Matrice De Confrontation

« imposer » sa représentation à l’environnement. Dans les années 1970, le positionnement stratégique de l’entreprise et l’éclosion des matrices stratégiques ne s’intéressent pas plus aux SI. Les concepts qui sous-tendent les principales représentations matricielles ne mentionnent pas les SI (voir le tableau suivant). Représentation matricielle | Matrice du BCG | Matrice Mac Kinsey | Source de compétitivité pour l’entreprise | Il s’agit d’une compétitivité coût, ancrée sur une stratégie de volume faisant

l’analyse structurelle (1.2), ainsi que la méthode de recueil des informations (1.3). Ensuite nous terminerons par tracer la carte cognitive individuelle (2). L’analyse de la cartographie cognitive du fondateur qui s’est appuyée respectivement sur la matrice des impacts croisés (2.1), le graphe (2.2) et le plan des influences/dépendances (2.3) nous a permit d’identifier les causes majeures d’échec de sa jeune entreprise et de repérer les dimensions clés du phénomène (2.4). 1. L’APPROCHE MÉTHODOLOGIQUE :

instantanément à un message, qui peuvent communiquer et débattre entre elles ». Il est peu probable qu’une seule personne ait une idée lumineuse d’innovation, mais la mise en commun des idées partielles peut mener à des innovations de taille. * La confrontation des points de vue tend à générer des idées plus créatives La définition d’idées innovantes s’étant aujourd’hui élargie, les idées ont intérêts à provenir d’un ensemble beaucoup plus large de sources potentielles à l’intérieur comme à l’extérieur

processus »). novembre-décembre 2009  (première partie) Début Problème 1 Questions Q1, Q2…, Qn 2 Inventaire des informations 3 Informations suffisantes ? 4 OUI Élaboration des réponses 10 Réflexion Confrontation avec les questions 11 NON Élaboration d’un plan d’expériences OUI Revoir les questions Contraintes irréductibles ? 7 5 6 Réponse 12 NON aux questions actualisées ? NON OUI 8 Exécution du plan Problème

que de savoir retrouver l’état d’enfance. [...] [...] A la suite de cela, le groupe crée une matrice, c’est-à-dire un tableau à double entrée, pour pouvoir envisager et étudier toutes les solutions possibles en croisant l’ensemble des éléments, auparavant listés, deux par deux. C’est durant cette seconde étape que la créativité des membres du groupe est vraiment développée, stimulée par la matrice. Pour finir, il est nécessaire de faire un bilan général, c’est-à-dire que l’on juge toutes les solutions

été nomé « l’analyse SWOT » en 1963 pendant une conférence selon des problèmes de businesse-politique de professeur K. Andrews. Cette modèle permet de présenter les éléments les plus importants en manière visible, simple et claire. C'est la confrontation entre les résultats du diagnostic externe et ceux du diagnostic interne qui permet de formuler des options stratégiques. Cette formulation d'options stratégiques constitue l'intérêt de l'analyse SWOT. Dans le modèle SWOT, il est indispensable

thèse/antithèse/synthèse, ce plan dialectique est résumé par cet énoncé : Je suppose (la thèse) ; j’oppose (l’antithèse) et je compose (la synthèse). Il se met en œuvre pour traiter d’une question, invite à la discussion d’un sujet polémique. Il met en scène la confrontation de deux points de vue différents conflictuels, deux concepts opposés. La synthèse a pour objet de dépasser la contradiction apparente et inhérente à la thèse et l’antithèse et conduit à envisager le débat d’un point de vue plus large. La synthèse

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88 9.4.3 Un exemple : consommation des véhicules . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89 9.4.4 Quelques remarques sur les matrices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91 9.5 Propriétés des estimateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92 9.5.1 Biais

modèles géométriques dynamiques, qui permettent de définir l’évolution locale de formes, à diverses échelles. Ces modèles sont élaborés dans une démarche incrémentale, en étroite liaison avec des experts du terrain et des domaines abordés. Leur confrontation aux historiques de données disponibles et à l’appréciation des acteurs est une question particulièrement sensible. Les applications principalement visées sont des outils de gestion de la connaissance, généralement destinés aux experts d’un domaine

modèles géométriques dynamiques, qui permettent de définir l’évolution locale de formes, à diverses échelles. Ces modèles sont élaborés dans une démarche incrémentale, en étroite liaison avec des experts du terrain et des domaines abordés. Leur confrontation aux historiques de données disponibles et à l’appréciation des acteurs est une question particulièrement sensible. Les applications principalement visées sont des outils de gestion de la connaissance, généralement destinés aux experts d’un domaine