Mercantilistes Physiocrates Et Marxisme

source ouvert • mwlib ‚. Voir http://code.pediapress.com/ pour plus d€informations. PDF generated at: Thu, 18 Aug 2011 21:25:32 UTC Contenus Articles Histoire de la pens€e €conomique Chr€matistique Mercantilisme Physiocratie •cole classique Marxisme €conomique Historicisme Keyn€sianisme Mon€tarisme •cole autrichienne d'€conomie •cole n€oclassique N€okeyn€sianisme •conomie de l'offre Synth‚se n€oclassique Nouvelle €conomie classique 1 18 20 34 38 41 46 49 60 61 66 72 74 75 76 R€f€rences Sources

des économies planifiées mises en place après 1917, est à nouveau considérée avec la crise financière ouverte en 2008 et le recours à l'interventionnisme étatique. Les grandes écoles de la pensée économique (mercantilisme, libéralisme classique, marxisme, néo-classicisme, keynésianisme et les filiations de la pensée contemporaine) sont présentées contextuellement4, et c’est ici la thèse centrale de cet essai de vulgarisation des idées économiques : il existe une contextualité des grands courants

circonscrivent le mercantilisme à la période allant de 1450 jusque vers 1750. Il naît au moment où émerge la notion d'État qui doit s'imposer sur deux fronts : à l'extérieur face au pouvoir papal et à l'intérieur pour unifier le territoire. Les penseurs mercantilistes prônent le développement économique par l'enrichissement des nations au moyen du commerce extérieur qui permet de dégager un excédent de la balance commerciale grâce à l'investissement dans des activités économiques à rendement croissant, comme

provisoires, la science évoluant à travers conjectures et réfutations. Les économistes ne s'embarrassent généralement pas de ces scrupules, en imitant une physique depuis longtemps dépassée. Ils croient qu'après une préhistoire qui va des Grecs aux mercantilistes, la réflexion économique est entrée dans une phase scientifique marquée par un progrès continu. Certains en viennent même à considérer l'histoire des idées comme un luxe inutile, voire même une entreprise dangereuse, puisqu'elle risque d'attiser

2 La naissance de l'économie moderne 2.1 Origines 2.2 Le mercantilisme 2.3 La théorie physiocratique 2.4 Autres contributions 3 L'école classique et les réponses au classicisme 3.1 Les classiques 3.2 Prémices du socialisme 3.3 Le marxisme 3.4 L'école historique 4 L'école néoclassique et les réponses au néoclassicisme 4.1 L'école néoclassique et ses héritiers 4.1.1 Les idées néoclassiques 4.1.2 Les mathématiques comme nouvelle approche de l'économie 4.2 L'École autrichienne

Oresme définit dans son « Ethiques » l’économie comme « […] l’art de gouverner un hôtel (maison) et les appartenances pour acquérir des richesses ». La science économique émerge progressivement entre le XVIe et le XVIIIe siècle avec les Mercantilistes et les Physiocrates, tous deux précurseurs de « l’économie moderne ». Le mercantilisme (du latin « Mercari », qui signifie faire du commerce, et « Merx », marchandise) prône le développement économique par l’enrichissement des nations par le biais d’une

XVIII°, les mercantilistes préconisent l’abondance de métaux précieux, l’intervention de l’Etat et l’essort de la population ; mais ils ne constituent pas encore une théorie économique unifiée. Au XVIII°, les Physiocrates vont proposer une analyse structurée de l’économie et peuvent être considéré comme à l’origine du premier courant de l’économie politique. I°/ Aux origines de l’Economie politique, les incontournables précurseurs du XVI° au XVIII° siècle I°/ 1) Les mercantilistes Du XIV° au

appliquait cette approche à l'économie, il faut considérer l'histoire de la pensée économique comme un complément de formation, c'est-à-dire à un élément de culture générale. Dans cette perspective, une étude approfondie des premiers textes des physiocrates équivaudrait à l'étude des travaux scientifiques du temps où l'on considérait que la terre était au centre de l'univers. Ici, la pensée économique est vue comme la tentative pour reconstituer une histoire faite d'erreurs, d'errements et de mises

du travail, la découverte de nouveaux marchés. Par ailleurs l’apport de la nature vient modifier la richesse et non la valeur. Karl Marx et les interprétations qu'il suscite[modifier] Articles détaillés : Théorie de la valeur (marxisme) et plus-value (marxisme). Karl Marx, dans le Capital, reprend et critique en profondeur la théorie ricardienne de la valeur et en déduit les caractères propres ducapitalisme : ▪ Partant d'Aristote, et du fait que la production marchande repose sur la division

monétaire 36 1.Le mercantilisme espagnol 36 2.Les mercantilistes italiens 37 3.Le mercantilisme monétaire français 38 SECTION TROIS : L'apogée du mercantilisme français 40 1.Le mercantilisme commercial français 40 2.Le mercantilisme industriel français 40 SECTION QUATRE : Le mercantilisme anglais 41 1.Le mercantilisme commercial anglais 41 2.Les théoriciens anglais 42 SECTION CINQ : Les formes tardives de mercantilisme 43 1.Les postes mercantilistes anglais 43 A)William Petty (1623-1687) 43