Méritocratie

massification scolaire, nous nous demanderons quels peuvent être les effets des transformations récentes du système scolaire français sur la mobilité sociale. En effet, celles-ci devraient, de par leur statut de changements structurels fondés sur la méritocratie républicaine, favoriser la mobilité sociale et notamment la mobilité sociale ascendante. Mais sont-elles vraiment un facteur favorisant la mobilité sociale ? Dans quelle mesure ? Contribuent-elles à faire diminuer l'inégalité des chances ou, au

socialement différenciés à l'école, puis ensuite voir l'influence dans la société du capital social (relationnel) et du capital humain sur le marché du travail (B). Dans la deuxième partie il fallait davantage accentuer sur le rôle de l'école de la méritocratie d'une part (Boudon) et l'analyse de Bourdieu d'autre part pour également montrer comment celle-ci peut aussi mener à valoriser un capital aux dépens d'un autre (A) pour ensuite parler des éléments structurels qui peuvent permettre la mobilité en

la plupart des entreprises modernes se sont orientées vers une nouvelle ère en matière de gestion des ressources humaines . quoiqu’il existe encore celles qui adoptent toujours l’ancien système . gestion de carrières , développement personnel ,méritocratie…..sont les nouveaux termes employés au sien d’une entreprise et qui définissent les différents champs sur lesquels repose la stratégie ressources humaines .encore méconnue il y a une vingtaine d’années , la politique RH se limitait à la paie

villes. contraints de travailler, job en dehors des cours si les étudiants n'ont aucun soutient financier de leur famille (les bourses etant souvent insufisantes pour partir faire ses études dans une grande ville) Reproduction sociale vs méritocratie ( = à chacun selon son mérite) Méritocatie reflettant d'avantage les inégalités sociales que les moblilités personnelles. Constat : les grandes écoles, malgré le procéssus de démocratisation de certaines restent souvent des lieux d'enseignement

Brohm appelle une « mercantilisation généralisée ». Quant à Michel Caillat, il dénonce les similitudes entre les dures lois des entraînements ou des championnats sportifs, faites de concurrence, et celles du processus capitaliste, qui repose sur la méritocratie et l’objectivation à tout prix des résultats. __________ [Conclusion] Au terme de ce travail, il convient de s'interroger. Entre l'idéal d'excellence prôné par Pierre de Coubertin et le sacre des Bleus en 1998, que de chemin parcouru ! Que de

donne sa description des six modèles de base c'est à dire les configurations du pouvoir organisationnel, ceci en se basant sur le contenu des trois parties précédentes. Il distingue donc L'instrument, le système clos, l'autocratie, la mission, la méritocratie et l'arène politique. Nous respecterons le plan adopté par l'auteur pour résumer son oeuvre. Etude de la première partie : Définition de la «coalition externe» -I) La coalition externe: -A) Les membres de la coalition externe: MINTZBERG

existentiel. En effet on observe des divergences de chances de réussite face à l’Ecole souvent liées à l’origine sociale des individus. Pour certains auteurs, cette inégalité est perçue comme illégitime. Même si la France est régit selon le principe de méritocratie où les plus méritants sont récompensés, on peut contester ce système qui profite le plus souvent aux individus issus des milieux favorisés. Bibliographie : R. BOUDON, L’inégalité des chances. La mobilité sociale dans les sociétés industrielles

des conditions et le fondement de la démocratie. Elle ne se limite pas à une forme de gouvernement mais est surtout un état de la société où règne l’égalisation des conditions en 3 processus : égalité juridique, égalité sociale (des chances) ou méritocratie (chaque individu peut accéder à la profession qu’il souhaite selon ses compétences et égalité de respect (dans les relations sociales, les rapports sociaux … donc individus égaux). Ils est conscient des limites de la démocratie et montre que la

hiérarchie social comme nous pouvons l'observer avec l'exemple d'Annie ERNAUX ou Didier ERIBON. Celui ci va, dans son livre, expliquer que l'école lui a permis d'atteindre une position sociale plus élevé que celle de son père par le système de méritocratie. L’école est donc le pilier de l'égalité des chances dans les sociétés actuelles pour un idéal méritocratique. En effet celle ci doit pouvoir assurer des chances égalitaires pour compenser les différences de capital culturel entre les classes sociales

classes préparatoires. Nous pouvons aussi rajouter que depuis 2018, l’objectif de 80% d’une classe d’âge au baccalauréat est atteint. Ce phénomène de massification permet donc de faire valoir les valeurs d’une société autour de l’idéal de la méritocratie. Il a permis une importante augmentation du niveau de scolarisation pour tous les enfants. Nous pouvons donc parler ici d’une démocratisation dites « qualitative ». Cependant, cette