Meditation Seconde Descartes

se nommera plus tard Charles-Quint. Il parti et passa par l’Amérique du sud (le long des côtes brésiliennes et chiliennes) et il continua par l’océan pacifique pour rejoindre les Moluques (île aux Philippines). Il est mort en cours de chemin. Son second prit le relais de capitaine et il passa par le Cap de Bonne Espérance pour rentré en Espagne, c’est la première expédition à faire le tour du monde. D. Jacques Cartier Jacques Cartier est né en 1491 à Saint-Malo et il est mort en 1557 à Saint-Malo

et connaissance ? I – Sommes-nous capable de connaître la vérité ? a) Peut on échapper à l’erreur et à l’illusion ? Texte 2 – Descartes Les causes de l’erreur sont au nombre de deux. L’erreur est due à l’interférence de ces deux causes. Elles sont l’entendement (puissance de connaître) et la volonté (puissance d’élire, le libre arbitre). Pour Descartes, la volonté est infinie, on ne peut pas se plaindre de ne pas en avoir assez. Toutes nos autres facultés sont bornées. Nous n’avons pas

vérité ? Faut-il refuser l’évidence pour rechercher la vérité ? Nous pourrons surtout nous demander, peut-on se refuser à l'évidence ? Nous verrons donc dans un premier temps que l'évidence est un critère de vérité, on ne peut la refuser, dans un second temps que l'évidence est malgré tout très subjective, puis dans une troisième partie que l'évidence implique la morale et le libre arbitre L'évidence c'est la façon dont l'opinion ou la croyance apparait. En effet, lorsque nous tenons une représentation

ma nature) : le statut de fondement du cogito A) Le doute comme expression de la radicalité du projet cartésien Le cogito répond a la question de la fondation de la verite. C'est pq le questionnement sera métaphysique. L'originalité de Descartes est de penser la verite sans passer par la croyance en Dieu ou pas la confiance en une tradition. Le cogito donne l'idee d'une pensee sans croyance : la pensee rationnelle basee sur l'evidence absolument indubitable. Radicalité du projet cartesien

Hume remet en question cette notion du « soi » qui est selon lui fictive. En effet, dans un premier temps, Hume évoque,avec une légère couche d'ironie, la thèse opposée à la sienne, qui soutient l'existence du « moi » en chacun de nous. Dans un second paragraphe, il démontre qu'il ne peut y' avoir de moi sans perception. Ainsi,Hume présente sa thèse sur la non-existence du « soi » mais plutôt sur l'existence chez chacun de nous d'une multiplicité de perceptions. La question est la suivante :

tellement confondu et mêlé, que je compose comme un seul tout avec lui » Descartes montre que la conscience et le corps sont liées mais distincte. Donc d’après Descartes la conscience n’est pas seulement logée dans le corps comme un pilote en son navire mais compose un seul tout. Donc nous nous demanderons comment Descartes démontre la relation entre l’âme et le corps tout en les distinguant. Dans un premier temps nous verrons que Descartes montre la relation entre l’âme et le corps puis dans un deuxième

Peut on ne pas être l’auteur de ses pensées ? Dans l’histoire au moment de la seconde guerre mondiale , un personnage a manipulé les pensées des autres , Hitler, avec son grand talent d’orateur il a réussi à endoctriner des milliers de personne afin de les ramener à sa cause . Ce fait historique nous montre que la pensée peut-être manipulée, donc par conséquent que nos pensées peuvent être influencées par un parti politique comme dans cet exemple , ce qui voudrait dire que nous ne contrôlons

et eux seuls qui garniraient notre esprit d'idées que celui-ci ne possédait pas. L'empirisme philosophique de Locke ne bannit pas le rôle de la réflexion rationnelle dans la formation des idées et des connaissances, mais il le place en second, ce qui ne veut pas dire qu'il soit secondaire. Les sens semblent être la source de nos connaissances la plus évidente, mais cela induit que l'être ne doit pas être un réceptacle passif. En effet, c'est en voyant un objet qu'on

René Descartes, extraits choisis. PHI-340-102 Discours de la méthode, partie II … Mais, comme un homme qui marche seul, et dans les ténèbres, je me résolus d'aller si lentement et d'user de tant de circonspection en toutes choses, que si je n'avançais que fort peu, je me garderais bien au moins de tomber. Même je ne voulus point commencer à rejeter tout à fait aucune des opinions qui s'étaient pu glisser autrefois en ma créance sans y avoir été introduites par la raison, que je n'eusse auparavant

liberté serait le résultat d'un travail individuel ou collectif de libération, chose qui pourrait être inégalement aboutie. C'est pourquoi nous verrons dans un premier temps comment l'homme définit sa propre liberté selon les degrés, puis dans un second temps, nous étudierons les contraintes au « je suis libre ». I ) Être libre, c'est jouir de la liberté ou de certaines libertés. Se demander si l'on peut-être plus ou moins libre ne revient pas à se demander si l'on peut avoir plus ou moins