Milan Kundera

L’art Introduction : éléments d’histoire de l’art________________________________________ 2 Une très brève histoire de l’art (Go mbrich) _______________________________________________ 2 La suppression des temps mo rts (Kundera) _______________________________________________ 4 Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) _____________________________________ 4 La question du progrès (Hegel)________________________________________________________ 4 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité

nombreuses années) - Jack Kerouac, Sur la route, 1960. (l’itinéraire d’un poète contestataire dans l’Amérique des années 50) - John Le Carré, L’espion qui venait du froid, 1963 (roman d’espionnage qui se déroule en Europe de l’Est et au Royaume-Uni) - Milan Kundera, L’insoutenable légèreté de l’être, 1979. (sur le printemps de Prague et la répression soviétique) Bande-dessinée Cinéma Sur le monde en 1945 - Roberto Rosselini, Rome ville ouverte, 1945 (l’Italie à la fin du conflit) - Roberto Rosselini, Allemagne

dans les années dix...(A. Makine, Le testament français) Dans les années cinquante et soixante, un émigré des pays communistes y était peu aimé. Skacel a écrit ces vers dans les années soixante-dix...En 48, tout le monde tremblait devant lui. (M. Kundera, L’Ignorance) La Révolution roumaine a éclaté en décembre quatre-vingt-neuf. 3. Distinguez les types de numéraux dans les textes suivants, tout en observant leur orthographe : Cinquante passagers commencèrent par former une cagnotte de dix mille

rouge à lèvres. 19 Ce manuel se base sur les théories des ‘Grands’ qui se sont prononcés à propos du kitsch et qui en ont fait un concept intellectuel: Hermann Broch, Clement Greenberg, Ludwig Giesz, Umberto Eco, Gillo Dorfles, Abraham Moles, Milan Kundera, et d’autres encore. Souvent leurs discours convergent vers une même définition du kitsch. On y retrouve non seulement des similitudes, mais aussi des échanges de citations, des fragments de théories repris et appliqués à un autre objet, prolongés

citation extraite de L’Art du roman, publié en 1986, donne un aperçu de la conception des enjeux du genre romanesque pour Milan Kundera. Le roman est habituellement défini et caractérisé par une narration en prose et le récit de fiction ainsi que sa vocation à être lu individuellement et non écouté, il évolue aussi beaucoup selon les époques et reste une œuvre polymorphe. Kundera dans son essai, lui donne une vocation. En effet il qualifie d’immoral un roman qui ne participerait pas à la découverte

un horrible assassin : on va au-delà de son acte, on rentre dans la complexité d’un homme qui a tué et qui subit tout le poids de la culpabilité, ce qui nous permet d’éviter de formuler un jugement arbitraire et simpliste. Dans L’art du roman, Milan Kundera dit : « Le roman qui ne découvre pas une partie de l’existence, jusqu’à alors inconnue, est immoral. La connaissance est l’unique morale du roman. » Cette affirmation, confirme justement ce que l’on vient de dire : le roman, en nous présentant

pour lui, la satisfaction de ses intérêts personnels ainsi que ceux de sa femme son deux entités indépendantes. Pour conclure, la pratique de l’adultère au sein de Madame Bovary de Gustave Flaubert et de L’insoutenable légèreté de l’être de Milan Kundera est représentative de l’évolution des mœurs quant à l’union conjugale du XIXème siècle au XXème siècle. Le contraste entre la fidélité conjugale et l’adultère dans le contexte des us et coutumes dans lesquels s’inscrivent les œuvres étudiées témoignent

désorientation trouve son origine dans le sentiment d’infériorité dû à son appartenance ethnique, ce changement de sa structure identitaire n’est pas anodin. En effet, en adoptant ce discours, Othello rejoint le personnage kafkien tel qu’interprété par Milan Kundera dans son ouvrage L’art du roman. Dans cette perspective, le personnage puni pour une faute qu’il n’a pas commise finit par agir de manière à mériter ce châtiment : Celui qui est puni ne connaît pas la cause de la punition. L’absurdité du

vie ne se mesure pas. Le dernier jour n'est pas important puisqu'on meurt tous un jour. C'est la cérémonie qui fait peur. Tous ces gens qui viennent autour de nous à l'enterrement, c'est ça qui fait peur. C. Milan KUNDERA, L'Art du roman, 1986 * Fiche de lecture sur ce livre de Kundera qui dresse un bilan sur l'art du roman et montre que l'œuvre de chaque romancier contient une vision implicite de l'histoire du roman. 1. En 1935, l'Europe est en crise, quelque chose ne va plus dans l'humanité

Flaubert n’est ni Bouvard ni Pécuchet. L’opinion de Flaubert sur l’occulte est très claire; il considérait le sujet comme ridicule et n’hésitait pas à le dire. Pourquoi donc choisit-il de ne pas souligner ce scepticisme dans son roman? Le paradoxe de Milan Kundera rend bien compte de ce phénomène : Le romancier n’est le porte-parole de personne, et je vais pousser cette affirmation jusqu’à dire qu’il n’est même pas le porte-parole de ses propres idées. Quand Tolstoï a esquissé la première variante d’Anna