Merce Cunningham

« scandales », explicitez pourquoi les Ballets Russes sont un tournant dans l'histoire de la danse et plus généralement dans l'histoire des Arts. 2. Merce Cunningham a été qualifié de « pivot » dans l'histoire de la danse moderne américaine. Analysez ce point de vue en vous appuyant sur « l'avant Cunningham » (génération des « grands maîtres ») et « l'après Cunningham » (première génération post-moderne). 3. Les fondamentaux de la danse jazz, perçue en tant que danse de métissage, se sont constitués et

et forme Alvin Ailey. 1949 Carmen de Roland Petit, triomphe immédiat, révèle Renée Jeanmaire dite « Zizi », tous deux issus de l’école de danse de l‘Opéra de Paris. La chorégraphie introduit des positions en dedans révolutionnaires. 1953 Merce Cunningham créé sa compagnie avec le compositeur John Cage. Il rejette la frontalité et l’expression, emploie l’aléatoire et les gestes quotidiens, autonomise la danse vis à vis de la musique, danse dans ou en-dehors des théâtres (Happenings) et se réfère

Variation V : En 1965, Cage et Cunningham élaborent un système d'interaction entre la danse et la musique : Variations V. Gràce a deux techniques : douze perches placées verticalement sont réparties sur la scène, dont chacune possède un rayon sonore sphérique, de 1m20. Chaque fois qu'un danseur pénètre dans ce rayon, un son peut être émis, la deuxième technique consistait en une série de cellules photo-éléctriques placées au sol, de chaque côté de la scène. Les sons étaient déclenchés, chaque fois

avec Arnold Schoenberg. Carrière professionnelle / Vie privée En 1935, il se marie avec Xenia Andreyevna Kashevaroff dont il se séparera dix ans plus tard. Entre 1938 et 1940, il travaille à la Cornish School de Seattle et y rencontre Merce Cunningham – qui devient son compagnon et collaborateur. Dans cette période, il écrit son manifeste sur la musique « The Future of Music : Credo » ; invente le water gong et le piano préparé, et enfin compose Imaginary Landscape No.1 (1939), une des premières

spectacle : Biped (Merce Cunningham) [pic] Introduction Le spectacle Biped[1] crée en 1999 est un spectacle de danse sur une chorégraphie de Merce Cunningham (1919-2009), une musique de Gauvin Bryas et des décors de Paul kaiser et Shelley Eshkar[2]. L’Analyse présentée ici se base sur une captation de 1999 filmée par Charles Atlas à Mulhouse et consultée au CND[3] a Paris . En quoi le spectacle Biped peut il être étudié de façon particulière parmi les œuvres de Cunningham ? En quoi peut on

apparues au cours du XX°siècle, et on s'accorde aujourd'hui à en limiter le concept à des chorégraphes et à des œuvres qui relèvent du champ de la danse moderne, d'après 1960, à travers deux importantes figures que sont les chorégraphes américains Merce Cunningham et Trisha Brown mais surtout de ses prolongements et des travaux de leurs élèves. Ainsi en France, à la fin des années 1970, s'est développée la «Nouvelle danse française» sous l'impulsion notamment d'Alwin Nikolais qui crée le Centre national

ce n’est simplement pas sérieux. Un point qui le rapproche du compositeur Erik Satie dont il contribue largement à faire connaître l’œuvre outre-Atlantique, notamment en proposant des adaptations scéniques de ses compositions au travers de la Merce Cunningham Dance Company[11]. Erik Satie, compositeur de la forme brève, du fragment, ennemi des faiseurs de machines, compositeur boudé par les virtuoses est régulièrement cité dans les textes de John Cage. Comme lorsqu’il invoque la formule lapidaire

combinaison d'instrumentistes et sur n'importe quelle durée. » 1. Le silence chez John Cage Le silence comme objet de création, tout comme le hasard et l’indétermination, sont au centre de ses recherches (tout comme Calder en arts plastiques, Cunningham en danse ou Paik au cinéma). Selon Cage, le silence représente : « tous les sons que je ne détermine pas. Écoutez. Vous entendez des bruits de machines dans la cour, et ces voix ! Et bien, c’est comme cela que je fais ma musique, j’écoute la nature

même placer quelque mouvements sur certains style de musiques, notamment le reggae, ce qui m'a surprise et ravie. La musique peu donner un rythme adapté à l'enchainement. Ce constat trouve une justification dans la conception de la danse selon Merce Cunningham, qui a découplé la danse de la musique (et fais le lien conceptuel entre la danse moderne et contemporaine). La danse et la musique étant autonomes dans leur conception. Le lien avec l'aïkido, c'est fait naturellement, j'ai retrouvé certaines

celle-ci par une ouverture de pensée, la danse est une expression spirituelle qui puise ces sources dans l’âme humaine plus que dans des formes techniques établies : « Danser, c’est exprimer sa vie intérieur, je ne fais que danser ma vie. ». -Selon Merce Cunningham (1919-….), pédagogue américain et chorégraphe issu de la danse moderne, qui créa une véritable rupture avec celle-ci en remettant en question une à une les conventions établies par le spectacle chorégraphique : espace, temps, composition, mouvement