Meditation Seconde Descartes

Descartes a fondé le rationalisme moderne, il s’est pour cela appuyé sur les forces de la raison et sur l’évidence, de façon à atteindre le vrai de manière sûre, le but de la connaissance étant de « nous rendre comme maître et possesseurs de la nature » (ce que certains verront comme le début de l’ère de la technique, dominatrice et méprisante à l’égard de la planète : Heidegger lui-même verra chez Descartes l’achèvement de la philosophie de la technique). Descartes et la Méthode : la fondation

les points importants à respecter, lorsque vous faîtes une explication de texte, et surtout les réflexes que vous devez assimiler pour éviter de faire une simple paraphrase : Pascal est un auteur à part dans le 17ème siècle, qui a vu avec Descartes, Leibniz et Spinoza, l'apogée des systèmes philosophiques de la connaissance. Pascal est un auteur chrétien, catholique et engagé politiquement dans la défense de sa foi. C'est aussi un scientifique à la pointe de la recherche mathématique et physique

 DESCARTES, Discours de la méthode, 4eme partie Résumé de la 4ème partie : Le contexte : Dans la 3ème partie, Descartes a exposé sa « morale par provision », autrement les 4 règles à respecter pour bien agir et être heureux en attendant de dégager des principes moraux rationnels. Ces 4 règles sont : 1) la modération, le respect des usages de l’endroit où on se trouve 2) la persévérance (aller jusqu’au bout de son projet, et ne pas changer constamment d’avis, sauf erreur

leur première origine. }) En premier lieu, nos sens sont ébranlés par les objets extérieurs et font entrer dans l'âme plusieurs perceptions distinctes qui nous informent des qualités sensibles des objets (l'idée du blanc, du jaune, du chaud ...). En second lieu, les idées viennent certes de la sensation, mais aussi de la réflexion à partir des perceptions: l'âme y acquiert les idées en réfléchissant sur ses propres opérations (ce qu'on appelle apercevoir, penser, douter ...). La sensibilité exerce elle-même

etre, UN pour toute chose. On exclut la particularité, on englobe tout par UN. Pour comprendre ce UN il faut exploiter la comtemplation selon Platon, la connaissance ratoinelle pure. UN est inexplicable. C'est donc un savoir pur et intuitif. Descartes resoudra l'ineffabilité de l'UN. Si le UN n'etait pas predicat, il faudrait encore remonter a quelque chose de superieur. Alors on utiliserait le verbe etre. A partir du moment ou on explique un principe, il n'y pas plus de principes. Car le principe

avant de voir en quoi les caractéristiques de la conscience définissent l’Homme en tous points, ou presque. On ne peut parler de la conscience sans avoir préalablement présentée la thèse de l’un de ses principaux fondateurs : René Descartes. Auteur des « Méditations métaphysiques », ce philosophe présente le résultat de ce qu’il va appeler le doute méthodique. Le principe consiste à remettre en cause tous les éléments qui l’entourent, et se poser des questions quant à la réalité de sa propre existence

La découverte métaphysique de la conscience : 1ère découverte de Descartes  le cogito ergo sum Le « daïmon » invoqué par Socrate était une sorte de voie intérieure, philosophique, qui était en réalité la voix de sa conscience. 1) Les étapes du doute cartésien : Le 1er doute doit porter sur les choses sensibles, CAD sur la réalité. Concernant les sens, ils peuvent être trompeur (ex : illusion d’optique) il faut donc douter de nos sens. « Pourquoi ne puis-je être fou » : rejet de cette

temps du devoir pourrait s'attacher à explorer la genèse de l'idée de liberté dans la doctrine chrétienne : «  Si donc le Fils vous rend libres, vous serez réellement libres  » (Jean : 8.36) (Thomas d'Aquin, Leibniz, Descartes). Le second temps du devoir inciterait à se pencher sur les implications métaphysiques dans les postures psychologiques (Kierkegaard) et politiques (Camus, Sartre) des individus confrontés au vertige de cette terrible et unilatérale présence qu'est la

qu’une suite de perceptions, sans unité qui lie le tout : ainsi la «res cogitans» (chose pensante), comme l’énonce Descartes dans Discours de la méthode, n’existe pas. L’auteur commence d’abord par énoncer sa thèse : l’homme est une suite de perception sans unité. De plus Hume évoque l’idée d’un être capable se saisir lui même, antithèse défendu par des philosophes comme Descartes. Ces philosophes affirment que l’homme peut saisir : le Moi, ce « Moi » est plongé au plus profond de notre être et

douter. Dans la première des Méditations métaphysique, Descartes écrit:  « J'ai quelquefois éprouvé que ces sens étaient trompeurs, et il est de la prudence de ne se fier jamais entièrement à ceux qui nous ont une fois trompés ». En cela, les sens s'opposent à la raison, qui est définie, dans le Discours de la Méthode, comme « la puissance de bien juger et de distinguer le vrai d'avec le faux ». De plus, la sensation ne fournit aucune connaissance. Dans le Seconds Analytiques, Aristote est le premier