45 ). Le pathétique est renforcé par les paroles de la grand-mère, lamentations

III Un bien obscur objet de désir : Sans cesse la figure de la femme oscille entre des images contradictoires. 1) la figure de la mère : Incarnée par Marie, mère de Lorenzo, dont le prénom renvoie à la figure de la Vierge, de la sainte, de la mater dolorosa (mère de douleur, comme dans la Bible lorsque Marie aux pieds de la croix, assiste à l’agonie de son fils). Mais cette figure de la mère est aussi souillée comme on le voit avec la mention des mères qui soulèvent les jupes de leurs filles pour

chrétienne, titre abrégé des premières paroles en latin, Te Deum laudamus (« Dieu, nous te louons »). Une Pietà : ou Vierge de Pitié, est un thème artistique de l'iconographie en sculpture et peinture chrétienne représentant la Vierge Marie en Mater dolorosa (expression latine), mère pleurant son enfant qu'elle tient sur ses genoux, en l'occurrence Christ descendu mort de la Croix avant sa mise au tombeau, événement placé avant sa Résurrection, précédant son Ascension. Un ex-voto : offrande faite