Mémoire collective

LES MEMOIRES INTRODUCTION Qu’entend-on par « les mémoires » ? Qu’est-ce qu’une mémoire d’un point de vue historique ? Il faut faire attention avant tout à ne pas confondre une mémoire et l’Histoire d’une part, et une mémoire et la mémoire d’autre part. Tout d’abord, la différence entre les mémoires et l’Histoire. L’Histoire est, par définition, ce qu’il s’est réellement passé, ce qu’il s’est déroulé dans le passé et qui est donc forcément univoque. En un mot, l’Histoire est objective. A contrario

pour éviter le renouvellement d'une expérience on préfère l'oublié, des expériences du passé, mais qu'est ce que le passé ? Le passé de l'homme forge ce qu'il est, le construit dans son existence même, alors pourquoi dans l'histoire, les mémoires historique , collective ou dans son histoire individuelle et personnelle veut-il (l'homme) supprimer certaine chose sans doute veut-il éviter un renouvellement, une remémoration faire naitre un vieux souvenir déplaisant ou douloureux qui le fera mal ou qui le

1° - CONSTRUCTIONS DES MEMOIRES, CONSTRUCTION DES MYTHES : RESTAURER L’UNITE ? (1945-ANNEES 1960) L’historien identifie des moments clés pour délimiter des périodes, des ruptures = périodisation L’historien contextualise pour expliquer et examine la place que ces mémoires prennent dans l’opinion publique et dans les discours = contextualisation L’historien identifie, classe, analyse les différentes mémoires. L’historien confronte les mémoires aux faits, aux sources. 1.1 – Le mythe résistancialiste

méditation expérimentale autour de ce Dôme qui fut le seul bâtiment à rester debout à proximité du lieu où explosa la bombe. Il est composé de photographies provenant de diverses sources pour parvenir, à partir de fragments de mémoires individuelles, à reconstruire une mémoire collective du même bâtiment, soit le Mémoriel de la Paix d’Hiroshima. Les photographies donnent l’illusion que le temps passe vite, alors que si le court-métrage était une vidéo continue, celle-ci serait beaucoup plus longue (plusieurs

(2). Cela ne veut pas forcément dire que le nombre d'abus réels augmente, mais c'est l'augmentation des témoignages de maltraitance qui fait que nous sommes aujourd'hui plus ouvert pour les entendre. Il semble peu probable que cette flambée de mémoires d'abus rituels viendrait systématiquement de souvenirs induits par des thérapeutes. Dans l'ensemble, les thérapeutes sont des gens discrets, et l'idée qu'ils commencent soudainement à implanter de faux souvenirs chez des dizaines de milliers de

livre intitulé Victor Hugo raconté par un témoin de sa vie. La presse lève aussitôt l’anonymat : le témoin, c’est la femme du grand homme, Adèle. Cette dernière a fourni le texte de base, récit biographique composé à partir de sources diverses : mémoires de son beau-père, de son propre père, carnets de sa bellemère, correspondance familiale, documents officiels, et surtout souvenirs de son mari recueillis pendant les longues soirées d’exil, sous forme de conversations prises en note. Adèle conçoit

que citoyen, en mettant en place des apprentissages appropriés (Cf. le contrat de clarification). La séquence se déroulera chronologiquement selon les axes suivants : le souvenir/la mémoire, choses vues, entendues, les petits plaisirs, le portrait, l'autobiographie. DEMARCHE Séance 1 Le souvenir / La mémoire Séance 2 Le souvenirs : sitiation d'énonciation / valeur des formes verbales Séance 3 Le modèle descriptif Séance 4 Travail sur l'oral Séance 5 Objectivité et subjectivité dans

Quelle conception de l’histoire se dégage du Salut ? DG disait de ses Mémoires, selon Alain Larcan : « Ce n’est pas un ouvrage d’histoire, mais le témoignage d’un homme, donc faillible et incomplet ». A la croisée du récit historique et de l’autobiographie, le genre des Mémoires pose nécessairement la question de l’écriture de l’histoire. Dans le dernier tome de ses Mémoires de guerre, Le Salut, le général de Gaulle raconte les derniers mois de la Seconde guerre mondiale et les premiers mois de

cause était restée jusqu’alors mystérieuse (Hofer, Martin, Nassif). Les auteurs romantiques du XIX° siècle s’approprient cette définition, et l’associent au « mal du siècle », c’est-à-dire la dépression. Ainsi, Chateaubriand choisit ce terme dans ses Mémoires en 1848 pour décrire l’état de tristesse causé par l’éloignement du pays natal : « La nostalgie est le regret du pays natal : aux rives du Tibre on a aussi le mal du pays, mais il produit un effet opposé à son effet accoutumé : on est saisi de l'amour

d'intelligence. Ce sont des processus de bases mis en place dans n'importe qu'elle situation cognitive, nécessaire à n'importe qu'elle activité cognitive. Ex : Mesure attentionnelle du sujet, mesure mémorielle (pour chacun des aspects de la mémoire des épreuves spécifiques sont mises en place). Le test des 2 barrages de ZAZZO (dans les années 60) Ce test est destiné à toute la population, toutes tranches d'âge, simple de conception, et mesure de façon précise les capacités attentionnelle