Methode Smed

qu’évoluer. Pour reprendre l’exemple de Charles, même s’il a grandi physiquement ou mûri intellectuellement depuis sa naissance, Charles était déjà et est toujours aujourd’hui lui-même. Enfin, René Descartes énonce dans son œuvre Discours de la méthode « Je pense donc je suis ». La pensée est une faculté humaine qui est principalement formé de la conscience. Descartes voulait ainsi dire que s’il on pense, c'est-à-dire que s’il on fait preuve d’une activité de la conscience, alors on peut en conclure

l'imitation (comme rapport naturel entre l'homme et la nature) présuppose celle de la copie entre nature réelle et nature perçue. Or rien ne nous oblige à assumer une telle thèse : dans la Dioptrique, traité d'optique qui fait suite au Discours de la méthode, Descartes montre que la perception par les sens n'implique pas que ce qui est effectivement perçu par nos sens et par notre cerveau “ ressemble ” à l'objet perçu en tant que tel. L'idée selon laquelle ce que nous percevons doit ressembler aux choses

← FICHE DE LECTURE « Discours de la méthode » de DESCARTES Livres 1 à 4 : 1) Descartes fait une sorte de bilan critique de ses études. En effet, l’instruction des sciences qu’il a reçu au collège de la flèche était très certainement de grande qualité, Curieux de toutes les productions intellectuelles, Descartes ne se contentait pas d’étudier les matières enseignées. Il étudie certaines sciences qu’on appelle aujourd’hui occultes (astrologie, magie…),

Frédéric Taylor? ▪ Qu’est ce que le Taylorisme et l’Ost? ▪ Qu’elles sont les limites du Taylorisme? Sommaire I. Biographie de F. Taylor. II. Définition du taylorisme (O.S.T). 1- Principes. 2- Méthodes. 3- Objectifs. III. Les limites du taylorisme. 1 - Sociales. 2 - Technologiques. 3 –Economiques. IV. Conclusion.(Un retour du Taylorisme ?) I. Biographie de F. Taylor : Frédéric Winslow

A. Camus est un homme de lettre et philosophe français né en Algérie en 1913. Il reçoit le prix Nobel en 1957 pour l'ensemble de ses œuvres. Pour ça, il prononce le « Discours de Suède ». Le passage que nous allons étudier termine se discours. Quels sont les caractéristiques de cette dernière page ? Nous verrons donc dans un premier temps que se texte présente les marques d'une conclusion traditionnelle puis dans un second temps il est marqué par une émotion profonde. Nous avons bien affaire

scientifiques sont vérifiées, prouvées, analysées, à partir de causes identifiées et débouchant sur des lois. TRAVAILLOT, l’E1 du CAPEPS, guide méthodologique et thématique, 2007 : la science = « production de connaissances sur un objet déterminé avec une méthode spécifique » Théorie = un ensemble de loi, de règles, de principes qui permet d’expliquer un concept, un phénomène. « La théorie n’est donc pas obligatoirement scientifique » Y. LEZIARD, Le rapport théorie/pratique dans les conceptions de l’EP :

l’âme n’est donc pas séparable du corps” (De l’Ame) - Descartes : “En sorte que ce moi, c’est-à-dire l’âme par laquelle je suis ce que je suis, est entièrement distincte du corps, et même qu’elle est plus aisée à connaître que lui” (Discours de la méthode) - Nietzsche : “L’âme n’est qu’un mot désignant une parcelle du corps” (Ainsi parlait Zarathoustra) 'âme est indestructible, éternelle et sans mesure; seules les corps matériels qu'elle emprunte sont sujets à la destruction. Fort de ce savoir

sur la manière dont on étudie la matière. En effet, étudier, c’est avant tout faire usage de la raison et de la sensibilité pour connaître. En l’occurrence, la raison fonctionne en doutant, en analysant, en construisant (cf. les préceptes de la Méthode de Descartes). Comme dit Kant dans la 2nde préface de la C.R.P, la raison « doit prendre les devants », elle doit se présenter à la nature comme un « juge », non comme un « écolier ». Cela veut dire qu’elle doit venir avec ses principes (donc avec

INTRO : Nous faisons tous des erreurs, elles font d'une certaine manière partie de notre existence. Elles jouent un rôle très important dans notre vie , on parle alors d’un apprentissage de la vie. Mais arrivons-nous toujours à trouver un avantage de nos erreurs ? Sommes-nous en mesure de voir toutes nos erreurs ? Pouvons-nous nous en rendre compte totalement ? Notre manque de d'expériences justifie-t-il les différentes erreurs possibles dans la vie d'un homme ? Est il possible d'en commettre

a-t-elle toujours tort ? ⇒ Peut-on nier l’évidence ? ⇒ Faut-il préférer le bonheur à la vérité ? (Sujet TES Bac 2006) ⇒ Puis-je être sûr de ne pas me tromper ? «Il vaut mieux ne jamais chercher la vérité sur quelque objet que ce soit que le faire sans méthode.» (Descartes) La possibilité du mensonge, de la dissimulation, nous amène à poser une question : puisque nous pouvons nous passer de la vérité, quel besoin avons-nous d’elle ? A quoi nous sert-elle ? C’est là la question de la valeur de la vérité