Merleau Ponty L Homme Public

de l’approprier et de réaliser son être. Le design en tant que discipline visant la réforme de l’Homme traite cette notion afin d’assurer la conciliation entre individu et collectivité dans un espace publique à travers la décomposition de l’espace public à l’espace privé de chacun de ses occupants que ses derniers s’approprient pour devenir un « Lieu d’identité et d’appartenance ». En tant que designer, on propose dans ce document de décortiquer la relation entre design social et environnement, de

dans son exercice. Il reconnait que la vertu n’est pas innée toutefois c’est ce que nous possédons d’une autre façon que par nature et qui ne survient que lorsque la raison produit ses effets. La vertu s’acquiert donc « contre-nature », bien que tout homme soit disposé par la nature à acquérir la vertu, si nous laissons notre nature à elle-même, nous ne développerons que nos mauvais penchants en raison de notre pense naturelle à rechercher d’abord le plaisir. Aristote distingue les vertus morales des

Chaque sujet se définit comme individu unique, à partir de ses relations avec autrui au sein d’une société ou d’une communauté. Seuls les humains entrent dans ce questionnement sur eux-mêmes et aucun humain n’y échappe. 1) Un questionnement humain Homme (sujet de droit) ° Pour commencer, la question du sujet concerne exclusivement l’humanité. On ne parle pas des animaux comme de sujets. Une expression souvent utilisée est celle de « sujet de droit ». On considère en effet que les humains méritent

synchronique (celui des relations structurales, les échecs) aux dépens du point de vue diachronique (celui des évolutions, le bridge) : ainsi la fonction du mot « père » en français tient-elle à la relation qu’il peut avoir avec les mots « mère », « homme » et « enfant » et non du fait qu’il dérive du latin pater. Dans les sciences humaines, la structure est une réalité objective contraignante sur laquelle la conscience du sujet n’a pas de prise. La méthode scientifique globalisante (holiste) s’étend

Groupe de TD n°2 Date de remise : 15/05/06 Sommaire I. PRESENTATION DU CONENU DE L’OUVRAGE Genre littéraire Public concerné Objet de l’ouvrage et objectif de l’auteur Structure de l’ouvrage : logique du plan Résumé synthétique II. ANALYSE L’auteur : - qui est-il et quelle est sa compétence propre - son implication personnelle

bien à l’homme. En quel sens pourrait-on reprocher à l’art son inutilité ? Parce qu’il ne peut entrer dans une chaîne, plus ou moins longue, de moyens et de fins relatives ? ou bien parce qu’il n’est d’aucune manière avantageux à l’homme. Mais quel homme ? l’artiste ? le spectateur ou l’auditeur ? l’être générique ? Quelle pourrait être la posture qui rendrait possible de reprocher à l’art son inutilité ? Est-elle légitime ? Tout montre que la question posée est confuse, et que cette confusion tient

Le sujet, le moi et l’identité· Qu’est-ce qu’être soi-même ? La question du sujet est une q° qui a une histoire et cette histoire est celle de la construction autonome de l’individucàd le fait que chaque homme puisse se penser comme possédant un monde intérieur qui lui est propre, une capacité à accroître ses connaissances pour mieux décider de ses choix de vie et enfin une liberté de conscience et d’action qui permettrait à l’individu d’ê pourvu de droits inaliénables

l'auteur. (ataraxie etc.) désir soumis a la raison. On peut grâce à la raison refuser la tyrannie d'un désir. L'auteur ne mentionne pas l'origine lexicale de la notion de bonheur (la chance et le hasard favorable) Les valeurs du désir : Spinoza: Homme par nature « créature du désir » désir « appétit conscient de lui même ». « Nous ne désirons pas les choses parce qu'elles sont bonnes elles sont rendues bonnes parce que nous les désirons » Critère de valeur de l'objet= la joie qu'il nous procure

avons appelé de ce nom de pensée. Platon, Sophiste, 264a-264b Théétète. – Qu’est-ce que tu appelles penser ? Socrate. – Une discussion que l’âme elle-même poursuit tout du long avec elle-même à propos des choses qu’il lui arrive d’examiner. C’est en homme qui ne sait pas 6, il est vrai, que je te donne cette explication. Car voici ce que me semble faire l’âme quand elle pense : rien d’autre que dialoguer, s’interrogeant elle-même et répondant, affirmant et niant. Et quand, ayant tranché, que ce soit

prince, comme le nomme Machiavel, doit user des lois et de la force pour guider mais également pour conserver le pouvoir. Pour Machiavel, tous les moyens sont efficaces quand ils sont nécessaires. Toutefois, le prince doit toujours paraître vertueux en public. Ainsi, pendant qu’il n’est pas nécessaire pour le prince d’avoir toutes les vertus, il est très nécessaire pour lui de sembler les avoir. D’où la maxime machiavélienne, « gouverner, c’est dissimuler ». A un ami qui nous posa la question de