Méthylphénidate

publication, rétrospective sur 10 enfants Mirtazapine (Norset): même commentaire, mais aurait un effet positif en cas de troubles du sommeil Session du 19 Octobre 2007 89 Centre de Ressources Autisme Ile de France Psychostimulants Methylphénidate: Ritaline, concerta La prescription est fréquente chez les enfants et adolescents présentant des TED Action sur: hyperactivité, impulsivité et troubles de l’attention Semble plus efficace dans les TED-NS et le syndrome d’Asperger que dans les

garçons et adolescents avant et après traitement par Méthylphénidate. Ils observent l’humeur et la reconnaissance des expressions faciales de ces sujets. La prise de psychostimulants n’a aucun effet sur l’humeur dépressive. En revanche, on note une amélioration significative pour la reconnaissance de la colère exclusivement. En ce qui concerne les autres émotions, la différence avec le groupe contrôle n’est pas significative. Le Méthylphénidate aurait donc un effet stabilisant de l’activité cérébrale

__________________ 3 4 Le groupe amphétamines comprend principalement la méthamphétamine et l’amphétamine ainsi que des amphétamines non spécifiques (par exemple comprimés vendus sous le nom de Captagon, méthcathinone, fénétylline, méthylphénidate, etc.), mais exclut les substances censées appartenir au groupe ecstasy. Le groupe ecstasy comprend principalement la MDMA, ainsi que la MDA et la MDEA/MDE. Toutefois, en raison des capacités limitées des États Membres en matière d’analyse scientifique

1940 1930 1920 1910 1900 1890 1902 George Still décrit des symptômes similaires au TDAH 1932 Kramer et Pollnow décrivent le trouble hyperkinétique 1937 Bradley utilise la benzédrine dans le trouble hyperkinétique 1954 Panizzon crée la méthylphénidate (MPH) 1962 Dysfonction cérébrale minime (MBD) 1966 Clements et Peters introduisent le terme de déficit de l’attention 1980 Attention Deficit Disorder ± Hyperactivity (DSM-III) ADD/H± 1987 Attention Deficit Hyperactivity Disorder (DSM-IIIR) ADHD

doit prescrire le moins possible d’hypnotiques pour une utilisation courante (la durée du traitement doit être la plus courte possible et sa posologie réduite). Le traitement de la narcolepsie est symptomatique. Il fait appel à des stimulants (méthylphénidate) pour améliorer la somnolence. Le traitement de la cataplexie, des hallucinations et des paralysies du sommeil repose sur les antidépresseurs. Il n’existe aucun traitement efficace du somnambulisme. Le traitement des terreurs nocturnes consiste

n’ont bien entendu qu’une fonction d’amortisseur de la symptomatologie et n’ont pas de pouvoir curatif. C’est essentiellement pour cette raison que les traitements multimodaux combinés sont préférés : Chimiothérapie : essentiellement par méthylphénidate, seulement une Autorisation Temporaire d’Utilisation existe en France pour l’atomoxétine (Revol & al., 2010). Thérapies cognitivo-comportementales : entraînement aux habiletés sociales, auto-instruction, auto-évaluation. Ces techniques isolées

médicamenteux et d'un traitement psychologique ? mais la divergence théorique reste marquée. Qu'est-ce que la Ritaline ? C'est le premier médicament qui se soit montré efficace dans le traitement de l'hyperactivité. Le principe de base est le méthylphénidate, un psychostimulant proche des amphétamines, dont on a découvert par hasard, lors d'une utilisation contre la douleur, qu'il rendait les enfants plus calmes. On connaît maintenant son mécanisme d'action : en bloquant le transporteur de la dopamine

typiques et atypiques Chlorpromazine, halopéridol, Olanzapine, rispéridone Antidépresseurs Inhibiteurs de la recapture de sérotonine, de noradrénaline Fluoxétine, Trimipramine, moclobémide Psychostimulants Sympathomimétiques Méthylphénidate 22 Dossier santé L3 APAS STAPS Analgésiques opiacés Alcaloïdes de l'opium Sulfate de morphine Médicaments de substitution aux opiacés Morphinomimétiques Buprénorphine, méthadone Les troubles schizophréniques ou les troubles

Citrus aurantium) et orlistat, clorazépate dipotassique (benzodiazépine), diazépam (benzodiazépine), fluoxétine (antidépresseur), furosémide (diurétique), hydrochlorothiazide (diurétique), imipramine (antidépresseur), metformine (antidiabétique), méthylphénidate (psychoanaleptique), paroxétine (antidépresseur), spironolactone (diurétique) ou topiramate (antiépileptique), almitrine (stimulant respiratoire), bupropion (antidépresseur), chlordiazépoxide (benzodiazépine), duloxétine (antidépresseur), naltrexone

......................................................0283 Venlafaxine ........................................................................................................................................0288 6.3. Stimulants centraux - Méthylphénidate ..............................................................................................................................0298 - Modafinil....................................................................................................