MC2

• Pour les particules massives comme l’atome ou l’´electron et non relativistes2 E= p2 . 2m (52) Exercice : Trous d’Young et interf´ erence d’ondes de mati` ere 2 Dans le cas g´en´eral E = p2 c2 + m2 c4 ; dans la limite v ≪ c on retrouve E = mc2 + p2 /2m . Ondes et Particules 16 (a) Utilisez les relations onde-particule pour calculer l’interfrange dans une exp´erience de trous d’Young faite avec des ´electrons (voir Fig.1 du polycopi´e du cours). Les ´electrons sont acc´el´er´es par un

notera la relation importante v = p/E. Pour des faibles vitesse, v c, on peut effectuer un d´veloppement e 26 CHAPITRE 3. ESPACE-TEMPS PLAT limit´ en fonction de v/c e E = mc2 + p2 +··· 2m p= mv 1 − (v/c)2 = mv + · · · o` nous avons r´tabli c. Le premier terme de E est l’´nergie de masse mc2 , le second l’´nergie cin´tique u e e e e non relativiste habituelle. Nous allons maintenant discuter la notion de courant en relativit´. Consid´rons un ensemble de particules

fondamental de la e dynamique conduit ` m(v) = γm0 . En effet, l’expression newtonienne de a la puissance est dE = F · v . Les ´quations d’Einstein relatives ` l’´nergie e a e dt et ` la quantit´ de mouvement sont E = m(v)c2 et F = d(m(v)v ) . Ainsi, a e dt d mc2 d (mv ) d (mvx ) d (mvy ) d (mvz ) =v· = vx + vy + vz . (2.19) dt dt dt dt dt Puisque d (mc) d (mc) = 2mc dt dt 2 d (mvx ) d (mvx ) = 2mvx , etc., dt dt on obtient, en multipliant (2.19) par 2m, d m2 v 2 d m2 c2 d 2 2 2 = m2 vx + m2 vy + m2 vz = dt

variables d'état. Chaque système a un certain contenu en énergie sous diverses formes, telles :    l'énergie mécanique (cinétique ou potentielle) l'énergie chimique dégagée sous forme de chaleur lors des réactions chimiques l'énergie nucléaire (E = mc2) résultant d'une variation de la masse du noyau Dans la pratique, les énergies nucléaire et chimique n'interviennent pas, car la masse du système ne varie pas dans les transformations courantes. 3.1 Energie interne U L'énergie interne d'un système

sociaux Mme Bentegeat Gepso M. Croize DGCS M. Denion ARS Lorraine Dr. Dequidt association des directeurs de MDPH M. Dupin CNSA M. Dupont Unifors M. Gauthier UNAFAM M. Dybal ADF M. Hardy Président I=MC2 groupe établissement et services CNCPH M. Jacob APF Mme Penon Fehap M. Perazzo APF M. Sigour Appui à l’animation M. Gérard Guitton 39 Réunion du 21 mars 2012 Fegapei Mme Aboussa Fédération générale des PEP M

en eurent assez de ne rien faire d’autre que « d’ambiancer » le public et décidèrent d’aborder d’autres thèmes, comme leur vie dans le ghetto. Cependant il ne faut pas perdre de vue que le DJ est le personnage clé lors d’une block partie et non les MC2 qui jusqu’à maintenant n’avaient d’autres occupations que d’encourager le public à danser. _______________ 1. Appelées ainsi du fait qu’ils bloquaient les rues et y installaient leur matériel. Le concept de la block party a depuis été repris plusieurs

est (3 ; 4 ; 5). b. c. Il suffit de remplacer l’initialisation « y=1 » par « y=x ». 82 1. Tout d’abord, on sait que xM = a et donc yM = − aα puisque M ∈ (OP) qui a pour coefficient directeur −α. OMC est rectangle en M si et seulement si OC2 = MC2 + MO2, c’est-à-dire (a − c)2 + b2 = c2 + (− aα − b)2 + a2 + (− aα)2, ou encore, une fois réduit : aα2 + bα + c = 0. 2. Pour résoudre l’équation, il suffit de trouver les positions du point M sur la droite (AB) pour lesquelles le triangle OMC est rectangle

plutôt simultanés et perpétuels, par spirales de mouvements contraires, qui ne se rencontrent jamais 4. Toutes choses sont nées de cette même unique chose, par adaptation. L'Agent est en même temps le substrat du monde matériel. L'équation E = mc2 n’indique-t-elle pas d’ailleurs l'équivalence entre l'énergie (E), la masse annihilée ou matière (m), et la vitesse de la lumière (c). Depuis l’ Antiquité les philosophes grecs ont ouvert la voie au rêve d’une théorie univoque de l’Univers, que

C’est l’analyse qui l’a mis en évidence, et de ce fait, ces particules élémentaires apparaissent en relation avec les autres selon des lois d’associations qui font intervenir des rapports de force précis. Exemple : la fameuse loi d’Einstein : e = mc2, loi d’une prodigieuse simplicité (l’energie contenue dans un atome = sa masse x la vitesse de la lumière au carré) est le terme d’une recherche hyper complexe. C) Trouver le principe simple qui va permettre de passer de la perception spontanée (objets

signification le concept « emprunte la réalité », celle-ci pouvant prendre n’importe quelle forme. Ainsi, dans le mythe du statut « super scientifique » de la mathématique, pour désigner le concept de « mathématicité » il suffit d’écrire la formule «E=mc2»36. Lorsque Barthes parle de la signification il dit que ce n’est qu’elle qui est « réelle et assimilée par nous »37, c’est-à-dire, c’est elle qui constitue le sens du mythe qui nous est proposé comme quelque chose de donné. La signification du mythe