Méthadone

XANAX, LEXOMIL ...) • ANESTHESIQUES (NARCOTIQUES) - (GHB, ETHER, PCP ...) • NEUROLEPTIQUES - qui dépriment le système nerveux - (HALDOL, LARGACTIL, DOGMATIL, NOZINAN...) • OPIACES - (HEROINE, CODEINE, SUBUTEX, METHADONE...) Ttt des nevroses Les psychonévroses telles que les phobies ou l'obsession relèvent surtout des psychothérapies. Le recours a une médication chimique en pareil cas vise surtout le traitement symptomatique. Les médicaments soulagent l'angoisse

physiques ou mentales. Les stimulants qui réduisent la sensation de fatigue physique : amphétamines, cocaïne, caféine... Les narcotiques, naturels ou synthétiques qui diminuent la sensation de douleur : dextromoramide, diamorphine (héroïne), méthadone, morphine, pentazocine, péthidine et substances apparentées. Les agents anabolisants qui entraînent une augmentation de la force et de la puissance des muscles et qui sont divisés en 2 classes : - les stéroïdes anabolisants androgènes (SAA) : testostérone

médecin : accueille principalement les personnes dépendantes à l’alcool et fait les prescriptions médicales. 1 infirmière : accueille principalement les personnes atteintes de toxicomanie, évalue la dépendance des nouveaux usagers et leurs délivre la méthadone. 2psychologues : accueillent les usagers addictent aux jeux d’argent et les personnes venant pour une obligation de soin suite à des incarcérations. 1 travailleur social : se charge selon les besoins des usagers de la protection social ainsi que

mettre en place un calendrier de sommeil et une échelle de sédation afin de savoir si la réaction de la patiente est comportementale ou médicamenteuse, car la patiente à quand même un traitement assez lourd pour soulager ses douleurs elle a de la méthadone, plusieurs antalgiques et de la gabapentine qui agit sur les douleurs neuropathiques. Le médecin veut également confirmer si la patiente est somnolente ou pas et pour l'évaluation de sa douleur, il a été demandé aux infirmières de faire des cibles

processus thérapeutique orienté soit vers l’abstinence, soit vers la substitution. Ces structures proposent aux personnes ayant un problème d’addiction, un suivi médical, psychologique et social s’articulant autour du traitement de substitution (méthadone et subutex). La prévention mise en œuvre par les points écoute jeunes et parents : Cherchant à avoir une action sur la délinquance et la toxicomanie, ceux-ci visent à prévenir l’inadaptation et à aider au rétablissement de l’équilibre psychologique

nausées et vomissements, la constipation, la rétention d'urine, ...) et ne sont malheureusement pas toujours suffisamment efficaces sur certaines douleurs. - agonistes purs : morphine (chlorhydrate, sulfate), fentanyl, hydromorphone, oxycodone, méthadone - agonistes partiels : buprénorphine - agonistes/antagonistes : nalbuphine - antagonistes : naloxone. Les analgésiques centraux non morphiniques : On trouve actuellement : le dextropropoxyphène • le tramadol • le néfopam Ces analgésiques

de la Santé. La fondation propose différents services : - des structures de contacts à bas seuil (Luxembourg, Esch), - des centres de consultations (Luxembourg, Esch, Ettelbrûck), - un service médical, - un programme de traitement à la méthadone, - des logements accompagnés, - un service spécialisé dans l’accompagnement parents-enfants. Adresses : Centre de consultation Luxembourg 93, rue d’Anvers L-1130 Luxembourg Tél : 00352 49 10 40 e-mail : jdh-admin@jdh.lu Centre de consultation

|2 à 4 jours | |Éthanol (alcool) |2 à 14 heures | |Méthadone |1 à 3 jours | |Autres opiacés |1 à 2 jours

galère : le manque est omniprésent. La dépendance est majeur et l’héroïnomane perd le contrôle : il serait alors capable de tout pour financer sa consommation. 5- Comment s’en sortir ? Il existe des traitements de substitution comme la Méthadone ou le Subutex qui ont administrés par voie buccale. Ils sont prescris soit dans des centres de soins spécialisés en toxicomanie soit par un médecin . Ils ont pour objectif de stabiliser la dépendance de manière médicale et légale. Le

passe au résident suivant. Une fois tous les piluliers remplis pour chaque jour, je les revérifie avant de les mettre dans un sas fermé à clé, pour que les éducateurs puissent donner le traitement à chacun. Sachant que les moyens de substitution (méthadone et subutex) sont mis dans des sachets nominatifs dans un coffre-fort. Observations, étonnements : L’infirmière n’a pas suivi le protocole du lavage des mains, il suffisait juste de se laver les mains sans vraiment insister. Elle n’utilise pas de