Mercantilistes Et Physiocrates Convergences

cette approche a l’économie, cela conduirait à considérer l’histoire des idées en économie comme un complément de formation, c’est-à-dire qui s’approcherait de la culture générale. Et donc dans cette perspective une étude approfondie des textes des physiocrates serait ainsi du même ordre que l’étude qui pourrait être conduite des travaux scientifiques de l’époque où l’on considérait que la terre était au centre de l’univers. Cette vision de l’HPE, vu comme la tentative pour reconstituer une histoire faite

deux visions se différencient sur certains points. I – POINTS COMMUNS D’abord, les néoclassiques comme les classiques s’accordent sur les bienfaits du commerce extérieur et de l’échange marchand entre les nations. Ils s’opposent donc aux mercantilistes qui pensent que les termes de l’échange sont nécessairement source de désavantages pour l’une au moins des parties en présence. David Ricardo a démontré que tous les pays, même les moins compétitifs, trouvent un intérêt à entrer dans le jeu du

cause une troisième révolution industrielle, inévitablement douloureuse, comme toutes les périodes transitoires, et dont la mondialisation ne ferait qu’accentuer les effets, tant positifs que négatifs. Ce processus pourrait, à terme, permettre la convergence entre les économies du Sud et celles du Nord - phénomène déjà en cours en Asie - , tournant ainsi la page des inégalités exceptionnellement fortes entre nations, telles que nous les connaissons depuis deux siècles. C’est là le « grand espoir du

Marx avec sa critique de l’économie politique va donner l’impression que l’on a affaire avec les classiques à des théories homogènes. Malgré cela, on va tenter de donner une définition de la th classique et de trouver des points communs. Convergences : * Le sujet d’étude. On peut dire de l’écono politi classique qu’elle est une science de la richesse et des rapports sociaux visant à déterminer les conditions de l’accumulation capitaliste. Une science de la richesse et des rapports sociaux

A) Les précurseurs : Mercantilistes et physiocrates. Le développement des Etats forts à partir du 17eme siècle conduit les penseurs à s’intéresser aux facteurs qui favorisent la puissance du souverain. Les écrits de Machiavel en font un exemple dans la science. L’équivalent économique sont les écrits mercantilistes avec Montchrestien et Petty. Le but de ces auteurs cherche à trouver des stratégies afin que la France et l’Angleterre s’enrichissent. Pour les mercantilistes l’Etat accroit ses puissances

science éco 1°- Les précurseurs a- Les mercantilistes Dès le 15e s, en Europe, se généralise l’économie des foires et marchés, qui tissent des réseaux d’échanges dans un monde encore médiéval (du 15e au 18e s). C'est ce que l'on a pu appeler l'ère mercantiliste. Ce mot désigne la doctrine qui exalte le devant des marchés, des marchands et du commerce. Les auteurs précédents traitaient les échanges sous l’angle de la morale divine. Les mercantilistes abandonnent ce point de vue, où la justice

Section 1 Le courant fondateur des classiques Section 2 Les grands courants de la pensée économique contemporaine (néoclassique, keynésien, marxiste) Section3 Repérage des orientations théoriques récentes Section 4 Analyse des divergences et des convergences Prolégomènes : quelques définitions de base I. L’économie Économie signifie en grec les règles (nomos) de la maison (oikos). Elle s’intéresse aux besoins (utilité) de l’homme, individu ou collectivité, et à la manière de les

issue du milieu mercantiliste Le grand but des mercantilistes : la réserve d’or Mesures favorables pour les marchands . des exportations, excédant commercial Entrée d’or dans le royaume  de la puissance politique  des recettes fiscales 2. Au niveau analytique a. Abondance d’or Louis Ortis (1588) mercantiliste espagnol qui écrit que l’arrivée massive d’or est une très bonne chose ; « Mémoires au Roi pour empêcher les sorties d’or » Pour les mercantilistes ; accroissement

contraintes qui pèsent sur les choix des femmes comparativement à ceux des hommes en occident. Elle remet en cause la liberté individuelle de l’homo-oeconomicus dont les choix ne seraient contraints que par le revenu. CHAPITRE I : les idées mercantilistes ou l’émergence de l’économie politique. Si l’on cherche les origines de la science économique, il faut remonter au XVIème et XVIIème siècle. C’est dans les ministères que commence l’étude de l’économie politique puisque les finances étaient

travail d’un membre de la famille. La pensée d’Aristote influencera de façon déterminante, la pensée occidentale jusqu’à la fin du Moyen Age. Elle influencera notamment la doctrine économique et sociale formulée par l’Eglise. 1.2) La pensée mercantiliste Cette pensée va s’étendre vers la fin du XVIème jusqu’au milieu du XVIIIème siècle : Le rôle du commerce. Le développement du capitalisme commercial ne permet plus de conserver une vision de l’économique centrée sur la famille. On voit le prêt