Métaphore

Apostrophe initiale en chiasme v1 * Métaphore de la fourmilière v1 * Nbx pluriels dans la description de la ville : * Personnification de la ville en « colosse »v4 grandeur * Importance de l’élément liquide dans les métaphores « coulent »v3, « inondait »v9 cela donne une impression de vie qui se répand. * Profession hallucinatoire du rêve : * multiplication monstrueuse de vieillard (métaphore st 7) * Apparition d’un

finalement le sujet importe peu c’est bien de l’exercice d’une faculté qu’il s’agit, c’est le raisonnement pour lui-même qui prime c’est ce qui donne ce caractère si indéfinissable à l’essai. c) Le recours à l’image explicative et à l’exemple Métaphore du gué, sujet comparé à un cours d’eau : « en sondant le gué de bien loin, et puis, le trouvant trop profond pour ma taille, je reste sur la rive ». Présente le sujet comme une sorte d’étrange créature « Parmi les cent membres et visages que possède

leur donner la parole, s’en faire l’interprète. Il veut les faire vivre, dans le texte et par le texte. Ponge décrit des « choses », des éléments du quotidien, délibérément choisis pour leur apparente banalité. À l'aide d'une multiplicité d'images (métaphores, comparaisons), le poète tente de restituer aux objets leur entière originalité. Mais surtout, au cœur de la poésie de Ponge, au cœur de ces choses, on trouve cette réalité informe de la parole qui doit produire une formule, une préciosité poétique

gelée le long des parois d'un bocal de verre et je vitupère contre mes essais éphémères mon tempérament affreusement velléitaire et ce teint d'albâtre qui n'est pas le mien comme je voudrais qu'il fût d'albâtre ou d'ébène ou autrement même sans métaphore mais au moins qu'il ait quelque tenue que mon visage sans retenue puisse soudain passer pour un tissu une pierre un songe soit en quelque sorte un tableau fasse tableau mais ce n'est pas le cas même ce mot albâtre jeté au visage jeté tout à trac

caractères rouillés qu’on dirait écrits avec du sang. Comparaison 5. ‐J’aimerais rendre le sens et la vie à ces inscriptions mutilées, à ces phrases démembrées, à ces mots tronqués, corps sans tête comme ceux qui les ont écrits. Métaphore 6. ‐pour une idée, pour une rêverie, pour une abstraction, cette horrible réalité qu’on appelle la guillotine ! Anaphore 7. ‐Au lieu de remède, il lui redonnait du poison. Anithèse 8. ‐Les forçats en punition étaient plus gais qu’à l’ordinaire

King Lear, tragédie d’une grande violence tant par son sujet et les thèmes abordés que par son lexique et sa prosodie, s’appuie sur un système de reprises lexicales, de termes ambivalents, de métaphores filées et de ruptures rythmiques et syntaxiques qui sont autant de facteurs de cohésion au sein du texte. La cohérence textuelle et théâtrale qui en découle ouvre sur des possibilités de jeu mettant en œuvre le corps de l’acteur tant du point de vue du geste que de la diction. Cette cohérence est-elle

bataillons » ; « éclat assourdissant ». Par ailleurs, le narrateur utilise de nombreuses figures de style telles que les métaphores et les hyperboles afin de mettre en évidence la foule en mouvement. Ces figures de styles amplifient l’intensité de la situation : « flots vivants » (métaphore) « flots » (eau en mouvement qui désigne la foule d’insurgés) ; « tempête humaine » (hyperbole et métaphore) « tempête » (les insurgés sont tellement en colère et agités que l’ensemble ressemble à une tempête) ; « éclat

ET LA METAPHORE La comparaison et la métaphore servent à créer des images. Il s’agit de rapprocher un comparé et un comparant qui appartiennent à deux univers différents. Le point qui les réunit attire l’attention du lecteur. -LA COMPARAISON : le procédé de la comparaison met en relation deux réalités. Trois éléments sont nécessaires dans l’énoncé : le comparé, l’outil de comparaison et le comparant. Ex : L’homme ronfle telle une bête féroce et taciturne -LA METAPHORE : la métaphore est une

comme une invocation. Dans ce paragraphe, aussi il faut souligner les métaphores qu’apparaissent ; dans le vers 3 : « Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges Jeter l’ancre un seul jour ? » est la métaphore du navigateur, l’homme apparaît comme un marin qui navigue sur l’océan et voudrait jeter l’ancre pour arrêter le temps. Mais aussi, dans ce même vers, on voit une autre métaphore, « l’océan des âges » est une métaphore du temps assimilé à l’eau, au temps qui coule. Les paragraphes numéro

Commentaire composé – “Correspondances” Durant le XIXe siècle le symbolisme apparaît dans plusieurs oeuvres littéraires. Des auteurs comme Baudelaire font preuve decapacité à transformer la réalité en metaphores et autres figures de style dans leurs oeuvres. Né Paris en 1821, Baudelaire commence une vie plus ou moins sombre qui résulte comme source d’inspiration pour ses poèmes. Il fit partie de la générationdes poètes maudits à cause de son implication avec l’utilisation déd’alcool et de drogues