Meursault Son Absence De Sentiments

est marquée par deux thèmes principaux : le sentiment de l'absurde et de la révolte. Il a le thème de la mort au cœur de sa vie. En effet, durant son enfance, la mort de son père et la tuberculose, maladie dont il a souffert, ont fait naître le sentiment de l’absurdité et la fragilité de l’existence. Meursault le héros de l'étranger est indifférent au monde et ne parvient pas à donner de sens à son existence. Dans la deuxième partie du roman, Meursault se trouve pris dans l’engrenage judiciaire,

les «deux jours» de congé dans l’avenir. II) …Pour un héros désincarné ? A- L’indifférence totale de Meursault On remarque que le personnage n’exprime aucun sentiments et il n’y que ces sensations qui nous donne plus de précisions : «très chaud» (l.27) tactile ; «l’odeur d’essence» (l.28) olfaction ; «réverbération de la route» (l.29) visuelle. Meursault ne réagit qu’en fonction de ce qu’il ressent et se laisse donc guider par son instinct. Indifférence par rapport à sa

lecture du télégramme. Phrase simple, proposition indépendante, style dépouillé, comme l’ensemble du roman: annonce du style de l’œuvre, qui par métonymie, décrit le personnage. L’expression de ce télégramme (Phrases verbales, brièveté et concision, absence de détails et d’explications) met en valeur le détachement du narrateur. - Une remarque spatiale ("Marengo") mais elle est faussée par l'intervention du narrateur. A cause de la technique du journal, ce ne peut être le personnage qui se précise

article.     Traiter de l’absurde est difficile dans un roman. La notion désigne l’absence de sens et un roman sur l’absurde est un roman traitant de cette absence. L’étranger présente Meursault, un personnage qui éprouve le sentiment de l’absurde au quotidien, sans jamais le reconnaître comme tel, mais qui, guidé par la logique de ce sentiment (ou plutôt l’absence de logique, devrait-on dire) sera contraint de le comprendre, de le faire sien au point de pouvoir enfin vivre le quotidien sans aucune

amener à commettre un crime et qui assiste, indifférent, à son procès et à sa condamnation à mort.  LECTURE Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. J’ai reçu un télégramme de l’asile : « Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués. » Cela ne veut rien dire. C’était peut-être hier. L’asile de vieillards est à Marengo, à quatre-vingts kilomètres d’Alger. Je prendrai l’autobus à deux heures et j’arriverai dans l’après-midi. Ainsi, je pourrai veiller et je rentrerai

comprendre l’état d’esprit et les réflexions de Meursault ?Plan· Ce commentaire consistera en une analyse détaillée de l’extrait, avec une focalisation sur les sentiments et/ou réflexions de Meursault, qu’ils soient explicites ou implicites· Point 1 : l’axe météorologique · Point 2 : l’axe temporel · Point 3 : une présence détachée· Ce commentaire permettra de conclure que la météo et le temps catalysent une prise de conscience de soi par Meursault, mais que la démarche narrative révèle une présence

Proposition de commentaire de l’extrait de l’Etranger (la plaidoirie de l'avocat). L'absurde est un des maîtres mots de l'œuvre de Camus. Son roman, L’Etranger, publié en 1942, met en scène Meursault, un « héros » indifférent au monde qui ne parvient pas à donner un sens à son existence et qui éprouve ce sentiment de l’absurde à travers sa vie monotone. Condamné pour un meurtre qu’il a commis malgré lui, il assiste passivement à son procès. Après avoir entendu le réquisitoire sans appel du procureur

vie antérieure A : le paradis baudelairien 1) exotisme 2) une esthétique classique : antique 3) une esthétique picturale : lumières et couleurs B : idéal et spleen 1) un univers sensuel 2) un univers spirituel 3) Spleen : absence de femme, bonheur fugitif, départ Spleen A : un univers de souffrance 1) Un univers oppressant 2) La montée de l’angoisse 3) L’hallucination B : la crise et la défaite 1) Une tentative de révolte 2) L’allégorie (allégorie

2 temps : "je prendrais l'autobus" et "j'ai pris l'autobus" --> il y a une interruption dans l'écriture -pauvreté stylistique , phrases courtes , l'auteur ne veut pas se lancer dans des prépositions complexes (5 phrases en 5 lignes) , asyndète (absence de connecteurs logiques et mots de liaisons) , phrases juxtaposée , pas de lien entre les phrases , impression heurtée , pas de fluidité . Marques de l'oralité , texte non littérale . L'auteur écrit un fil de la plume , comme ça lui vient . 2)

traditionnels du roman Il y a absence de description. Aucun personnage n’est décrit. Même pas la mère. On a juste un nom et une fonction. Seul le directeur de l’asile  ‘’petit’’. Construction grammaticale simpliste. Il n’y a aucune information sur les lieux. Ni description  action + forte et + importante  récit se concentre sur l’enchainement des actions. Objectivité : puisqu’on est dans le P.C ; ‘’je’’ on s’attend sur une focalisation interne. Absence de subjectivité / Absence de jugement de valeur.