Méthodes quantitatives

prix de toutes les marchandises augmentent, l’or étant étant une marchandise. C’est la thèse de l’offre de la monnaie exogène. * de nos jours, les héritiers du currency principale sont les monétaristes et tout ceux qui adhèrent à la théorie quantitative de la monnaie (Friedman) théorie selon laquelle l’évolution de la masse monétaire détermine l’évolution des prix. * Pour d’autres économistes, si la monnaie de la banque centrale est limitée, le public trouvera une autre monnaie de substitution

théorie keynésienne 2.1. La demande de monnaie pour motif de transaction 2.2. La demande de monnaie pour motif de précaution 2.3. La demande de monnaie pour motif de spéculation 3. La demande de monnaie chez les monétaristes 4. La Théorie quantitative de la monnaie (TQM) 5. La demande de monnaie chez las monétaristes : Reformulation de la TQM. Titre 3. La création monétaire et l’offre de monnaie 1. Offre et demande de la monnaie 1.1. Calcul de l’offre de la monnaie 1.2. La demande

1980 à nos jours III- Les causes de l’inflation A- Les explications à fondement réel : 1- L’inflation par la demande 2- L’inflation par les coûts 3- L’inflation par les structures B- L’explication monétaire de l’inflation : 1- La théorie quantitative de la monnaie 2- Les mécanismes de transmission d’un choc monétaire 3- Les responsables de l’inflation IV- Les effets de l’inflation A- Vision keynésienne : les effets positifs d’une inflation modérée 1- L’inflation augmente la dépense

de la valeur d’échange David Ricardo, le libéral pessimiste oeuvre de référence : Des principes de l’économie politique et de l’impôt, 1817 Une croissance non durable la théorie de la valeur-travail Le rôle de la monnaie : la base de la théorie quantitative de la monnaie les hypothèses, à la base de la théorie monétaire, sont Robert Malthus, l’orthodoxe et l’hétérodoxe La misère L’origine de la misère La croissance de la population et des ressources le rôle de l’Etat Une remise en cause de la loi

entre réalistes et nominalistes (12ème et 13ème siècle) Partie I : Les controverses fondatrices de la pensée monétaire classique 1. La controverse Bodin / Malestroit et la théorie quantitative de la monnaie 1.1 La thèse de Malestroit 1.2 La réplique de Jean Bodin 1.3 Bodin, précurseur de la théorie quantitative de la monnaie 2. Des controverses autour de la valeur de la monnaie 2.1 La controverse bullioniste 2.1.1 Le contexte 2.1.2 L’enjeu et les arguments 2.1.3 Fin de la controverse 2.2 Le principe

sur la quantité de transaction. KEYNES fut le premier à mettre en valeur que la monnaie pouvait être demandée pour elle-même comme n'importe quel autre bien. Il faut attendre, 1976 pour qu'un auteur du nom de FRIEDMAN (Milton) propose la théorie quantitative de la monnaie : Il démontre que la quantité et la vitesse de circulation de la monnaie à une influence directe sur le taux d'inflation donc le niveau de l'activité économique, le chômage, ect. On peut comprendre l'impacte de la quantité de monnaie

prix réel au prix monétaire. Bodin l’explique par l’équation M (quantité de monnaie disponible dans l’économie) = p (niveau des prix). T (volume des transactions). On explique le prix nominal à partir de la quantité de monnaie. C’est la théorie quantitative de la monnaie, c’est le fondement de la théorie monétaire elle va apporter la possibilité de mesurer en terme monétaire des rapports d’échange. On dit alors que l’approche de ces auteurs Classiques et Néo-Classique c’est une approche dichotomique

tendance à rétablir l’équilibre des prix du marché. On peut distinguer l’arbitrage fondamental et l’arbitrage quantitatif. Si le premier se base beaucoup sur l’expérience et la connaissance du marché de l’opérateur, le second s’appuie plus sur une méthode scientifique cadrée. Un autre type d’arbitrage qu’on peut nommé d’« hybride » se situe entre les deux cités précédemment qu’est l’analyse technique et/ou chartiste. Cette approche n’ayant pas d’explication ni par les fondamentaux économiques et financières

Plan de la séance Séance 2 Les études 1. La réalisation d’une étude 2. Les études qualitatives 3. Les études quantitatives 4. Les tests marketing 1- La réalisation d’une étude Définition du problème d’étude Définition du problème d’étude (2) • Problème marketing  Quelles décisions prendre ? 1. « Comment endiguer la hausse des accidents de moto au Quebec ? » 2. « Tester l’intérêt et le potentiel client d’une nouvelle carte de fidélité » 1- La réalisation d’une étude • Du problème

Séance 2 Les études Plan de la séance 1. La réalisation d’une étude 2. Les études qualitatives 3. Les études quantitatives 4. Les tests marketing 1- La réalisation d’une étude Introduction • « N’entreprenez jamais une étude lorsqu’il est moins coûteux de faire une erreur » Comparer le coût de l’étude au coût de l’erreur (i.e., prendre une mauvaise décision) • « Quand on ne sait pas ce que l’on cherche, on ne sait pas ce que l’on trouve » (Dastre) Poser le problème d’études