Merveilleux

d’asphodèles » (l. 25.26) « il allait couper des roseaux » (l. 28). On note la construction identiques des deux phrases, et la similitude entre les actions qu’elles décrivent. On voit donc bien à quel point Longus tente de nous monter un univers merveilleux, idéal ; où tout est paix et harmonie. Ce récit se projette dans une dimension qui a quelque chose de l’univers du conte de fée, naïf et imaginaire. En effet, Longus rend parfois ce qu’il décrit presque irréaliste. Il utilise par exemple des

plaisanterie. Il émet un jeu d’antithèse entre petit et grand. Et se moque de l’attitude des Terriens par leur manque de connaissances en n’ayant pas le sens de la relativité. Cet incipit possédant tous les éléments caractéristiques d’un conte merveilleux n’est en réalité qu’un conte philosophique, à travers lequel Voltaire défends implicitement ses idées. Le conte philosophique est un bon moyen pour faire passer des idées nouvelles.

préparer le lecteur à une nouvelle tension ? Source:http://www.etudes-litteraires.com/figures-de-style/nouvelle.php II- Définition du conte : Le conte est un récit court, un récit de faits qui pose un regard sur la réalité par le bias du merveilleux ou du fantastique. Le conte est généralement destiné à distraire, à instruire en amusant. II- Aperçu historique : À l’origine oral, le conte passe de la tradition populaire à la tradition littéraire. On a pu reconnaître des structures semblables

« qu’il ne tiendrait qu’à moi ». L’ensemble donne une impression fantaisiste. Le conte philosophique de Voltaire Candide commence comme un conte merveilleux « il y avait ». Il utilise l’imparfait qui est le temps utilisé dans les contes de fées. Il décrit un château somptueux « sa grande salle même était ornée d’une tapisserie », un monde merveilleux, à part où tout est harmonie, parfait. Il utilise pour cela des superlatifs comme « les mœurs les plus douces », « un des plus puissants », « dans

prodigieuse cruauté. C'est le seul conte de Charles Perrault qui se termine mal. Habituellement, les bonnes gens sont récompensées et les mauvaises punies ; ordinairement, le conte merveilleux rétablit l'équilibre et l'équité dans un monde bringuebalant et illogique, voire chaotique ; normalement, le conte (appelé à tort "merveilleux") est porteur de justice. Ici, point du tout. On sait que même si Perrault s'est inspiré des traditions orales populaires et folkloriques, il a considérablement remanié la matière

es-et-m-de-nemours-48003798.html I)Parodie du conte a)Caractéristiques du conte : formule initiale : Dès la ligne 1, le cadre du conte merveilleux est posé avec la formule « il y avait » propre aux contes de fées et avec le château, élément caractéristique du conte. De plus, cette ouverture du conte est naturellement un emprunt aux contes merveilleux qui mettent en scène des personnages dans des lieux peu précis, à une époque qui relève plutôt de l’intemporalité. Il n’y a ici aucune précision

et une fonctions, toujours identique pour eux, un certain mécontentement sentimentale qui fait venir au fait d’une rencontre chamboulant la vie du héros/héroïne, suivi par des péripéties, avec un fait irréel ou plusieurs, pour l’imaginaire, le merveilleux dit des « transformations actancielles ». Perrault et Doré des lectures différentes ? Doré, c’est facilement imposer avec son style d’illustration, en une trentaine d’années, il a créé près de dix mille illustrations. Dont onze planches pour

animaux présents dans le livre. Pourquoi ne sont-ils pas des animaux comme les autres ? d) Citez des contes que vous connaissez dans lesquels des animaux surprenants apparaissent. 2) Les marques de la tradition a) Cherchez la définition du mot « merveilleux ». Vous semble-t-il convenir à l’univers d’Alice ? b) Quels éléments du récit relevent de la magie ? c) Alice vit des aventures surprenantes et se retrouve souvent dans des situations compliquées. Retrouvez des épreuves que la petite fille doit

employé, même s'il a aussi publié de nombreux pamphlets. En quoi cet incipit est-il exemplaire du conte philosophique ? I) L’univers du conte 1) Les formules traditionnelles du conte • L.1 : « Il y avait… » : formule du conte, emprunt au merveilleux, orienté vers univers fantastique • Comparatifs et superlatifs : l.3 « les mœurs les plus douces » ; l.6 « l’esprit le plus simple » ; l.15 « un des plus puissants seigneurs » ; l.40 « la meilleure des baronnes possibles » : création d’un monde

bataille, comme une bête, un monstre, un être humain -> personnification, mythique, écriture épique - Saccard très violent - Descriptions de la réalité -> projets d’Haussmann -> passage historique - Pièces de vingt francs qui tombent du ciel -> le merveilleux, métaphorique, attention aux couleurs, à l’esthétique picturale -> rivalise avec la peinture impressionniste - Il défit Paris - Il traite sa femme comme un objet (Angèle) - Il est exalté par Paris, et non pas à sa femme - Amoureux de ses enrichissements