Mes Aïeux

pour terminer par «une province, et beaucoup davantage». Sa nostalgie n'est donc pas seulement pour son village, sa maison mais aussi pour son pays, la France. De plus, du Bellay évoque l'histoire créée par ses ancêtres («le séjour qu'ont bâti mes aïeux», «mon Loire gaulois», «mon petit Liré»). Ils les préfèrent à l'Italie et les utilisent grâce au pronom personnel «mon». Les oppositions dans les tercets sont favorables à sa patrie plutôt qu'à l'Italie. Celles-ci («marbre dur / ardoise fine», «air

Commentaire : Met en relief l'aspect positif de l'expérience relié au voyage. Idée secondaire 1.2 : Références à la famille. Idée tertiaire 1.2.1 : Procédé d'écriture : Champ lexical du mot famille. Preuve textuelle/ citation : « Parents, aïeux » Commentaire : Démontre l'importance accordé au lien de sang. Idée tertiaire 1.2.2 : Procédé d'écriture : Lexique subjective (appréciatif) Preuve textuelle/ citation : vers 3 et 4 « Et puis, retourné, plein d'usage et de raison/ vivre

qu'un jour nous serons libres. Quand ce jour arrivera, tous les enfants de Dieu pourront chanter avec un sens nouveau cette chanson patriotique, "Mon pays, c'est de toi, douce patrie de la liberté, c'est de toi que je chante. Terre où reposent mes aïeux, fierté des pèlerins, de chaque montagne, que la liberté retentisse." Et si l'Amérique veut être une grande nation ceci doit se faire. Alors, que la liberté retentisse des grandes collines du New Hampshire. Que la liberté retentisse des montagnes

car tout de suite après il dénigre cette époque . Il parle d'Adam et d'Eve comme des personnes naifs et ignorante.'' quel idiot '' '' pure ignorance '' '' ils leurs manquaient l'aisances et l'industrie ''. c'est un manque total de respect pour ses aieux de la part de voltaire . Il pense totalement le contraire de l'age de fer qui est son epoque . C'est une epoque de luxe et de choses superflus . Il fait ici l'eloge de l'age de fer car elle permet le luxe et les plaisirs . '' j'aime

parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je hélas ! de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m’est une province et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux Que des palais romains le front audacieux ; Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine, Plus mon Loire gaulois que le Tibre latin, Plus mon petit Liré que le mont Palatin, Et plus que l’air marin la douceur angevine. Joachim Du Bellay

enfant! LE CORYPHEE.- Ô Troie infortunée, que de victimes, pour une seule femme et son coupable amour! TALTHYBIOS.- Viens, mon enfant, romps la tendre étreinte de ta pauvre mère! Il te faut marcher vers les hautes couronnes des créneaux de tes aïeux, où l'on a décidé que tu devras mourir. Vous, emportez-le. Pour donner de tels ordres, il faudrait un héraut au coeur plus dur, au front moins honteux que le mien HECUBE.- Ô mon enfant, fils de mon fils infortuné, l'iniquité nous arrache ta vie

sujet est divisé en sous-thèmes : la nostalgie de son pays natal et son exil. Tout d’abord, l’auteur a voulu confirmer toute la peine qu’il ressentait pour son village natal. Par exemple, au vers 9 et 10 : « Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux/ Que des palais romains le front audacieux ». L’écrivain a utilisé cette thématique pour mettre en relief le sentiment d’appartenance envers son village de naissance. Il faire appel aussi à un champ lexical qui démontre sa tristesse de ne plus être

fille, par rapport à l’enfant de la nourrice. Fringante : de belle humeur, pétulant Amphore : vase à deux anses, servant à transporter les aliments Piteuse : pitoyable et minable Fastidieux : qui rebute par sa monotonie Bisaïeul : père ou mère des aïeux, arrière-grand-père/arrière-grand-mère Malséant : grossier, inconvenant Ricochets : rebondissement, saut, contrecoup, retour, conséquence Relégué: personne maintenue dans une position de second plan Carafe : récipient à goulot large, pour l'eau, le

notre vie. Les jeunes n’éprouvent peut-être aucun besoin de discuter avec leurs parents et grands-parents des choses qui ont marqués notre pays, notre monde et leurs vies. Mais peut-être s’y intéresseraient-ils une fois qu’il est trop tard et que nos aïeux sont partis avec leurs cultures personnelles sans la transmettre et au final c’est éteintes. La question serait de se demander à partir de quel âge porte-t-on de l’intérêt à la transmission de culture et une bonne réception de ce sujet ?

Quoi ! Je lui donnerais Pyrrhus pour successeur ? CEPHISE Ainsi le veut son fils, que les Grecs vous ravissent. Pensez-vous qu'après tout ses mânes en rougissent ? Qu'il méprisât, Madame, un roi victorieux Qui vous fait remonter au rang de vos aïeux, Qui foule aux pieds pour vous vos vainqueurs en colère, Qui ne se souvient plus qu'Achille était son père, Qui dément ses exploits et les rends superflus ? ANDROMAQUE Dois-je les oublier, s'il ne s'en souvient plus ? Dois-je oublier Hector