Michel VIII Paléologue

concernent des négociants, sans doute lettrés se faisant eux-mêmes représenter : Michiel décrit ainsi dans la maison d’Antonio Pasqualino deux portraits à l’huile d’Antonello de Messine datés de 1475 représentant son père Alvise, négociant en soie, et Michele Vianello, marchand de bijoux, amateur de musique et d’œuvres d’art[16]. Pour autant, cela ne suffit pas à rejeter l’hypothèse d’un tableau figurant le jeune Sforza Maria Sforza, ou même un autre aristocrate car, comme nous l’avons vu, si les seigneurs

de science qui était resté à Constantinople refluât en Italie avec la langue grecque, par les conquêtes des Ottomans. Florence était alors une nouvelle Athènes ; et parmi les orateurs qui vinrent de la part des villes d'Italie haranguer Boniface VIII sur son exaltation, on compta dix-huit Florentins. On voit par là que ce n'est point aux fugitifs de Constantinople qu'on a dû la renaissance des arts. Ces Grecs ne purent enseigner aux Italiens que le grec. Ils n'avaient presque aucune teinture

de science qui était resté à Constantinople refluât en Italie avec la langue grecque, par les conquêtes des Ottomans. Florence était alors une nouvelle Athènes ; et parmi les orateurs qui vinrent de la part des villes d'Italie haranguer Boniface VIII sur son exaltation, on compta dix-huit Florentins. On voit par là que ce n'est point aux fugitifs de Constantinople qu'on a dû la renaissance des arts. Ces Grecs ne purent enseigner aux Italiens que le grec. Ils n'avaient presque aucune teinture

peu de science qui était resté à Constantinople refluât en Italie avec la langue grecque, par les conquêtes des Ottomans. Florence était alors une nouvelle Athènes ; et parmi les orateurs qui vinrent de la part des villes d'Italie haranguer Boniface VIII sur son exaltation, on compta dix-huit Florentins. On voit par là que ce n'est point aux fugitifs de Constantinople qu'on a dû la renaissance des arts. Ces Grecs ne purent enseigner aux Italiens que le grec. Ils n'avaient presque aucune teinture des

disciples de Zoroastre : ce seraient les Oracles que l’on appelle « chaldaïques » ; ils sont exprimés dans une langue littéraire et non vulgaire, ils sont écrits en grec, en hexamètres dactyliques. Pléthon possède la collection de ces Oracles que Michel Psellos a constituée au XIe siècle 10 . Il n’ajoute aucun des Oracles conservés par les néoplatoniciens, ce qui montre qu’il considère que la collection est complète. Comme ces Oracles ont été selon lui contaminés par le chaldaïsme, c’est-à-dire la

querelle des décimes. Taxes au départ pour les Croisades. Le roi de France a tendance a récupérer cette habitude : faire payer des décimes au clergé à son profit. D’un côté Philippe IV le Bel qui règne de 1285 à 1314 et de l’autre Boniface VIII. Boniface VIII, âgé (né vers 1230), est le dernier représentant important de la théocratie pontificale. Le pape prétend que les pouvoirs laïcs sont ses subordonnés. Il est en décalage avec la société mais peut s’appuyer sur certains points. Traditionnellement

centrale. La prise de Constantinople et la constitution d’un Empire multiethnique C’est dans ce contexte de forte pression musulmane que les derniers basileus ont tenté de réagir par une alliance avec l’occident chrétien : l’empereur Jean VIII Paléologue (1390-1448) décida ainsi de signer avec le Pape un accord sur l’union des Eglises catholique et orthodoxe en 1439 à Florence, en échange d’une aide militaire soutenue par la papauté contre les Ottomans – autant dire une nouvelle croisade. L’accord

HISTOIRE Seconde Livre du professeur Sous la direction de Jean-Michel LAMBIN agrégé d’histoire Julien DOCHEZ Agrégé d’histoire, professeur au lycée Wallon, Valenciennes Anne-Claire LEFEBVRE Certifiée d’histoire-géographie, professeur au lycée Watteau, Valenciennes Marcel SPISSER Agrégé d’histoire Jean-Luc VILLETTE Agrégé d’histoire, professeur en Première supérieure et Lettres supérieures au Lycée Gambetta, Arras José ZIEMNIAK Certifié d’histoire-géographie

théâtre. Pour comprendre les racines de cette crise, et ce qu'elle a changé dans la considération que les hommes de théâtre portaient à la fable au début du XXème siècle, il nous faut revenir à des définitions précises. Voici ce que nous apprend Michel Corvin de la fable[4] : « La fable, selon Aristote, est « l'assemblage des actions accomplies » ; elle a donc un caractère englobant et organique de très grande généralité, elle résume en quelque sorte le « contrat », le projet qui est à la source

Modernité libérale que n’a cessé de fustiger Schmitt ? Le statut « légitime » de la Modernité revient alors à prendre position pour un statu quo, celui de la Modernité qui neutralise tout recours à une transcendance théologique. La conclusion du chapitre VIII, « Théologie politique I et II », va dans ce sens: « On est obligé, quoi qu'il en soit, de s'étonner de ce que, parmi les nombreuses attestations de la thèse de la sécularisation, le concept de personne ne joue pas un rôle particulier, voire n'apparaît