Meursault Et Dieu

Le narrateur, est extradiégetique cela nous permet de nous plonger dans le récit, y a beaucoup de description, et nous savons ce que Meursault ressens. Donc il y a une focalisation interne. Il a du sommaire dé-fois, il n'y a pas de DD. Et il parle à la première personne du singulier. Analyse du personnage principal : Le personnage principal s'appelle Meursault. Le nom du narrateur n'est sans doute pas anodin. On peut en effet penser à « meur » qui renvoie à la fois à la mer et au meurtre et

la solitude qui pénètre meursault. c'est celui de la pétrification, état ultime de la solitude intérieure qui accompagne l'expérience de l'harmonie avec le monde. meursault vit une sorte de lune de miel avec la nature. entre le monde extérieur et lui, nulle distance. il tente de combler le vide entre les mots et la pensée. la nature s'incarne en lui. de fait meursault se tait depuis l'enterrement de sa mère jusqu'au meurtre de l'arabe. la solitude dans laquelle meursault se tient correspond à une

Résumé L’étranger est un roman d’Albert Camus publié en 1942. Le narrateur, Meursault, employé de bureau à Alger, apprend que sa mère est morte. Il va l'enterrer sans aucune larme, et sous un soleil de plomb qui ne fait qu'augmenter son envie d'en finir avec la cérémonie. De retour à Alger, il va se baigner et retrouve une ancienne collègue de travail, Marie. Puis plus tard dans la soirée ils vont au cinéma. Un soir, Meursault croise Salamano, un voisin méchant avec son chien, puis il est invité par

multiples romans, écrit son forme de journal intime. Le personnage narrateur, Meursault, est anti-conventionnel, anti-conformiste, « étranger » à la société et à lui-même, mais pourtant confronté à la civilisation et à la constitution. Décalé par rapport à la norme, il peut d’emblée dérouter le lecteur par son absence de sentiments. L’extrait étudié se situe au début du chapitre 5 de la deuxième partie. On retrouve Meursault ayant déjà été condamné pour son crime et attendant son dernier jour en prison

approche intériorise du monde → amené à réfléchir sur l'homme → personnage sans identité Le roman de Camus se situe dans le cycle de l'absurde, 6 mois après le mythe de Sisyphe. I – Meursault a une existence monotone, assiste à son propre procès, puis comprend la raison de son existence. II – Meursault donne du sens à sa vie, assume cette absurdité, il est conscient de la vie et devient un héros romanesque. INCIPIT (Ouverture du roman, rôle informatif, peut indiquer le genre du roman par

Un héros est souvent comparé à un demi-dieu, un personnage légendaire, doté de courage et d'exploits remarquables, ainsi que d'un destin exceptionnel. Ces prouesses extraordinaire montre que c'est un personnage brave, digne de l'estime publique, de gloire, par son génie sa force de caractère ainsi que parfois a son dévouement pour une cause. Au contraire le mot « médiocre » vient du latin medius, qui signifie « qui est au milieu », désignant ainsi ce qui est banal, s'opposant donc à cette notion

Meursault est un personnage incohérent, fait de toutes les contradictions possibles et qui refuse sa propre conscience. Il est atypique car il n'est pas comme le plus part des personnages de roman. Meursault refuse l'ascension sociale, il est « inculte, ingrat envers sa mère et, pourquoi pas, criminel si l'occasion s'en était présentée...». Ce personnage est d'une insensibilité mémorable à l'enterrement de sa mère, mais il a quand même le sens de l'honneur et de la responsabilité. Il est également

ainsi que le révèle la longue description du dimanche – qui occupe un chapitre entier du roman ! - tel qu’il est vécu par Meursault à travers sa réflexion en forme de conclusion à la fin de la journée : « J’ai pensé que c’était toujours un dimanche de tiré. » (p.38). Une condition humaine qui repose en outre sur une absolue contingence ainsi que finit par le formuler Meursault après ses heures de réflexion en prison : « Comme si tous les chemins familiers tracés dans le ciel pouvaient mener aussi

- l’Afrique a des religions polythéistes et les fétiches sont leurs prêtres. La religions dit nous sommes tous frères or ils ne traitent pas les noires correctement. I y a un hiatus (différence) entre ce qui est fait et ce qui est dit. « Comment dieu peut-il tolérer toute cette violence ? ». Les fétiches sont également des sorciers et voltaire dit que les prêtres sont de vulgaires fétiches, donc il les décrédibiliser et les rabaissent. Critique du catholicisme occidental. - Critique de l’optimisme :

la fin Scène finale de l'Etranger, Roman qui retrace une partie de la vie de Meursault, personnage narrateur qui raconte sa vie au jour le jour. Un jeu de circonstance l'amène à tuer un arabe, et il est condamné à mort. Peu de temps avant l'exécution, un aumônier pénètre dans sa cellule et tente de le réconforter et de lui faire accepter Dieu et la repentance. Mais ses paroles de douceur et d'espoir mettent Meursault hors de lui. Après une longue et terrible révolte, Meusault à une révélation qui