Mater dolorosa

affaiblie de Lorenzo, puisqu’elle aussi est prise entre deux masques et ne se retrouve plus ; elle hésite entre Florence et Alexandre (II, 3). Les femmes ne sont peut être que des incarnations d’idées : des allégories. Marie : la typique ‘‘mater dolorosa’’ (mère souffrante) : elle est le symbole de la maternité, de la Vierge Marie. > [Lorenzo ne serait-il pas, d’ailleurs ; une représentation du Christ ? Louise : la quintessence de la pureté, liée à la nature (Rousseau était très lié à la nature

suggère une passion qui ne s'éteint pas plus que la lumière du Saint-Sacrement. Vers 35 : « C'est le fils pâle et vermeil de la douloureuse mère » Le corps du crucifié est pâle et ensanglanté et le poète se souvient du texte biblique : «Stabat mater dolorosa dum pendet Filius.» Vers 36 : « C'est l'arbre toujours touffu de toutes les prières » La Croix est souvent désignée dans la liturgie comme un «arbre» qui est nourri des prières qui lui sont adressées et fleurit : «Crux fidelis, irten

de son épaule et le long de son dos), la pierre qui va frapper au front son ennemi. La Pietà : Statue en marbre de Michel-Ange de la Basilique Saint-Pierre du Vatican à Rome. Elle représente le thème biblique de la « Vierge Marie douloureuse » (Mater dolorosa en latin ou Pietà), tenant sur ses genoux le corps du Christ descendu de la Croix avant sa Mise au tombeau, sa Résurrection et son Ascension. Elle fut sculptée dans un seul bloc ce qui souligne bien l'immense talent de Michel-Ange car les erreurs

topographiques, l'alternance des temps verbaux (d'une grande variété) et le rythme même de cette description, tous éléments qui exaltent le paradoxe qui nous semble régir l'évocation, celui de la plus grande sincérité obtenue par l'art le plus consommé. La mater dolorosa est saisie dans une posture d'un fini improbable, courbée sur un berceau, avec les traits tirés de la douleur extatique du martyre. Le rapprochement avec l'art du Grünewald du retable d'Issenheim[9] s'impose, dans la vision qu'en donnera plus

n’écrivant que sur du papier bordé de noir, égrenant la nuit tombée, dans l’obscurité, d’interminables chapelets qui exaspéraient les siens ; elle vivait dans une chambre aux meubles désuets, où il n’y avait rien qui ne fût lugubre : des crucifix, des Mater dolorosa, des images mortuaires, des dessins représentant ses meilleures amies sur leur lit de mort”. (Faure-Biguet, page 17). Dans la nature d’Henry de Montherlant se développeront plus tard l’amour du plaisir des comtes de Riancey, le sérieux des

rejet, qui est suivi d’un point qui oblige à un arrêt dans la lecture, traduit beaucoup mieux l’idée d’immobilité (par contraste avec la vie alentour) que le vers de Dierx que Rimbaud avait pu lire dans le ‘’Parnasse contemporain’’ sous le titre ‘’Dolorosa mater’’ : « Il gît les bras en croix, dans l’herbe enseveli. » Une pause doit être marquée avant la phrase finale où le mouvement de caméra se termine par un très gros plan sur la poitrine du soldat : «Il a deux trous rouges au côté droit». Cette pause

la mère qui est déjà morte, comme on l’apprend au vers 44. Ainsi le lien entre grand-mère et petit-fils est-il bien plus fort : ce lien sera encore renforcé car l'enfant était déjà le soutien de l'aïeule. Au vers 4, apparaît la grand-mère, «Mater dolorosa» qui pleure, qui longtemps ne fera que pleurer, car elle trop abattue. Aussi, au vers 5, le «nous» marquant la présence du narrateur et d’autres témoins, qui sont ses amis (et peut-être ses compagnons de lutte), ce sont eux qui vont agir en

rejet, qui est suivi d’un point qui oblige à un arrêt dans la lecture, traduit beaucoup mieux l’idée d’immobilité (par contraste avec la vie alentour) que le vers de Dierx que Rimbaud avait pu lire dans le ‘’Parnasse contemporain’’ sous le titre ‘’Dolorosa mater’’ : « Il gît les bras en croix, dans l’herbe enseveli. » Une pause doit être marquée avant la phrase finale où le mouvement de caméra se termine par un très gros plan sur la poitrine du soldat : «Il a deux trous rouges au côté droit». Cette pause

Son acte tient à la fois de sacrifice humain et d’offrande religieuse puisqu’au moment ou elle abandonne, il tombe à terre. C’est un combat pour l’honneur divin. Elle renvoie deux images : une image christique et une image de sainte telle la mater dolorosa. L’homme est qualifié de méchant, malheureux (car il vit dans le peché), bestial. L’homme est muet et ne répond plus qu’avec son arme. Mais il ne faut jamais perdre de vue que le récit est fait à travers les yeux de oisille qui porte un regard

l'attente Négligés : barbes etc → traduit la privation (sûrement aussi de nourriture, celui à droit a un visage presque squelettique) :(Partie II – C) – rendre triste ) Soldat français soutenu pas une Mater Dolorosa. Il lui manque une jambe. Oppositions : Soldat | Mater Dolorosa | Corps blessé, avec du bois mort (prothèse et bequille) | Santé du corps de la femme | L'homme dessiné par des lignes brisée | La femme dessinée par des courbes | Sourire triste