Meditation Seconde Descartes

notre personnalité. De nous même. Ici, la réponse à «  qui suis-je » obtient une réponse partielle. Ces caractéristiques font que j’ai connaissance et conscience de ma personne en tant qu’individu. Descartes parle alors de Cogito, le sujet qui dis «-je ». Il dira, dans son livre « les méditations métaphysiques » que toutes personnes pensante et une personne qui existe forcément : «  je pense donc je suis » Or, lorsque que j’admets mon identité sociale et personnelle, je pense. Donc j’ai une identité

type mécanique (par opposition à la liberté ou à l'esprit). 2) Le monde visible en tant qu'il s'oppose à ce qui est d'ordre affectif, spirituel ou intellectuel. 3) Par opposition à surnaturel, ce à quoi nous sommes habitués. Cf. Pascal, habitude, "seconde nature"   La culture Le terme culture présente deux sens fondamentaux, 1) au sens humaniste, il désigne l'instruction; 2) au sens anthropologique, il désigne l'ensemble des comportements acquis et de leurs productions constitutif de la civilisation

connaître ou vouloir. Ajoutons aussi qu’il différencie les idées « simples » et les idées « complexes » (ces dernières étant fabriquées et composées à partir des premières), ainsi que, dans les corps, les qualités « premières » et les qualités « secondes », etc. [1: L’expression tabula rasa désignait la tablette de cire vierge sur laquelle les Romains écrivaient en gravant (équivalent donc de ce que l’on appellerait aujourd’hui une « page blanche »).] Après lui, David HUME

Principes et fondements de la Connaissance Si on suit les principes de Descartes, on s’intéresse finalement d’abord à la métaphysique pour déterminer comment l’esprit humain est apte à connaitre certaines choses, soit : - La nature de l’objet à connaitre. - La façon dont l’esprit se rapporte à cet objet. Si l’on dit que l’objet à connaitre c’est le monde, celui-ci se donne d’abord phénomène (de Phanomenon : ce qui apparait) naturel c’est ainsi justement que l’entendaient les grecs qui interrogeaient

pourquoi il est mouvant et temporaire.   Base de la philosophie de Descartes (1591/1650), le doute méthodique a également une fonction gnoséologique. Dans un premier temps il consiste à se débarrasser d’opinions considérées comme vraies pour, dans un deuxième temps, ne retenir que celles ayant résisté à cet examen. A l’inverse du doute sceptique, le doute méthodique est un moyen visant une fin : la certitude. Finalement, Descartes doute pour ne plus douter alors que les sceptiques (tout comme Montaigne

soi, lequel distingue ce que je suis vraiment de ce que je ne suis que superficiellement. Certaines de mes pensées ne sont pas véritablement miennes dans la mesure où leur présence est la conséquence de mon rapport aux autres car, comme le dit Descartes dans Le Discours de la méthode : « Nous avons tous été enfants avant que d’être hommes. » Parce que j’ai été enfant, mes opinions que je crois miennes font partie de mon identité. Néanmoins, si ces opinions n’ont pas été l’objet d’un choix de

L’humanisme A partir de la seconde moitié du XVe siècle, le retour de la paix favorise un important mouvement culturel : l'humanisme. L'humaniste place l'homme et l'étude du monde au centre de ses préoccupations牵挂. La multiplication des universités, l'essor de l'imprimerie permettent alors de promouvoir 推动ce nouvel idéal. Pour les auteurs et les artistes du XVIe siècle, rien dans le monde n’est désormais plus admirable que l'homme comme modèle de perfection physique, intellectuelle et morale.

conscient de son existence. Descartes en fait d’ailleurs le thème de plusieurs de ses œuvres. « La Réponse aux secondes objections » dans Méditations métaphysiques tente de montrer qu’on peut conclure l’existence par l’acte de la pensée : c’est une connaissance immédiate, une évidence, une certitude intérieure qui est de l’ordre de la pensée. C’est de cette œuvre qu’est tiré le célèbre dicton « je pense donc je suis » qui résume en quelques mots la pensée de Descartes. Ce que je suis certain d’être

imaginaire © Hatier 1 Editions Hatier L'illusion pose un réel imaginaire, celui dans lequel on croit. Ce réel imaginaire s'oppose au réel tel qu'il peut être conçu. Si le premier existe pour nous, c'est seulement parce qu'il est la contrefaçon du second, qui est absolument. Nous croyons échapper à l'illusion, mais c'est parce que nous y sommes entièrement plongés. Cependant, une fois l'illusion dissipée, par une sorte de conversion à la réalité conçue, la copie ne saurait se confondre avec le modèle

s’apercevoir que la science de sa complexité n’est qu’une connaissance partielle pour enfin comprendre qu’un doute de cette analogie est tout à fait pertinent. Avec la découverte de l’anatomie et des sciences dès le XVIIe, des philosophes comme Descartes puis La Mettrie ont été amenés à déduire une approche mécaniste de ce que l’on qualifie d’organismes. Bien que ces termes paraissent opposés, il peut être considéré que le corps des êtres vivants fonctionne telle une machine. Il est disposé à l’image