Merveilleux

discours sur les enchaînements de causes et d’effets qui figure juste à la fin montre à quel point, jusqu’au bout, Pangloss s’accroche à sa manière de raisonner. Conclusion On aurait pu attendre de l’épilogue du conte un merveilleux retournement : la situation n’est pas si brillante. Les protagonistes, au terme d’un long périple à travers les mésaventures les plus douloureuses, trouvent une forme de paix dans un choix de vie « supportable » et médiocre, mais qui relève d’une

la nouvelle 1) Le petit chaperon rouge Genre : merveilleux Le cadre spatio-temporel est imprécis. Article indéfini : « un, une » souvent employé. Schéma narratif : Situation initiale : l.1 à 4 Une petite fille de village va porter une tarte à sa mère-grand. Elément perturbateur : l.5 Elle part chez sa mère-grand. Péripétie : l.9 Arrivé du loup. Situation finale : Le loup mange la mère-grand et la petite fille. Genre : conte merveilleux Genre narratif Cadre spatio-temporel imprécis.

des liens logiques pour des choses qui ne le sont pas. Un vocabulaire technique pour expliquer un comportement. L’ŒUVRE EN GÉNÉRAL : Le conte de Candide et ses différents registre sont utilisés à une fin tout à fait sérieuse. Par l’humour et le merveilleux, Voltaire invalide l’univers préétablis de Leibniz en montrant l’omniprésence du malheur. L’auteur ne s’aventure quand même pas dans le pessimisme exagéré. Le conte nous amène vers l’idée que l’on peut trouver le bonheur dans le travail, l’entraide

les traits caractères sur lesquels les lecteurs doivent ainsi se concentrer. Très souvent dans les contes ils y a des éléments qui relèvent du merveilleux. Ces éléments prennent la forme de personnages ou encore de situations, ainsi que le témoigne la fée et sa magie ou encore l’image du prince charmant typique au conte de fée. Cette présence de merveilleux permet le divertissement et de faire rêver les enfants. Les Fées est un conte de fée traditionnel, le récit est un peu détaillé et constitue

s’identifiant au héros qui est souvent idéalisé par ce dernier. Le conte est caractérisé par un monde merveilleux participant à développer l’imaginaire de l’enfant, lui permettant ainsi de s’évader du monde réel et par conséquent de dépasser bien des obstacles. Lorsque l’enfant sera en conflit avec certaines choses, il pourra pallier à cela grâce à son imagination et à ce monde merveilleux qui s’offre à lui. 2- Les objectifs cachés du conte L’objectif majeur des contes, et pas le moindre est

de faits, d’aventures imaginaire. (Conte de fées : Récite merveilleux dans lequel interviennent les fées.) 3/ Les caractéristiques essentielles du conte sont que le conte est une pure fiction (il n’est issus d’aucune réalité), l’action se déroule toujours dans le passé, les héros sont différents de nous : ils accomplissent des exploits que les humains ne peuvent pas accomplir, il y a une présence de surréalisme, de féerique et de merveilleux ( représentations de fées, de lutins, etc. ), il y a à la

• Système des personnages • Construction du récit Type d’écrit : Conte merveilleux. Il commence par un manque, une injustice, la laideur pour Riquet .Le héros part alors dans une quête d’un amour initialement impossible sur un long chemin. La structure répétitive de ces contes est un rappel de leur oralité et un clin d’œil à la vie où il est difficile de réussir du premier coup. Le temps du conte merveilleux est celui du passage d’un état à un autre : de l’enfance à l’adolescence puis

et une série d'aventures qui amène à un nouvel équilibre final. Les personnages du conte, sont peu caractérisés pour que le destinataire puisse s'y identifier. Ce sont des archétypes : modèles représentant un trait, un caractère,... Le conte merveilleux se projette dans un ailleurs spatial et temporel souvent indéfini (« Il était une fois... »). Il suscite le rêve tout en proposant une image des schémas sociaux et familiaux. Il s'appuie souvent sur une vision manichéenne entre le bien et le mal

couchèrent, ils tâtèrent partout ; mais (…) ils ne reçurent aucune sensation qui pût leur faire soupçonner que nous et nos confrères les autres habitants de ce globe avons l’honneur d’exister ». Le gigantisme donne à la narration le caractère d'un conte merveilleux; mais ce caractère est contrebalancé par des procédés visant à crédibiliser cette représentation. On remarque ainsi la précision apportée par les chiffres : « trente mille pieds de roi », « douze pas » , « trente-six heures »... Toutefois, la fantaisie

contes de fées peut effrayer dans la mesure où elle donne aux épreuves une exagération des faits par rapport à l’âge des protagonistes. Elles peuvent être complétées par l’approche structuraliste de Vladimir Propp (Les Racines historiques du conte merveilleux, 1946) qui en décrit les multiples facettes et les arrangements. De plus les antagonistes sont souvent décrit sous des formes repoussantes (la Bête dans la belle et la Bête), terrifiantes (le loup dans Le petit chaperon rouge) ou maléfique (La belle