Mater dolorosa

religieux. Sa posture à genoux (« il la vit à ses genoux »), « le visage couvert de larmes et d’une beauté admirable » sont des traits saisissants et pathétiques qui rapprochent la Princesse de Clèves d’une sainte ou de la Vierge Marie éplorée (Mater dolorosa dans les peintures religieuses). Il ne faut pas non plus oublier la présence du duc de Nemours, spectateur caché de cette scène d’aveu, ce qui rend ce passage encore plus théâtral. III – La dignité de M. de Clèves (De « Ayez pitié de moi, vous-même

souillée qu’est Florence ? L’avant-dernière scène élimine le dernier résidu d’espoir que Lorenzo avait en lui. Elle s’ouvre directement, sans transition, sur l’entrée de ce dernier qui tient une lettre lui apprenant le décès de Marie Soderini, la mater dolorosa qui soutint son fils jusqu’aux confins de la tristesse et de la folie. Cette nouvelle bouleverse un peu plus un héros déjà éreinté, qui se définit dans la scène VII comme étant « plus vieux que le bisaïeul de Saturne ». Le lyrisme exacerbé du

Ayez pitié de moi, mon Dieu ! » / v21 « Que vous me pardonniez » / v33 « ô mon Dieu ! » / v34 « bénisse » / v35 « mon coeur crucifié » – Attitude de la prière : RB « à genoux », « joignant les mains », « levant les yeux au ciel » – Image de la mater dolorosa (vierge marie tenant le corps du christ souffrant descendu de la croix) [cf. la pietà de Michel-Ange au Vatican] : « La reine le soutient dans ses bras » – Notions chrétiennes de sacrifice / pardon / rédemption : c'est le sacrifice de RB qui lui

je suis le principe : je me fais cyniquement entretenir; je déterre d'anciens imbéciles de collège : tout ce que je puis inventer de bête, de sale, de mauvais, en action et en paroles, je le leur livre : on me paie en bocks et en filles. ‘’Stat mater dolorosa, dum pendet filius.’’- Je me dois à la Société, c'est juste, - et j'ai raison. - Vous aussi, vous avez raison, pour aujourd'hui. Au fond, vous ne voyez en votre principe que poésie subjective : votre obstination à regagner le râtelier universitaire

Bonaparte", coupable de ce qu' "on ne console pas" La trace de ce meurtre est éternelle...La portée polémique du texte éclate ici , soutenue par une mise en scène pathétique de ce drame intime. L'aïeule en pleurs, l'enfant sur les genoux, devient "mater dolorosa", et n'est pas sans évoquer les "piéta" de la Renaissance. (Vierge éplorée, le Christ sur les genoux après la descente de croix, aller sur internet, cliquer "pieta" pour avoir accès aux images.) II) Mise en scène du pathétique, (émotion d'un

Les femmes présentes dans cette œuvre subissent le stéréotype même de la femme, qui est celui de représenter ce sentiment, sous différentes facettes. Ainsi, il y a tout d’abord une représentation de l’amour maternel, avec la figure de la mater dolorosa, c’est-à-dire que par sa bonté et son innocence, elle est assimilée à la vierge Marie, implorant Dieu pour la salvation de son unique fils. Elle est aimante envers Lorenzaccio, prie pour lui, implore le ciel qu’il redevienne celui qu’il a été

qu'Hécube sera métamorphosée. LES PERSONNAGES DE LA PIECE Hécube, est évidemment le personnage central, qui reste presque d’un bout à l’autre de la pièce, et c’est elle qui donne aussi son unité à la pièce, par sa métamorphose (au sens figuré) de mater dolorosa en tigresse vengeresse. Personnage pathétique. Elle est frappée par tous les coups du sort. Polyxène, fait partie de ces jeunes sacrifiés pour une cause « politique ». C’est un personnage très attachant, confronté à un sort qu’elle ne peut éviter

par l’attitude de la prière mentionnée dans les didascalies : Ruy Blas est « à genoux », « joignant les mains », « levant les yeux au ciel ». Quant à la position de la Reine « l’entourant de ses bras », elle n’est pas sans rappeler l’image de la mater dolorosa (la Vierge Marie tenant le corps du christ descendu de la croix). La mort de Ruy Blas rappelle par ailleurs les notions chrétiennes de sacrifice, de pardon et de rédemption : c'est le sacrifice de Ruy Blas qui lui vaut le pardon et lui permet

c'est la première guerre où les civils ont autant souffert,(avant la deuxième guerre mondiale) vu qu'ils étaient pris pour cibles. La femme au centre de l'image exprime sa douleur, un enfant dans les bras. Elle nous fait penser à la figure de la Mater Dolorosa (la mère de douleur, Marie exprimant sa douleur à la mort de son fils Jésus), c'est donc une figure chrétienne. Cette photographie rappelle également le massacre des innocents, autre allusion à l'histoire chrétienne. Par ailleurs, sans l'indication

trouver des mots pour la dire et ainsi l'assagir, espoir déc;:u car les mots manquent. Plus heureux les peintres jouent du pouvoir de l'image: la Mere immobile souffrant au pied de la Croix est devenue la Dolorosa. Et cette mere debout a suscité l'imaginaire des musiciens créateurs de Stabat Mater qui sont autant de berceuses de la douleur. A ces souffrances qui ne se laissent pas facilement dire le XXe siecle fertile en destructions est venu apporter une variante: la douleur née de I'horreur et proprement